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Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

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  • Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

    Traduction automatique

    Les rats d?truisent des r?coltes au Bangladesh

    Par Mark Dummett
    Nouvelles de BBC, Dhaka


    La peste de rat est pr?vue deux fois un si?cle

    Une peste des rats a d?truit les r?coltes des dizaines de milliers de personnes vivant dans les r?gions ? distance de colline de Chitagong du Bangladesh.

    Les ouvriers d'aide ont averti que la destruction de la r?colte a laiss? le peuple dans une "situation de proche-famine".

    La population de rat a mont? en semaines r?centes pendant qu'ils alimentent outre des for?ts en bambou de la r?gion, qui fleurissent pour la premi?re fois en d?cennies.
    Les ?tats voisins en Inde ont souffert du m?me probl?me.

    Selon le programme de d?veloppement de l'ONU (le PNUD) environ 150.000 personnes vivant dans les collines le long de la fronti?re du sud-eastern du pays avec l'Inde ont ?t? affect?es.

    Prasenjit Chakma du PNUD, qui a visit? le secteur, a indiqu? la BBC que les gens l? avaient ?t? r?duits ? manger des racines pour survivre, mais ?galiser ces derniers s'?puisent maintenant.

    'zone de d?sastre '

    Il a dit que des champs avaient ?t? d?pouill?s de leurs usines, et sont maintenant pointill?s avec de grands trous de rat.

    "les rats sont beaucoup plus grands qu'habituels. Ils mangent tout qui est frais et vert, "qu'il a dit.

    Les rongeurs se sont multipli?s ? un taux alarmant - la fleur en bambou est une si bonne source de nourriture pour eux qui quand ils la mangent ils peuvent multiplier jusqu'? huit fois par ann?e - quatre fois plus souvent que la normale.

    Selon le folklore local, la fleuraison du bambou, et la mont?e subite suivante dans des nombres de rat, se produit tous les 50 ans.
    Ils disent que la derni?re fois o? il s'est produite ?tait 1958.



    Les gens ? travers la fronti?re en Inde partagent cette m?me croyance - et le m?me probl?me.

    Dans l'?tat de Mizoram, le bambou a commenc? ? fleurir l'ann?e derni?re.

    Le gouvernement l? l'a d?clar? une zone de d?sastre apr?s que les rats aient continu? pour manger les stocks de la nourriture des personnes.


    Ici, les autorit?s et les agences de soulagement ont commenc? ? obtenir une certaine aide ? l'affam?, mais elles admettent qu'il n'est pas assez encore, et que le probl?me ?carte, car plus de for?ts commencent ? fleurir.

    M. Chakma a dit que la r?gion fera face ? des probl?mes pendant les trois ? quatre ann?es ? venir, jusqu'? ce que la population de rat diminue.

    Il a dit qu'il y a ainsi bon nombre d'entre elles, il est difficile pour que les fermiers tuent assez pour faire une diff?rence. "la situation est tr?s s?rieuse.

    Les personnes vivant dans cette r?gion sont tr?s pauvres de toute fa?on.

    C'est maintenant une situation proche de famine, "il a dit.

    *********************************
    Last Updated: Friday, 8 February 2008, 08:18 GMT

    Rats destroy crops in Bangladesh

    By Mark Dummett
    BBC News, Dhaka

    The rat plague is expected twice a century

    A plague of rats has destroyed the crops of tens of thousands of people living in Bangladesh's remote Chittagong Hill Tracts.


    Aid workers have warned that the destruction of crop has left the people in a "near-famine situation".

    The rat population has soared in recent weeks as they feed off the region's bamboo forests, which are blossoming for the first time in decades.
    Neighbouring states in India have suffered from the same problem.

    According to the UN Development Programme (UNDP) about 150,000 people living in the hills along the country's south-eastern border with India have been affected.

    Prasenjit Chakma of the UNDP, who has visited the area, told the BBC that people there had been reduced to eating roots to survive, but even these are now running out.

    'Disaster zone'

    He said fields had been stripped of their plants, and are now dotted with large rat holes.

    "The rats are much bigger than usual. They eat everything that is fresh and green," he said.

    The rodents have multiplied at an alarming rate - the bamboo blossom is such a good food source for them that when they eat it they can breed up to eight times a year - four times more often than normal.

    According to local folklore, the flowering of the bamboo, and the subsequent surge in rat numbers, occurs every 50 years.
    They say the last time it happened was 1958.

    People across the border in India share this same belief - and the same problem.

    In Mizoram state, the bamboo began to blossom last year.

    The government there declared it a disaster zone after the rats went on to eat people's food stocks.


    Here, the authorities and relief agencies have begun to get some aid to the hungry, but they admit it is not yet enough, and that the problem is spreading, as more forests start flowering.

    Mr Chakma said the region will face problems for the next three to four years, until the rat population declines.

    He said there are so many of them, it is difficult for the farmers to kill enough to make a difference. "The situation is very serious.

    The people living in that region are very poor anyway.

    It is now a near famine situation," he said.

    BBC, News, BBC News, news online, world, uk, international, foreign, british, online, service


    Cr?dits: Snowy Owl


  • #2
    Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

    Les scientifiques chinois parviennent ? cloner certains g?nes du bambou

    2007-12-07 08:35:57

    BEIJING, 6 d?cembre (Xinhua) -- Des scientifiques de l'est de la Chine ont dit qu'ils avaient r?ussi ? copier certains g?nes de la pousse de bambou, avanc?e qui pourrait mener ? une am?lioration de l'approvisionnement alimentaire pour la population, ont-ils dit.


    (Photo: Quotidien du Peuple)

    Le mat?riel g?n?tique extrait la semaine derni?re des pousses de bambou pourrait retarder les phases de floraison et d'ensemencement du riz cultiv? dans les rizi?res, ce qui pourrait am?liorer le rendement des r?coltes et la r?sistance aux insectes de l'aliment de base pour les 1,3 milliard d'habitants de la Chine, selon les chercheurs.


    (Photo: Quotidien du Peuple)

    L'exp?rience repr?sente le point culminant de 10 ans de recherche par Lin Xinchun, ma?tre de conf?rence de l'Universit? foresti?re du Zhejiang, et ses coll?gues.

    La floraison du bambou, qui fait partie du cycle biologique naturel de la plante tous les 60 ou 120 ans, a longtemps confondu les scientifiques. "M?me si un scientifique commence ? ?tudier une plante venant de na?tre, il a rarement la chance de pouvoir observer sa floraison", selon Lin.

    Lin et son ?quipe ont construit une base de donn?es ADN li?e ? la floraison du bambou, qu'ils essaient de d?coder. Cette information pourrait ?tre utilis?e pour cultiver de nouveaux types de bambou avec des p?riodes de floraison pr?visibles, retirant l'incertitude de l'approvisionnement de nourriture des pandas.

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    • #3
      Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

      Traduction automatique

      Le prix de la viande de rat augmente au Cambodge

      22 janvier 2008



      Le prix de la viande de rat a plus que doubl? au Cambodge ? la suite de l'augmentation du prix de la volaille en raison des quarantaines instaur?es pour lutter contre la grippe aviaire et de la hausse du prix de l'?nergie, indiquent des m?dias locaux mardi.

      La viande de rat est devenue si recherch?e que de nombreux producteurs de riz se sont lanc?s dans ce commerce, attrapant et pr?parant des rats, rapporte le journal Kampuchea Thmey. Alors qu'un kilo de rat de bonne qualit? ?tait vendu 50 cents il y a deux ans, il atteint aujourd'hui 1,50 dollar.

      Les restrictions sur l'importation de cochons et de volailles afin de limiter la propagation du virus de la grippe aviaire, combin?es ? la hausse du prix de l'?nergie, sont ? l'origine de cette forte augmentation du prix de la viande de rat. (belga/7sur7)



      Cr?dits: Lili sur Zonegrippeaviaire

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      • #4
        Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

        Traduction automatique

        Am?lioration fleurissante et g?n?tique en bambou

        Le Bambou Fleurissant


        Villageois dans Tripura, Inde, devant leur bambou fleurissant de Muli


        Bambous fleurissants jaunes de Bambusa derri?re le village de Shan de cinglement, Hong Kong


        Gibboides de Bambusa


        La boule des pousses v?g?tatives a produit pendant la fleuraison due ? l'infection pr?s mycoplasma-comme l'organization

        La fleuraison d'un bambou peut se produire ? beaucoup de niveaux. Au plus petit niveau, une branche simple sur un chaume simple d'une usine simple peut produire un ?pillet des fleurs. Au plus grand niveau, une population enti?re, couvrant des milliers de kilom?tres carr?s, peut fleurir et mourir ? l'unisson. Les diff?rents chaumes peuvent fleurir et mourir tandis que l'usine de parent reste indemne, ou les usines enti?res peuvent fleurir mais survivre pour r?g?n?rer des rhizomes.

        Quelques esp?ces sont document?e relativement bonne et sont connues pour fleurir ? intervalles r?guliers des dizaines ou des douzaines d'ann?es, mourant apr?s la fleuraison ? remplacer par les jeunes plantes qu'elles produisent. D'autres sont connus pour fleurir seulement de temps en temps, sans le mod?le apparent ? leur fleuraison, spatiale ou temporelle. Certains meurent en cons?quence, certains pas . Mais pour la plupart des esp?ces leurs habitudes fleurissantes ne sont pas simplement connues. Il y a m?me quelques esp?ces des bambous dont les fleurs n'ont ?t? jamais vues. La fleuraison de masse attire la plupart d'attention, de ce type du fangiana de Bashania dans les ann?es 80 qui ont affect? le panda g?ant, et du r?gulier, once-every-48-year, fleuraison du baccifera de Melocanna en Inde du nord-est qui apporte la famine et la d?gradation environnementale.

        Deux signes indicateurs de fleuraison imminente sont 1) une r?duction du nombre de chaumes produits par ann?e ou des ann?es avant la fleuraison, et 2) la production des feuilles petit-? lames des extr?mit?s de la feuille compl?te, ce des signaux que la production de fleur a d?but?s. Quand la fleuraison de masse, un bambou desserre habituellement le tout ses feuilles et chaque chaume accroche avec des milliers de fleurs. Dans les plus grands bambous, tels que des bambos de Bambusa, on l'a estim? qu'un chaume simple a 1.3 million de fleurs l?-dessus. Une grande usine peut-?tre de 100 - 200 chaumes, peuvent avoir jusqu'? un quart d'milliard de fleurs et produire beaucoup de tonnes de graine.

        Dans beaucoup de bambous la fleuraison souvent d?bute au d?but de la saison "dormante" - soyez que la saison s?che ou la saison fra?che - et est suivie de baisse de graine quelques mois plus tard, et parfois de mort ensuite. Si une usine enti?re fleurit, alors la fleuraison peut entourer l'usine enti?re, y compris les rhizomes, qui peuvent produire de nouveaux chaumes fleurissants.

        Les bambous ne meurent pas n?cessairement apr?s la fleuraison, mais la mort est beaucoup plus probable si la graine d'ensemble est lourde. En fait, seulement les pi?ces que la fleur mourra, et ainsi si seulement un chaume fleurit, seulement ce chaume mourra. Si tous les chaumes fleurissent, toute l'usine mourra.

        Th?ories

        On a propos? trois th?ories principales pour expliquer la fleuraison en bambou de masse ? longs intervalles d'beaucoup de-ann?e. 1) l'hypoth?se pr?datrice de rassasiement sugg?r?e par Janzen sugg?re que l'ensemencement de masse soit des moyens d'assurer ? certains au moins des graines survivent des pr?dateurs. Beaucoup d'animaux mangent les graines en bambou, en particulier rongeurs, mais ?galement volaille et porcs sauvages, ?l?phants et d'autres oiseaux. La fleuraison et l'ensemble de graine encourage les populations pr?datrices ? augmenter, par f?condit? accrue ou par migration. Ceci peut ?tre mortel aux graines en bambou si seulement un nombre limit? de graines ?taient produits, car aucun ne survivrait, ainsi le bambou inonde des pr?dateurs avec trop de graines pour en assurer survivent. 2) la th?orie de concurrence d'usine sugg?re que cela sous les bambous id?aux de circonstances maintiennent la dominance au-dessus de l'autre v?g?tation dans les secteurs dans lesquels elles se d?veloppent (voyez certaines des r?gions ?tendues des for?ts en l'Inde et Chine pour d'excellents exemples) et maintenir ainsi que dominance, la masse semant des tapis la terre avec la prog?niture et emp?che d'autres esp?ces d'obtenir un ?quilibre. 3) l'hypoth?se de cycle du feu, propos?e par Keeley et Obligation, qui sugg?re que la mort ? grande ?chelle des bambous fleuris augmente les chances du feu et du feu enl?ve du competiton toutes les autres usines.

        Unique th?orie n'a trouv? la faveur g?n?rale parmi des ?cologistes et des forestiers, et celui que la raison originale, la masse fleurissant ? beaucoup d'intervalles d'ann?e demeure une du moindre aspect compris du cycle de vie en bambou.

        Janzen, CAD 1976. Pourquoi les bambous attendent tellement longtemps pour fleurir. Revue annuelle annuelle de l'?cologie et de la syst?matique 7: 347 - 391

        Keeley, J.E. ; Obligation, W.J. 1999. Fleuraison et semelparity de m?t dans les bambous : l'hypoth?se en bambou de cycle du feu. Am?ricain-Naturaliste. 154: 3. 383-391

        ***************************
        Bamboo Flowering and Genetic Improvement

        The Flowering Bamboo

        Flowering of a bamboo can occur at many levels. On the smallest level, a single branch on a single culm of a single plant may produce a spikelet of flowers. At the largest level, an entire population, covering thousands of square kilometres, may flower and die in unison. Individual culms may flower and die whilst the parent plant remains unscathed, or whole plants may flower but survive to regenerate from rhizomes.

        Some species are relatively well documented and are known to flower at regular intervals of tens or dozens of years, dying after flowering to be replaced by the seedlings they produce. Others are known to flower only occasionally, with no apparent pattern to their flowering, either spatial or temporal. Some die as a result, some do not. But for most species their flowering habits are simply not known. There are even some species of bamboos whose flowers have never been seen. Mass flowering attracts the most attention, such as that of Bashania fangiana in the 1980s that affected the Giant panda, and the regular, once-every-48-year, flowering of Melocanna baccifera in Northeast India that brings famine and environmental degradation.

        Two tell-tale signs of impending flowering are 1) a reduction in the number of culms produced in the year or years before flowering, and 2) the production of small-bladed leaves from the ends of leaf complements, that signals flower production has commenced. When mass flowering, a bamboo usually looses all its leaves and each culm hangs with thousands of flowers. In the largest bamboos, such as Bambusa bambos, it has been estimated that a single culm has 1.3 million flowers on it. A large plant of perhaps 100 - 200 culms, may have up to a quarter of a billion flowers and produce many tonnes of seed.

        In many bamboos flowering often commences at the beginning of the "dormant" season - be that the dry season or the cool season - and is followed by seed drop a few months later, and sometimes death thereafter. If a whole plant flowers, then flowering may encompass the entire plant, including the rhizomes, which can produce new flowering culms.

        Bamboos do not necessarily die after flowering, but death is much more likely if set seed is heavy. In fact, only the parts that flower will die, and so if only one culm flowers, only that culm will die. If all the culms flower, the whole plant will die.

        Theories

        Three major theories to explain mass bamboo flowering at long many-year intervals have been proposed. 1) The predator satiation hypothesis suggested by Janzen suggests that mass seeding is a means of ensuring some at least seeds survive predators. Many animals eat bamboo seeds, particularly rodents, but also wild fowl and pigs, elephants and other birds. Flowering and seed set encourages predator populations to increase, either by increased fecundity or by migration. This may be fatal to the bamboo seeds if only a limited number of seeds were produced, as none would survive, so the bamboo swamps predators with too many seeds to ensure some survive. 2) The plant competition theory suggests that under ideal circumstances bamboos maintain dominance over other vegetation in the areas in which they grow (see some of the extensive tracts of forests in India and China for excellent examples) and so to maintain that dominance, mass seeding carpets the ground with offspring and prevents other species from getting a foothold. 3) The fire cycle hypothesis, put forward by Keeley and Bond, that suggests that large scale death of flowered bamboos increases the chances of fire and the fire removes from competiton any other plants.

        No one theory has found general favour amongst ecologists and foresters, and whatever the original reason, mass flowering at many year intervals remains one of the least understood aspect of the bamboo life cycle.

        Janzen, D.H. 1976. Why bamboos wait so long to flower. Annual Review of Ecology and Systematics 7: 347 - 391

        Keeley, J.E.; Bond, W.J. 1999. Mast flowering and semelparity in bamboos: the bamboo fire cycle hypothesis. American-Naturalist. 154: 3, 383-391

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        • #5
          Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

          Traduction automatique

          Les cerceaux de l'Inde pour la famine ont li? avec la fleuraison du bambou

          Pallava Bagla
          pour des nouvelles g?ographiques nationales
          Juin 22, 2001

          Le gouvernement de NOUVEAU DELHI, Inde-Le de l'Inde travaille sur un plan de secours pour adresser un manque r?gional et une famine relative de nourriture qui est attendue pour se produire deux ans d?s maintenant quand les vastes for?ts de bambou ?clatent dans la fleur.

          Quelques esp?ces de la fleur en bambou seulement toutes les 40 ? 50 ann?es. Dans une s?rie d'?v?nements intrigante, ces p?riodes de la fleuraison m?nent parfois ? la destruction des r?coltes de base, et ? la famine r?pandue suivante, dans les r?gions de l'Inde o? le bambou se d?veloppe fortement.

          La derni?re famine de cette nature s'est produite de 1961 ? 1965 dans l'?tat accident? de Mizoram en Inde orientale, une aire de 21.000 kilom?tres carr?s (12.482 milles carr?s) avec une population plus de de 700.000.

          Les rapports sugg?rent qu'un autre cycle de la fleuraison en bambou lourde se produise dans la r?gion en 2003, qui a incit? l'Inde ? convoquer une r?union de secours de son corps national de planification la semaine derni?re pour se pr?parer ? la calamit? possible.

          Il y a des centaines d'esp?ces de bambou dans le monde. Certains fleurissent chaque ann?e, certains ? intervalles irr?guliers. Mais un petit pourcentage fleurit dans des centaines synchrony et finies de kilom?tres carr?s, toutes les quelques d?cennies. Les chercheurs ne sont pas s?rs comment il se produit.
          La ? Science doit dater non pu expliquer comment le m?me message est pass? parmi les blocs en bambou s?par?s par cent de kilom?tres pour fleurir en m?me temps, ledit botaniste H. Y. RAM de Mohan de l'universit? de Delhi, qui est l'une des premi?res autorit?s du pays sur le bambou.

          Il specule que les rhizomes du bambou ont un certain genre de trait de ? m?moire ? qui fait les usines se d?velopper dans la synchronisation, ?clatent alors dans la fleur toute en m?me temps. Apr?s la fleuraison massive, les blocs de bambou meurent, dans quelle RAM de Mohan appelle ? un genre de suicide par la surproduction. ?

          Comment est-ce que tout ceci m?ne ? la famine ?

          Maraudeurs de rongeur

          Quand le bambou plante la fleur, ils produisent un de large volume des graines, qui sont une source de nourriture pour beaucoup de pr?dateurs, particuli?rement des rats.

          Comme les masses du produit en bambou fleurissant cette g?n?rosit? normale, rats sont attir?es au secteur. Enrichi par les graines riches en prot?ines, ils multiplient rapidement.

          Mais l'approvisionnement en graines en bambou est limit?. Quand il est ?puis?, les arm?es de ces rongeurs de maraudage tournent leur attention aux r?coltes sur pied, d?vorant des acres de riz, des pommes de terre, et des patates douces dans quelques jours. En cons?quence , les paysans locaux, qui d?pendent enti?rement de l'agriculture pour leur sustentation, sont sujets ? la famine.

          Le ph?nom?ne se produit principalement dans Mizoram, qui est fortement couvert de deux esp?ces du bambou (scientifiquement connu sous le nom de Tulda de Bambusa et Bachiphera de Melocana). L'impact peut ?tre si d?vastateur que le folklore local soit plein des contes au sujet de cet ?v?nement cyclique normal.

          Efforts d'emp?chement

          B. Hari Gopal du d?partement de l'Inde de la Science et de la technologie ? New Delhi ?tait l'un des premiers scientifiques pour ?tudier la fleuraison en bambou cyclique et la croissance associ?e des populations de rat.
          La mont?e subite dans le nombre de rats, il a expliqu?, ? pourrait ?tre attribu? ? une r?duction du cannibalisme et au rapetissement de l'espace de temps entre les grossesses par suite d'un approvisionnement abondant en nourriture fortement nutritive. ?

          L'administration locale a essay? de limiter la prolif?ration des rats en offrant une r?compense mon?taire pour le massacre les-?quivalent aux ?tats-Unis $2.50 pour chaque 100 rats ont tu?. Les queues des rats sont soumises aux fonctionnaires comme ?vidence que les animaux ont ?t? tu?s.

          Hari Gopal a indiqu? que quand le cycle le plus r?cent de la fleuraison en bambou dans la r?gion a commenc?, les villageois ?taient massacre environ 500.000 rats par ann?e. Avant que la fleuraison ait fait une pointe environ deux ans apr?s, le nombre avait mont? cinq fois autant, ? 2.6 millions de rats tu?s tous les ans.

          Hari Gopal et d'autres scientifiques travaillent pour comprendre mieux les liens entre la fleuraison et la famine en bambou. En attendant, le gouvernement indien con?oit un plan pour traiter un cycle de la fleuraison et de la famine en bambou qui est attendue pour se produire en 2003.

          L'?tat a ?t? command? pour augmenter consid?rablement des stocks de nourriture dans la r?gion et pour stocker ces dispositions dans des silos de rongeur-preuve.

          D. N. Tiwari, un membre de la Commission de la planification du gouvernement, lesdits fonctionnaires consid?raient ?galement d'autres mesures, telles que remplacer des vari?t?s fleurissantes de bambou avec le non-fleurissant.

          La RAM de Mohan regarde une approche telle que ? exotique. ? Il croit que la seule mani?re d'?viter la famine cyclique li?e ? la fleuraison en bambou est d'enseigner des fermiers ? planter des r?coltes que les rats ne mangent pas, comme le gingembre et le safran des indes, pendant les p?riodes o? on s'attend ? ce que de vastes champs de bambou fleurissent.

          Explore National Geographic. A world leader in geography, cartography and exploration.

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          • #6
            Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

            Traduction automatique

            Le bambou fleurissant dans le nord-est de l'Inde soul?ve des craintes de famine

            AIZAWL, Inde (AFP) Mars 18, 2004

            Les chr?tiens dans le nord-est ? distance de l'Inde s'assemblent aux ?glises pour offrir des pri?res afin d'?carter une famine qu'ils craignent pourraient frapper la r?gion n'importe quand.

            Le souci a ?t? d?clench? par des signes que les vastes r?gions de la for?t en bambou sont sur le point de ?clater dans la fleur -- un ?tat chr?tien de Mizoram d'?v?nement principalement croit la catastrophe imminente de signaux.

            Il y a une ?nonciation dans l'?tat minuscule de colline juste au-dessous de d'un million de personnes tribales encadrant Myanmar et le Bangladesh qui quand le bambou fleurit, famine, mort et destruction suivent.

            Derri?re le superstitution se trouve une certaine v?rit? scientifique, pendant que fleurissant bambou peut d?clencher une invasion des rats qui proc?dent ?roder des approvisionnements alimentaires.

            "Nous offrons des pri?res sp?ciales presque quotidiennement ainsi Dieu ne verse pas des mal?dictions sur les personnes de Mizoram en l?chant une famine dans l'?tat," R. Lalringliana, un chef d'?glise presbyt?rienne dans la capitale d'?tat Aizawl, dit

            Les for?ts en bambou en fleur du nord-est de l'Inde chaque quelques d?cennies et folklore est nombreuse avec des contes de l'impact d?vastateur de cet ?v?nement cyclique normal.

            "Nous sommes vraiment inqui?t?s, j'avons deux petits enfants. Qu'arrivera ? eux s'il y a une famine ? Nous serons condamn?s, "ledit guide S. Zama, 35 de voyage.

            Le gouvernement d'?tat partage le souci des r?sidants.

            "La fleuraison en bambou est un mauvais pr?sage et nous sommes profond?ment inqui?t?s," a dit le ministre en chef Zoramthanga de Mizoram, qui emploie seulement un nom.

            "Il n'est pas superstitieux pour penser la famine fleurissante en bambou de signaux. C'est une r?alit? rigide. Nous avons ?prouv? des manifestations de famine dans le pass? dans les circonstances semblables, "il a dit.

            Le gouvernement et ceux priant ont l'histoire de leur c?t? pour soutenir le leur s'inqui?te. Les Anglais, les anciens gouverneurs coloniaux de l'Inde, ont not? les effets de la fleuraison en bambou quand ils ont enregistr? une famine dans 1862 dans Mizoram et une seconde en 1881, des comptes historiques disent.

            Une famine 1911-1912 est cens?e ?galement pour avoir ?t? li?e au bambou fleurissant. Et en 1959, le bambou fleurissant dans les ?tats de Mizoram, le Tripura, le Manipur et la partie d'Assam ont annonc? une famine que les 10.000 ? 15.000 vies r?clam?es.

            "Pourquoi le bambou groupe un myst?re des restes de fleur mais on l'est cens? pour ?tre provoqu? par une caract?ristique qui les fait se d?velopper ? l'unisson, fleurissez alors," a dit D. Das, un professeur ? l'universit? d'agriculture d'Assam.

            "La fleuraison du bambou produit les graines ?normes qui attire des pr?dateurs, la plupart du temps des rats," il a dit. Renforc? par les graines riches en prot?ines, les rongeurs se multiplient rapidement.

            Quand les graines sont exhaused, des arm?es de chomp de rats leur voie par le riz et des r?coltes et des greniers de pomme de terre, causant la famine.

            Les scientifiques disent qu'apr?s la fleuraison, la matrice en bambou, partant du sol nu qui a comme cons?quence l'?rosion et la p?nurie de nourriture pour la faune. Les arbres en bambou reseed mais cela prend plusieurs ann?es pour qu'elles se d?veloppent.

            Non seulement la fleuraison en bambou d?j? a ?t? rapport?e dans Mizoram mais une ?tude par les pr?visions d'institut de for?t tropicale le ph?nom?ne se produira dans Tripura, Manipur, Meghalaya et parties d'Assam.

            L'institut s'attend ? ce que le probl?me fasse une pointe en 2006-2007 avec Mizoram frapp? le plus dur. Il moissonne 40 pour cent de la r?colte en bambou annuelle du 80-million-tonne de l'Inde.

            Les autorit?s sont impatientes de se diriger outre d'une r?p?tition de la mort du bambou, autour duquel l'?conomie de Mizoram tourne. La pulpe et le papier, les travaux manuels et le carburant sont parmi les produits faits ? partir du bambou.

            La derni?re fois le bambou a fleuri vers la fin des ann?es 50, il a caus? la famine et la lourde perte des r?coltes. Le manque fini de gouvernement de col?re de fournir le soulagement prompt de famine a eu comme cons?quence la formation de l'avant national de Mizo qui a fait une guerre mortelle pour l'ind?pendance avant de signer une affaire de paix avec la Nouvelle Delhi en 1986.

            Maintenant une partie politique, l'avant national de Mizo dirige le gouvernement men? par Zoramthanga, un ancien chef de gu?rillero.

            "Nous voulons renverser le ph?nom?ne fleurissant dans une occasion ?conomique en r?duisant les bambous et en les moissonnant avant qu'ils fleurissent compl?tement," Zoramthanga dit. "Nous voulons apporter un 'or 'vert r?volution par des bambous."

            Mais ce pourrait ?tre une proposition dure comme la majeure partie du bambou est situ?e dans l'ext?rieur, dur-?-atteint des parties de l'?tat.


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            TERRA.WIRE

            Flowering bamboo in India's northeast raises famine fears

            AIZAWL, India (AFP) Mar 18, 2004
            Christians in India's remote northeast are flocking to churches to offer prayers in a bid to ward off a famine they fear could strike the region anytime.
            The worry has been triggered by signs that vast tracts of bamboo forest are about to burst into flower -- an event mainly Christian Mizoram state believes signals impending catastrophe.

            There is a saying in the tiny hill state of just under one million tribal people bordering Myanmar and Bangladesh that when the bamboo flowers, famine, death and destruction follow.

            Behind the superstitution lies some scientific truth, as blooming bamboo can trigger an invasion of rats which proceed to eat away food supplies.

            "We're offering special prayers almost daily so God does not shower curses on the people of Mizoram by unleashing a famine in the state," R. Lalringliana, a Presbyterian church leader in the state capital Aizawl, told

            The bamboo forests in India's northeast flower every few decades and folklore is rife with tales of the devastating impact of this natural cyclical event.

            "We're really worried, I've got two small children. What will happen to them if there's a famine? We'll be doomed," said travel guide S. Zama, 35.

            The state government shares the concern of residents.

            "Bamboo flowering is a bad omen and we're deeply worried," said Mizoram Chief Minister Zoramthanga, who uses only one name.

            "It's not being superstitious to think bamboo flowering signals famine. It's a stark reality. We've experienced famine outbreaks in the past under similar circumstances," he said.

            The government and those

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            • #7
              Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

              Traduction automatique

              Fleurs de sort malheureux

              S. Lamjagou Vaiphei



              Bamboo.s des marques de longue dur?e il un symbole chinois de la longue vie. En Inde c'est un symbole de l'amiti?. Plusieurs cultures asiatiques, y compris celle des ?les d'Andaman, croient que l'humanit? a ?merg? d'une tige en bambou. M?me une l?gende malaisienne dispara?t qu'un homme qui r?ve d'une belle femme tandis que le sommeil sous une usine en bambou se r?veille pour d?couvrir la femme ? l'int?rieur de la tige en bambou apr?s interruption d'elle. Dans les Philippines, des croix en bambou sont employ?es comme bon charme de chance par des fermiers. Au Japon, une for?t en bambou entoure parfois un tombeau de Shinto en tant qu'?l?ment d'une barri?re sacr?e contre des maux. Mais ? l'India.s nord-easterners, elle a la connotation des autres, diff?rente et sinistre.

              Quand les fleurs de jaune, mauve et cramoisies peignent les collines et les vall?es dans le nord-east aux nuances resplendissantes, un sens de sort malheureux descend. Pour les personnes de la r?gion, la fleuraison des fleurs en bambou signifie seulement une chose. que la famine in?vitable n'est pas derri?re lointain. Une ?nonciation traditionnelle dans Mizoram, l'?tat minuscule de colline en Inde de nord-est, va cela quand le bambou fleurit, famine, la mort et la destruction suivra bient?t. Qui meilleur que le Mizos robuste saurait ceci, consid?rant que leur est probablement la seule terre sur terre o? l'histoire est ?troitement entrelac?e avec le cycle myst?rieux de la fleuraison en bambou. La fleuraison des vastes for?ts en bambou des collines de Mizo est attach?e avec l'?cosyst?me de cette r?gion principalement agraire des mani?res qui ont des ramifications profondes pour sa histoire sociale et politique.

              Vers la fin des ann?es 50, du gr?gaire ou du synchronis? fleurissant une fois en tout les 50 ans d'des esp?ces particuli?res de bambou connues localement comme Mautak., men?es ? une famine induite par la croissance explosive de la population des rats. rat-famine ou Mautam.. C'?tait avec pr?cision ce bambou fleurissant dans le d?clarer que cela a men? ? la d?sillusion et la col?re due aux manques d'autorit?s de r?pondre avec le soulagement rapide de famine, qui a finalement eue comme cons?quence l'avant national de famine de Mizo, une organisation cr??e pour aider ? peuple obtiennent le soulagement, changeant en avant national de Mizo, une partie politique ethnique qui a impliqu? le Mizos dans une guerre 20-year d'usure contre l'Inde qui a fini seulement en 1987 avec une entente de paix. Un comportement si particulier des bambous cr?e souvent des probl?mes ?cologiques, ?conomiques et sociaux, en particulier dans le nord-east Inde en raison de son d?veloppement faible d'infrastructure.

              Ce spectre de tristesse hante la r?gion de Ne de nouveau avec des rapports des ph?nom?nes normaux se produisant dans diff?rentes parties du nord-est. Les experts ? l'institut de recherche de recherche de for?t tropicale (RFRI), Jorhat a pr?vu une autre fleuraison gr?gaire du bambou de Muli entre l'exc?dent 2005-07 par secteur de 18.000 kms carr?s dans les ?tats nord-est d'India.s de Mizoram. l'?picentre, Tripura, Manipur, Arunachal Pradesh, Meghalaya et dans les parties d'Assam. La zone de Manipur.s Tamenglong tournoie d?j? sous une menace de rongeur, les r?sultats de la fleuraison en bambou. R?cemment la fleuraison d'autres esp?ces des bambous a ?t? ?galement rapport?e de la zone est Sappa de Kameng d'Arunanchal Pradesh.

              Deux signes indicateurs de fleuraison imminente qui apparaissent d?j? dans quelques parties de la r?gion de Ne sont : Une r?duction du nombre de chaumes a produit en ann?e ou ann?es avant la fleuraison, et la production des feuilles petit-? lames des extr?mit?s de la feuille compl?te, ce des signaux que la production de fleur a d?but?s. Quand la fleuraison de masse, un bambou desserre habituellement le tout ses feuilles et chaque chaume accroche avec des milliers de fleurs. Dans les plus grands bambous, tels que des bambos de Bambusa, on l'a estim? qu'un chaume simple a 1.3 million de fleurs l?-dessus. Une grande usine peut-?tre de 100 - 200 chaumes, peuvent avoir jusqu'? un quart d'milliard de fleurs et produire beaucoup de tonnes de graine.

              Il ne devrait pas y avoir aucune panique inutile. DR Barooah, un scientifique avec la technologie de la Science d'Assam et Conseil "Environnement" (ASTEC) et qui a fait l'?tude ?tendue sur les esp?ces de bambou commun comme le Jati et le Bhaluka de la r?gion, avec force faits l'observation dont la fleuraison gr?gaire serait ?t? t?moin seulement dans le cas du bambou de Muli (baccifera de Melocana) et pas avec les esp?ces de bambou commun de l'?tat et pour cette mati?re de la r?gion nord-est de l'Inde. Ce les esp?ces (muli) du bambou se d?veloppe dans le sauvage la plupart du temps dans les secteurs accident?s de la partie m?ridionale de l'?tat et dans Mizoram voisin.

              La crainte d'une famine balayant l'?tat a intensifi? avec des signes que les vastes r?gions de la for?t en bambou sont fleurissantes. L'It n'est pas un mythe ou aucune croyance superstitieuse pour penser cette famine fleurissante en bambou de signaux. C'est r?alit? rigide et la r?gion avait ?prouv? et ?t? t?moin une manifestation de famine dans le pass? dans les circonstances semblables. dit le Ministre de l'agriculture d'Arunachal Pradesh Tsering Gyurme.

              Bien qu'aucune ?tude d?taill?e scientifique ne soit disponible, il y a des rapports qui documentent l'occurrence historique de la fleuraison et de la famine en bambou dans nord-east Inde en particulier dans Mizoram. Selon des disques, fleuraison du ce esp?ces m?mes du bambou (bambou de Muli) men? aux famines en 1862, 1881, 1911-12 et 1959. La famine 1959 r?clam?e entre les 10.000 et 15.000 vies en vall?e de Mizoram, de Tripura, de Manipur et de Barak d'Assam. Bas? sur ceci, les projections ont ?t? faites qu'on s'attend ? ce que le prochain cycle fleurissant se produise pendant 2004-2007.

              La fleuraison du bambou est une ?nigme botanique. Les facteurs responsables de la fleuraison doivent ?tre compris encore enti?rement. Presque tout le bambou semble avoir leur propre histoire de la vie et la plupart d'entre elles fleur une fois dans une vie et mourir apr?s la fleuraison et plus tard le r?g?n?r? des graines. Les disques de la fleuraison en bambou dans Mizoram remontent ? 1880. La fleuraison est divis?e en deux cat?gories bas?es sur les esp?ces en bambou ? savoir. Mautam et Thigtam (noms r?gionaux). Ces deux fleuraison se sont av?r?s pour se produire ? intervalles r?guliers d'approximativement 47 ? 50 ans.

              La plupart des esp?ces de bambou en Inde. maison aux plus grandes for?ts en bambou de world.s. fleurissez simultan?ment tous les 50 ans, puis placez la graine et mourez. En ann?es pr?c?dentes, la production simultan?e des graines par des millions d'usines en bambou a caus? une mont?e subite dans le nombre de rongeurs demanger. Les rongeurs se d?placent alors aux champs voisins de paddy et de pomme de terre ? la recherche de la nourriture, avec un effet d?vastateur sur des r?coltes d'agrafe. Les rats prosp?rent litt?ralement des graines des fleurs en bambou. Les experts disent que les rongeurs se multiplient ? un taux ?norme pendant qu'ils obtiennent assez de nourriture pour soutenir une grande population des fleurs et des graines en bambou. Les fleurs et les graines augmentent ?galement le niveau d'oestrog?ne des rongeurs, menant ? l'des jaillissements dans la population de rongeur.

              Ajoute DR Chandra Barooah : Le Flowering du bambou est un ph?nom?ne rare et normal et est p?riodique ou annuel. Il est gr?gaire, sporadique ou parfois tous deux. L'habitude de la fleuraison dans les bambous peut ?tre classifi?e dans trois types, ? savoir, fleuraison fleurissante et irr?guli?re fleurissante, gr?gaire et p?riodique annuelle. L'arundinacea de Bambusa, le polymorpha de B. (c'est-?-dire, Betua Banh) et le baccifera de Melocanna (Muli) ont l'habitude de la fleuraison gr?gaire ou p?riodique sur un cycle de 25-70 ans. Ces chaumes et blocs d'esp?ces commencent ? mourir apr?s la fleuraison ou l'ensemencement.

              La Pr?paration Des Autorit?s

              Le chatouillement de l'esprit d'everybody.s est ? quelle distance ayez les gouvernements d'?tats, le centre et la vitesse de r?gion vers le haut pour la catastrophe imminente. Ou attend-il juste pour voir l'importance du d?sastre ?

              Le comit? de coordination de centre.s se dirige par le secr?taire, le minist?re de l'environnement et les for?ts, Dr. Prodipto Ghosh, a pass? en revue le plan d'action pour adresser le ph?nom?ne ?cologique normal de la fleuraison gr?gaire des bambous de muli (baccifera de Melocanna), ayant des implications sociales et ?conomiques ?lev?es. Selon des sources officielles, le centre a propos? d'assigner Rs. 105.00 crores pour adresser ce ph?nom?ne ?cologique normal. On estime que la quantit? exig?e pour le but selon les projections des ?tats est de l'ordre de Rs 327.90 crores.

              Le comit? aura trois secteurs de foyer. moisson, r?g?n?ration du secteur et commande de rongeur.

              Le gouvernement indien, afin d'essayer d'amplifier le bambou moissonnant avant que la fleuraison commence, a ?limin? tous les droits d'exportation jusqu'en 2007. Enti?rement averti de son importance ?conomique, il a ?galement lanc? une initiative pour investir $500 millions dans le d?veloppement en bambou dans la d?cennie suivante, dans le but de cr?er 8 millions d'emplois.

              La Commission de planification a ?galement convenu le in-principe. pour fournir l'aide de Rs 85 crores comme un nouvel arrangement centralement commandit? ? fonctionner par le minist?re de l'environnement et des for?ts en plus de fournir ACA, aux gouvernements d'?tat est concern?.

              Le minist?re d'India.s de l'environnement et des for?ts a install? deux comit?s pour recommander des mani?res de limiter des pertes de r?colte. On a sugg?r? que le bambou soit extrait avant lui fleurisse, et que la v?g?tation m?lang?e est plant?e juste apr?s que fleurissant pour arr?ter l'?rosion de sol. La seconde recommande d'am?liorer des ?quipements de moisson et de stockage pour le bambou extrait, et enlever des restrictions ? l'exportation pour trouver les sorties additionnelles pour le bambou moissonn?.

              Dans une proposition s?par?e, le centre pour la ressource en bambou indienne et la technologie (CIBART) explore un projet pilote avec le minist?re le gouvernement d'?tat rural de d?veloppement et de Manipur, qui implique de cr?er une zone-tampon. dans quel bambou serait compl?tement enlev? pour d?courager des rats. autour des villages decroissance dans la zone de state.s Tamenglong.


              Avec des rapports de la fleuraison en bambou sporadique dans Mizoram, le minist?re du commerce et de l'industrie a d?clar? l'exportation libre du bambou de muli pour faciliter le marketing de la r?colte moissonn?e. Les sources ont indiqu? que l'offre serait valide jusqu'mars ? 31, 2007 sous l'exportation et politique d'importations sous l'acte 1993 de commerce ext?rieur (d?veloppement et r?glement), sujet aux r?gles de passage des ?tats int?ress?s.

              Parmi les ?tats de nord-est, Mizoram, l'?picentre des ph?nom?nes, m?ne la brigade dans fighting.against la calamit?. Le gouvernement d'?tat a ?labor? un plan d'action ? trois fourchons pour aborder n'importe quel d?sastre imminent. Le premier composant de cet arrangement raffin? est moisson t?t du bambou. Deuxi?mement, un programme de gestion de rongeur a ?t? ?galement donn? un coup de pied au loin dans l'?tat. Et, en conclusion, mesures pour la r?g?n?ration des usines en bambou, qui tournoient sous la fleuraison nocive.

              Cependant, certains organismes d'?tat et individus sont devenus gravement int?ress?s avec la politique en bambou de state.s et dit l'intention de gouvernement d'?tat de moissonner tout le bambou peut finir dans ?cologique aussi bien que le d?sastre ?conomique.

              Selon C. Rokhuma, un expert en famine de Mizoram.s Mautam qui se produit dans un cycle 50-year, la fleuraison des bambous est des ph?nom?nes normaux quand le cycle de vie des plus grandes esp?ces en bambou de state.s, le bambou de baie ou le Mellocana Baccifera sous son nom botanique, vient ? un It d'extr?mit? ?tait mani?re de nature.s de propager une nouvelle g?n?ration de bambou quand les d?buts de fleuraison et les bambous commencent ? mourir au loin.

              Les marques de mort de bambou de The pour le grand engrais organique et l'ann?e apr?s des bambous meurent au loin a toujours vu le grand paddy et les moissons v?g?tales comme jamais non avant ?prouv?. La moisson de tous les bambous avant qu'ils meurent au loin ne signifierait aucun engrais normal pour la terre qui pourrait signifier une plus grande famine. avertit Rokhuma.

              Arunachal Pradesh ne tra?ne pas derri?re non plus. Dit le Ministre de l'agriculture d'Arunachal Pradesh Tsering Gyurme, We Ont adress? un appel public demandant ? des personnes de r?duire au minimum la bi?re de riz de fermentation et de stocker ? la place des c?r?ales pour la survie ? la suite d'une famine qui est apparence vague grande au-dessus de la r?gion.

              En tant qu'?l?ment d'un plan de gestion de d?sastre de gouvernement, des autorit?s ont ?t? soulev?es avec certaines mani?res ing?nieuses d'aborder la menace de rat avec des secteurs comme la zone est de Kameng ?tant le plus mauvais coup. Tuez un rat et obtenez une r?compense d'argent comptant de deux roupies est le plus en retard dans une s?rie de mesures d'anti-rongeur par le gouvernement - un arrangement qui est devenu tr?s populaire dans Seppa, les si?ges sociaux de la zone est de Kameng, 160 kilom?tres ? l'est du capital d'?tat.

              FAITS EN BAMBOU

              Pourquoi la fleuraison gr?gaire se produit-elle ?

              Bien qu'un ?ventail de recherche continue, la fleuraison du bambou est encore non expliqu?e et myst?rieuse. Il y a plusieurs th?ories sur les causes de la fleuraison et de la mort des bambous comme ceux qui relient le ph?nom?ne ? pathologique, ? p?riodique, le mutational, alimentaire, humain, ressource s'assortissant, raisons pr?datrices de rassasiement, et hypoth?se en bambou de cycle de faune.

              Physiologiquement, les bambous diff?rent de mani?re significative de l'autre v?g?tation en raison du m?canisme de la fleuraison. G?n?ralement, la plupart des esp?ces en bambou fleurissent en troupe aux intervalles fixes et ? tous blocs comprenant ceux de la matrice courante d'ann?e apr?s la fleuraison. La majorit? de bambous tombent entre les deux ?tats physiologiques de fleuraison constante (atra de Bambusa) et de st?rilit? constante (Bambusa vulgaris). Quelques bambous meurent dans un d?lai de deux ans apr?s la fleuraison alors que d'autres ne meurent pas mais alors la croissance ralentit pendant la p?riode fleurissante comme dans des esp?ces de Phyllostachys et d'Arundinaria. La fleuraison est comme le r?glage sur un r?veille-matin qui est r?gl? pour aller au loin ? un moment particulier o? toutes les populations d'des esp?ces donn?es ont augment? de la m?me source de graine, n'importe o? elles sont situ?es, commenceraient ? fleurir en m?me temps. Par exemple, des graines de l'oliveri de Thyrsostachys qui ont fleuri en Birmanie dans 1891 ont ?t? sem?es ? Calcutta et Dehradun- deux endroits s?par?s par 1500 kilom?tres de l'un l'autre. Les blocs ont augment? de ces graines fleuries simultan?ment ? Calcutta et Dehradun en 1940 et fleuries encore en 1987-88 indiquant le cycle fleurissant de 48 ans.
              Pourquoi fleuraison gr?gaire tellement la cause est-elle concern?e ?

              Dans la r?gion de Ne, bas?e sur des exp?riences personnelles, les personnes locales ont la connaissance sur la p?riodicit? et les probl?mes li?s ? la fleuraison gr?gaire dans la r?gion. Il y a croyance g?n?rale soutenue par une certaine perspective scientifique que la fleuraison gr?gaire des bambous apporte ? famine. Le ph?nom?ne peut ?tre expliqu? comme s?rie d'?v?nements se produisant dans l'ordre suivant. La fleuraison gr?gaire des bambous produit de grandes quantit?s de graines, qui cause alternativement l'explosion de population soudaine dans les rats. Cependant, la quantit? de graines disponibles pour des rats diminue bient?t sur la germination des graines apr?s les pluies. L'approvisionnement court r?sultant en graines en bambou d'une part et grande population des rats de l'autre, des rats de marques se dirigeant vers les champs dans les secteurs contigus et causant la perte large de diffusion aux r?coltes. Une telle s?rie d'?v?nements a le potentiel de causer la famine.

              Le folklore ? part, des scientifiques indiquent que les ph?nom?nes ?tranges de la fleuraison en bambou assouvit le ravage ?cologique en raison de quelques raisons. L'une d'entre elles est que les usines en bambou meurent apr?s la fleuraison. Ce sera au moins quelques ann?es avant que les usines en bambou prennent la graine encore, laissant le sol expos? nu - qui pourrait ?tre d?sastreux dans les ?tats montagneux - et menant ?galement ? la p?nurie de nourriture, puisque les animaux d?pendent des usines en bambou.

              Les pr?parations par le Mizos pour une famine pr?vue due ? la fleuraison en bambou peuvent sembler intrigantes et m?me au-dessus-enthousiastes pour n'importe qui qui n'est pas au courant de l'histoire et de la soci?t? des personnes de Mizo. Il peut se rappeler que le gouvernement d'Assam a rejet? la demande. pour sanctionner au District Council de Mizo que une somme de Rs 15 lakhs pour toute la zone (Mizoram ?tait toujours alors une zone d'Assam) pour d?penser sur le soulagement mesure. du Mizos, qui avait pr?vu la famine en 1958. Raison : L'anticipation n'?tait pas scientifique et des famines ne pourraient pas ?tre pr?vus. Retomb?es radioactives : Mars 1, 1966 le MNF ont d?clar? l'ind?pendance des personnes de Mizo d'Inde et ont ainsi commenc? un chapitre violent d'insurrection.

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              Flowers of Doom

              S. Lamjagou Vaiphei
              Bamboo?s long life makes it a Chinese symbol of long life. In India it is a symbol of friendship. Several Asian cultures, including that of the Andaman Islands, believe that humanity emerged from a bamboo stem. Even a Malaysian legend goes that a man who dreams of a beautiful woman while sleeping under a bamboo plant wakes up to discover the woman inside the bamboo stem after breaking it. In the Philippines, bamboo crosses are used as a good luck charm by farmers. In Japan, a bamboo forest sometimes surrounds a Shinto shrine as part of a sacred barrier against evils. But to the India?s North-Easterners, it has another, different and ominous connotation.

              When the yellow, mauve and crimson flowers paint the hills and vales in the North-East in resplendent shades, a sense of doom descends. For the people of the region, the flowering of the bamboo blossoms means only one thing ? that the inevitable famine is not far behind. A traditional saying in Mizoram, the tiny hill state in north-east India, goes that when the bamboo flowers, famine, death and destruction will soon follow. Who better than the hardy Mizos would know this, considering that theirs is probably the only land on earth where history is closely intertwined with the mysterious cycle of bamboo flowering. Flowering of the vast bamboo forests of the Mizo hills is tied up with the ecosystem of this primarily agrarian region in ways that have profound ramifications for its social and political history.

              In the late 1950s, the gregarious or the synchronized flowering once in every 50 year of a particular species of bamboo known locally as ?Mautak?, led to a famine induced by the explosive growth in the population of rats ? rat-famine or ?Mautam?. It was precisely this bamboo flowering in the state that led to the disillusionment and anger due to the authorities? failures to respond with quick famine relief, which finally resulted in the Mizo National Famine Front, an organization created to help people get relief, changing into the Mizo National Front, an ethnic political party which involved the Mizos in a 20-year war of attrition against India which ended only in 1987 with a peace accord. Such a peculiar behaviour of bamboos often creates ecological, economic and social problems, particularly in the North-East India because of its poor infrastructure development.

              This spectre of gloom is haunting the NE region once again with reports of the natural phenomena occurring in different parts of the north-east. Experts at the Rain forest Research Institute (RFRI), Jorhat has anticipated another gregarious flowering of Muli bamboo between 2005-07 over an area of 18,000 sq. kms in India?s north-eastern states of Mizoram ? the epicentre, Tripura, Manipur, Arunachal Pradesh, Meghalaya and in parts of Assam. Manipur?s Tamenglong district is already reeling under a rodent menace, the outcome of bamboo flowering. Recently flowering of other species of bamboos has also been reported from East Kameng District Sappa of Arunanchal Pradesh.

              Two tell-tale signs of impending flowering which are already appearing in some parts of the NE region are: A reduction in the number of culms produced in the year or years before flowering, and the production of small-bladed leaves from the ends of leaf complements, that signals flower production has commenced. When mass flowering, a bamboo usually looses all its leaves and each culm hangs with thousands of flowers. In the largest bamboos, such as Bambusa bambos, it has been estimated that a single culm has 1.3 million flowers on it. A large plant of perhaps 100 - 200 culms, may have up to a quarter of a billion flowers and produce many tonnes of seed.

              There should not be any unnecessary panic. Dr Barooah, a scientist with the Assam Science Technology and Environment Council (ASTEC) and who has done extensive study on the common bamboo species like the Jati and Bhaluka of the region, forcefully made the observation that gregarious flowering would be witnessed only in the case of the Muli bamboo (Melocana baccifera) and not with the common bamboo species of the State and for that matter of the north eastern region of India. This species (muli) of the bamboo grows in the wild mostly in the hilly areas of southern part of the State and in neighbouring Mizoram.

              The fear of a famine sweeping the state has heightened with signs that vast tracts of bamboo forest are flowering. ?It is not a myth or any superstitious belief to think that bamboo flowering signals famine. It is stark reality and the region had experienced and witnessed an outbreak of famine in the past under similar circumstances,? says Arunachal Pradesh Agriculture Minister Tsering Gyurme.

              Although no scientific detailed study is available, there are reports that document the historical occurrence of bamboo flowering and famine in North-East India particularly in Mizoram. As per records, flowering of this very species of the bamboo (Muli bamboo) led to famines in 1862, 1881, 1911-12 and 1959. The 1959 famine claimed between 10,000 and 15,000 lives in Mizoram, Tripura, Manipur and Barak Valley of Assam. Based on this, the projections have been made that the next flowering cycle is expected to occur during 2004-2007.

              Flowering of bamboo is a botanical enigma. The factors responsible for flowering are yet to be understood fully. Nearly all bamboo seems to have their own life history and most of them flower once in a lifetime and die after flowering and subsequently regenerate from seeds. Records of bamboo flowering in Mizoram date back to 1880. The flowering is divided into two categories based on the bamboo species viz. Mautam and Thigtam (local names). Both these flowering have been found to occur at regular intervals of roughly 47 to 50 years.

              Most species of bamboo in India ? home to the world?s largest bamboo forests ? flower simultaneously every 50 years, then set seed and die. In previous years, the simultaneous production of seeds by millions of bamboo plants has caused a surge in the number of seed-eating rodents. The rodents then move to nearby paddy and potato fields in search of food, with a devastating effect on staple crops. Rats literally thrive on the seeds of bamboo flowers. Experts say the rodents multiply at a tremendous rate as they get enough food to sustain a large population from the bamboo flowers and seeds. The flowers and seeds also enhance the oestrogen level of rodents, leading to a spurt in the rodent population.

              Adds Dr Chandra Barooah: ?Flowering of bamboo is a rare and natural phenomenon and is either periodic or annual. It is either gregarious, sporadic or sometimes both. Habit of flowering in bamboos can be classified into three types, namely, annual flowering, gregarious and periodic flowering and irregular flowering.? Bambusa arundinacea, B. polymorpha (that is, Betua Banh) and Melocanna baccifera (Muli) have the habit of gregarious or periodical flowering on a cycle of 25-70 years. These species? culms and clumps begin to die after flowering or seeding.

              Authorities' Preparation

              Tickling everybody?s mind is how far have the states? governments, the centre and the region gear up for the impending catastrophe. Or is it just waiting to see the magnitude of the disaster?

              The centre?s steering committee headed by the Secretary, Ministry of Environment and Forests, Dr. Prodipto Ghosh, reviewed the action plan to address the natural ecological phenomenon of gregarious flowering of muli bamboos (Melocanna baccifera), having high social and economic implications. According to official sources, the Centre has proposed to allocate Rs. 105.00 crores to address this natural ecological phenomenon. The amount required for the purpose as per the projections of the states is estimated to be of the order of Rs 327.90 crores.

              The committee will have three focus areas ? harvesting, regeneration of the area and rodent control.

              The Indian government, in an attempt to boost bamboo harvesting before flowering begins, has eliminated all export duties until 2007. Fully aware of its economic importance, it has also launched an initiative to invest $500 million in bamboo development in the next decade, with the aim of creating 8 million jobs.

              The Planning Commission has also agreed ?in-principle? to provide assistance of Rs 85 crores as a new Centrally Sponsored Scheme to be operated by the Ministry of Environment & Forests in addition to providing ACA, to the state governments concerned.

              India?s Ministry of Environment and Forests has set up two committees to recommend ways to limit crop losses. One has suggested that bamboo is extracted before it flowers, and that mixed vegetation is planted immediately after flowering to stop soil erosion. The second recommends improving harvesting and storage facilities for the extracted bamboo, and removing export restrictions to find additional outlets for harvested bamboo.

              In a separate proposal, the Centre for Indian Bamboo Resource and Technology (CIBART) is exploring a pilot project with the Ministry of Rural Development and Manipur state government, which involves creating a buffer zone ? in which bamboo would be completely removed to deter rats ? around bamboo-growing villages in the state?s Tamenglong district.


              With reports of sporadic bamboo flowering in Mizoram, the ministry of commerce and industry has declared free export of muli bamboo to facilitate the marketing of the harvested crop. Sources said the offer would be valid till March 31, 2007 under the Export and Import Policy under Foreign Trade (Development and Regulation) Act 1993, subject to transit rules of the concerned states.

              Among the north-east states, Mizoram, the epicentre of the phenomena, leads brigade in fighting against the calamity. The state government has drawn up a three-pronged action plan to tackle any impending disaster. The first component of this elaborate scheme is early harvesting of bamboo. Secondly, a rodent control programme has also been kicked off in the state. And, finally, measures for regeneration of the bamboo plants, which reel under the harmful flowering.

              However, certain state organizations and individuals have become gravely concerned with the state?s bamboo policy and said the intention of the state government to harvest all the bamboo may end in ecological as well as economic disaster.

              According to C. Rokhuma, an expert on Mizoram?s Mautam famine which occurs in a 50-year cycle, the flowering of bamboos is a natural phenomena when the life-cycle of the state?s largest bamboo species, Berry bamboo or Mellocana Baccifera under its botanical name, comes to an end. ?It was nature?s way of propagating a new generation of bamboo when the flowering starts and the bamboos begin to die off.?

              ?The dying bamboo makes for great organic fertilizer and the year after bamboos die off has always seen large paddy and vegetable harvests as never experienced before. Harvesting all the bamboos before they die off would mean no natural fertilizer for the land which could mean greater famine,? cautions Rokhuma.

              Arunachal Pradesh is not lagging behind either. Says Arunachal Pradesh Agriculture Minister Tsering Gyurme, ?We have made a public appeal asking people to minimize fermenting rice beer and instead stock food grains for survival in the wake of a famine that is looming large over the region.?

              As part of a government disaster management plan, authorities have come up with certain ingenious ways to tackle the rat menace with areas like the East Kameng district being the worst hit. Kill a rat and get a cash reward of two rupees is the latest in a series of anti-rodent measures by the government - a scheme that has become very popular in Seppa, the headquarters of the East Kameng district, 160 kilometers east of the state capital.

              BAMBOO FACTS

              Why does gregarious flowering occur?

              Although a wide range of research is going on, the flowering of bamboo is still unexplained and mysterious. There are several theories on the causes of flowering and death of bamboos such as the ones relating the phenomenon to pathological, periodical, mutational, nutritional, human, resource matching, predator satiation reasons, and bamboo wildlife cycle hypothesis.

              Physiologically, the bamboos differ significantly from other vegetation because of the mechanism of flowering. Generally, most of the bamboo species flower gregariously at fixed intervals and all clumps including those of current year die after flowering. Majority of bamboos fall between the two physiological states of constant flowering (Bambusa atra) and constant sterility (Bambusa vulgaris). Some bamboos die within two years after flowering while others do not die but then growth slows down during the flowering period as in Phyllostachys and Arundinaria species. The flowering is like setting on an alarm clock which is set to go off at a particular time when all populations of a given species raised from the same seed source, no matter where they are situated, would start flowering at the same time. For example, seeds of Thyrsostachys oliveri that flowered in Burma in 1891 were sown at Calcutta and Dehradun- two places separated by 1500 km from each other. The clumps raised from these seeds flowered simultaneously at Calcutta and Dehradun in 1940 and flowered again in 1987-88 indicating the flowering cycle of 48 years.

              Why gregarious flowering is so much cause of concern?

              In the NE region, based on personal experiences, the local people have knowledge on the periodicity and problems associated with gregarious flowering in the region. There is general belief supported by some scientific perspective that the gregarious flowering of bamboos brings famine. The phenomenon can be explained as a chain of events occurring in the following sequence. The gregarious flowering of bamboos produces large quantities of seeds, which in turn causes sudden population explosion in rats. However, the quantity of seeds available for rats diminishes soon on the germination of seeds after the rains. The resultant short supply of bamboo seeds on the one hand and a large population of rats on the other, makes rats heading towards the farmlands in the adjoining areas and causing wide spread loss to the crops. Such a chain of events has the potential to cause famine.

              Folklore apart, scientists say that the strange phenomena of bamboo flowering wreaks ecological havoc because of some reasons. One of them is that bamboo plants die after flowering. It will be at least some years before bamboo plants take seed again, leaving bare exposed soil - which could be disastrous in mountainous states - and also leading to food scarcity, since animals depend on bamboo plants.

              The preparations by the Mizos for an anticipated famine due to bamboo flowering may sound intriguing and even over-enthusiastic for anyone who is not familiar with the history and society of Mizo people. It may be recalled that the Assam government rejected the request ? to sanction to the Mizo District Council a sum of Rs 15 lakhs for the whole district (Mizoram was then still a district of Assam) for expending on relief measures ? of the Mizos, who had anticipated famine in 1958. Reason: The anticipation was not scientific and famines could not be predicted. Fallout: On March 1, 1966 the MNF declared the independence of the Mizo people from India and thus began a violent chapter of insurgency.

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              • #8
                Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                Traduction automatique

                Bambou le sang de la vie du peuple : Alarme ? l'?cosyst?me


                Le bambou occupe une position in?gal?e dans le royaume d'usine en termes de sa distribution, diversit? et utilisations dans les tropiques et le subtropics. En plus de comporter en ?vidence dans les vies des communaut?s rurales, en particulier en Asie, il continue ? trouver de nouvelles applications dans des secteurs ?tendus tels que la fabrication de papier et de rayonne ; construction ; architecture ; technologie ; travaux manuels ; nourriture et m?decine.

                Le bambou est une herbe appartenant ? la famille Poaceae. C'est une ressource renouvelable durable, souple et fortement trouv?e naturellement sur chaque continent except? l'Europe. Les actions croissantes du bambou sont estim?es ? au-dessus de 100 millions de tonnes de secteurs r?partis de for?t, fermes et plantations priv?es. De 20 millions de tonnes moissonn?es chaque ann?e, presque le trois-cinqui?me est l'Inde et la Chine. La Chine a ?merg? en tant que pionnier dans les produits en bambou, avec la contribution de ces produits ? l'?conomie chinoise estim?e ? plus de 30 pour cent. La plupart de bambou a provenu de l'Asie et de l'Inde. Il se d?veloppe sauvage dans l'ensemble de la Chine m?ridionale et occidentale, o? pour des milliers d'ann?es il a ?t? employ? pour la nourriture, le mat?riau de construction, le mat?riel de jardin, le plaisir visuel, et un symbole de force par la flexibilit?. Meng Tzu, un philosophe au 4?me si?cle a avant J?sus Christ d?crit les 'grands jardins en Chine antique qui a contenu des arbres, fleurs, les animaux et le bambou utilis?s en tant qu'une usine croissante et toutes les sortes du jardin construction.'Bamboo ?taient communs et r?pandus dans tout le monde oriental antique, mais si vous recherchez de vieilles peintures ou litt?rature orientales traitant le bambou, vous le trouvez utilis? comme fond ou symbole sugg?rant la stabilit? et la long?vit?, plut?t que comme sujet primaire.

                Une corde des innovations de surprise des bases de niveau a ?t? jet?e vers le haut par la tentative de populariser la technologie appropri?e, ledit d?partement de la science et le secr?taire de technologie V S Ramamurthy ici. "un homme dans Arunachal Pradesh a d?velopp? une dent artificielle en utilisant le bambou. Il est dur et des biens et ? un prix de Rs 20 (50 Rs. = 1 dollar d'USA) une dent, il est ?tonnamment bon march?. L'innovateur a avec succ?s aid? des personnes dans son voisinage, "il a dit, pr?cisant qu'il ne serait pas possible de rencontrer m?me les honoraires de consultation des dentistes avec la quantit?.
                Les temps de l'Inde, novembre 30, 2003


                Souvent dans l'art oriental, apr?s la grace, le calme et la stabilit? du bambou a ?t? ?tabli, le travail est-il alors ornement? avec passion - ou peut-?tre l? plus de passion ?tait-elle en Inde antique ? De cette chanson, qui a ?t? chant?e tous les ans aux festivals deplantation m?di?vaux elle appara?t. Les jardins en bambou du Bangladesh n'?taient pas simplement utilis?s pour se reposer et regarder :


                "ma cannelure est perdue sur le banc de sable,
                Comment est-ce que je dois retourner ? la maison sans elle ?
                Le contact doux de l'herbe
                Lossens mes cloches de cheville.
                Ils ne chantent pas davantage, pendant que je chante."
                Jasim Uddin

                Pendant le 7?me si?cle beaucoup de manuels de jardinage de Chinois ont commenc? ? para?tre. Un des travaux les plus complets, l''Yuan Yeh 'conseille 'situer des jardins dans des endroits priv?s et hors des sentiers battus faits au bout mille ans et plantant les plantations en bambou pour fournir un calme pour captiver le coeur '. Le bambou a ?t? peint d'une fa?on consacr?e avant l'ANNONCE 600 avec soin soigneux, d?crire refoule et part l'encre et puis en compl?tant de couleur de corps. Par 900 telles peintures de bambou ?tait devenue une manie culturelle dans l'ensemble de la Chine.

                Le grand empereur mongolien Kublai Khan a envoy? ? ses troupes des sud pour conqu?rir toute la Chine au 13?me si?cle. Les hordes mongoliennes ont roul? au-dessus de la Chine et ont ravarg? et ont conquis le peuple ; plus tard elles ont fix? et ont absorb? leur culture. Khan est devenu empereur de la toute la Chine en 1280. Pendant cette p?riode, appel?e la dynastie 1260-1368 d'Yuan, alors que la Chine ?tait r?gn?e par des ?trangers, la peinture du bambou avec la brosse et de l'encre monochrome sur le papier est devenue une forme d'art importante qui a ?t? pratiqu?e avec la grandes intensit? et intimit? personnelles. Le mod?le a exig? de l'artiste de ma?triser la composition en peinture, la commande de brosse, et la calligraphie, aussi bien que la connaissance du bambou.

                Quand le polo de Marco est retourn? de Chine en 1298 il a d?crit Hang-Tcheou comme "plus grande ville au monde entier", et est all? sur d?crire longuement la beaut?, l'ampleur, et la splendeur des jardins chinois. Il a ?galement enregistr? cela depuis qu'au moins 200 AVANT J?SUS CHRIST le Chinois avaient employ? le peu de foret en bronze dans les enveloppes en bambou pour forer vers le bas jusque 3.500 pieds pour cr?er des puits d'eau de p?trole et.

                En 150 derni?res ann?es il y a eu une conscience de croissance de bambou en Europe et Am?rique. Le premier bambou connu pour ?tre import? dans l'Europe ?tait bambou noir, et l'ann?e ?tait 1827. Japonica a suivi en 1850, kumasaca de Shibataea en 1861, et viridistriata en 1870.

                En Eugene 1855 Mazel, un Fran?ais qui a fait une fortune important des ?pices ? partir de l'Asie, achet? 34 hectares de terre en France m?ridionale et a commenc? ? la d?velopper comme grand jardin en bambou, qui est devenue notoire en tant que 'Prafrance, 'ou 'La Bambouseraie.' Aujourd'hui il est l'un des jardins les plus c?l?bres et les plus impressionnants au monde, visit? par des milliers de personnes chaque ann?e.

                Dans les ann?es 20 le USDA a avec enthousiasme favoris? le bambou comme r?colte merveilleuse pour de petites fermes am?ricaines. Elles ont d?crit la cl?ture, les treillis, les poteaux, les abris d'oiseau, les coupe-vent, les haies, les ?crans, le fourrage, la nourriture, la construction de b?timents, les meubles, renforcement de b?ton et la fabrication du papier. Un probl?me important dans leur campagne ?tait le manque de grandes quantit?s de bambou pour la propagation, manque d'un au courant de main-d'oeuvre du mat?riel, et l'engagement des industries de b?timent et de meubles des ETATS-UNIS ? l'acier, ? l'aluminium, et au plastique.

                Aujourd'hui la Chine est le plus grand producteur du bambou. Deux-tiers de bambou chinois est Moso, qui est employ? pour faire les meubles, l'?chafaudage, le renforcement de b?ton et les c?bles tordus pour des b?timents et des ponts. La canne de Tonkin (amabilis d'Arundinaria) est export?e pour des appuis d'usine, des poteaux de ski, des cannes ? p?che, et des meubles. Et tous les Chinois se d?veloppent en bambou pour manger dans leurs jardins de famille

                L'Inde a de grandes for?ts de Dendrocalamus, qui est employ? pour la construction des b?timents, des meubles, et de cultiver des outils, aussi bien que la nourriture. Elle est employ?e pour renforcer le b?ton. Et 66% du papier en Inde est fait ? partir du bambou.

                Applications commerciales

                Compos?s de produit de remplacement en bois et en bambou
                Charbon actif
                Pousses de bambou utilis?es pour la nourriture et l'agro-traitement
                Compos?s en bambou

                Le d?boisement aveugle a men? ? un d?s?quilibre environnemental et donc le d?coupage des arbres forestiers a ?t? interdit dans beaucoup de pays. Contrairement aux esp?ces de bois dur, qui prennent 80-100 ans pour m?rir, le bambou est fortement renouvelable avec deux ? quatre ans de cycle de maturit?.

                Le bambou est le sang de la vie du peuple du Bangladesh et de l'Inde
                Un autre exemple de destruction de la plupart d'article valable pour la construction de maison est en bambou au Bangladesh. Au Bangladesh par grande quantit? de briques sont produits pour le b?timent, les constructions etc. de route, et ceux-ci sont produits au co?t de sol fertile et ? une quantit? ?norme de ressources urbaines irrempla?ables de for?t. Tous les types d'arbres valables tels que les racines fra?ches du bambou, qui sont de valeur inestimable pour la reproduction, sont impitoyablement br?l?s pour la production de brique. Dans beaucoup de secteurs ce sont la seule source de l'argent d'argent comptant pour les fermiers sans terre et pauvres. Il exige d'environ 28 tonnes m?triques de bois de produire la brique environ 100.000.

                L'utilisation aveugle des faisceaux en bambou dans le brickfield ?tuve : Recul de rev?tements d'industrie familiale

                NARAIL, construction de novembre 30:-The de nouvelles maisons et r?paration de les vieilles sont entrav?s consid?rablement pour veulent du bambou. L'industrie familiale traditionnelle d?pend du bambou fait face ? un recul pour veulent du bambou. Un grand nombre de plantations en bambou ont ?t? d?truites par les fermiers sans scrupules en vendant des racines des bambous aux own*ers des champs de brique.


                Des bambous sont largement r?pandus dans la construction des maisons dans des secteurs ruraux. Environ 90 pour cent des maisons de logement dans la zone sont kutcha. Sans compter que des biens d'?quipement m?nager tels que des paniers, le bambou a fait des tamis, panier de p?che de poissons, p?chent le seau contagieux, grand panier en osier, le contr?le en bambou et d'autres articles n?cessaires sont faits avec le bambou dans des secteurs ruraux et urbains. Face ? la p?nurie en bambou aigu? les personnes se sont engag?es dans l'industrie familiale peuvent renoncer ? leur profession traditionnelle et l'industrie faite par bambou peut se poser ? des centaines de lancement d'extinction d'hommes et femmes li?s ? ces petites industries hors de l'employ*ment.

                Le prix monte
                Le prix du bambou a mont? brusquement. Actuellement le prix du bambou de taille moyenne s'?tend du Taka 70 au Taka 90. En tant que de tels 80 pour cent les gens ne peuvent pas se permettre d'acheter le bambou ? un prix exhorbitant. En cons?quence la majeure partie du peuple ne peut pas r?parer leurs maisons. Pendant les mois bengali de Baishakh et de Jaistha plusieurs des maisons de logement dans des secteurs ruraux sont souffl?es loin par donnent l' assaut ? ou ont endommag? par des pr?cipitations lourdes. Ces maisons ne peuvent pas ?tre r?par?es pour veulent du prix en bambou et ?lev? (l'observateur du Bangladesh, d?cembre 1, 2003)..

                Quand le bambou fleurit, la famine, la mort et la destruction suivent

                La for?t en bambou couvre 12.54.400.00 ha hors de la surface totale de 21.090 sq.Km. de l'?tat de Mizoram. La for?t en bambou contribue ? 14% de toute l'aire en bambou de l'Inde de 8.96 millions d'ha, qui constitue plus loin 11.71% de 74.96 millions d'ha de secteur de for?t du pays. Tout le rendement en bambou de Mizoram est 32.37.689 MT/Year. Le bambou est distribu? compl?tement entre l'altitude de 40 - 1520 m de Mizoram.
                Un total de 23 esp?ces de bambou ont ?t? identifi?s dans la for?t de Mizoram.

                Viennent maintenant les nouvelles du bambou ayant fleuri dans plusieurs secteur-quelque chose que les personnes locales consid?rent comme un mauvais pr?sage. Les gens ici croient non seulement que la fleuraison en bambou pr?voit des d?sastres normaux imminents tels que les inondations pr?matur?es et les tremblements de terre, mais ?galement la famine, ? grande ?chelle comme cela dans le 60s t?t, qui avait men? ? une situation de secours dans les collines de Lushai d'Assam, maintenant connues sous le nom de Mizoram.


                Les gens dans Assam consid?rent bambou-qui est vraiment a herbe-comme un arbre sacr? et un ami ?troit de l'humanit?, ayant soutenu la civilisation humaine par les ?ges en fournissant le mat?riel et les moyens pour la vie quotidienne. Elle fournit la nourriture, mat?riau de construction, instruments agricoles, paniers, comme l'objet de valeur de furniture.So un r?le fait ce jeu d'usine en vies des personnes que l'Assamese, comme leurs contre-parties tribales dans la r?gion voisine, ne coupent pas le bambou pendant certaines p?riodes propices, comme dessus un jour de pleine lune ou le samedi et mardi.

                Quand le bambou fleurit, la famine, la mort et la destruction bient?t suivront, vont une ?nonciation traditionnelle dans Mizoram, l'?tat minuscule de colline en Inde de nord-est. Qui meilleur que le Mizos robuste saurait ceci, consid?rant que leur est probablement la seule terre sur terre o? l'histoire est ?troitement entrelac?e avec le cycle myst?rieux de la fleuraison en bambou. En arri?re en 1959, la fleuraison en bambou dans l'?tat a plac? outre d'une s?rie d'?v?nements dans le d?clarer accident? raboteux qui a finalement men? ? une des insurrections les plus puissantes contre l'union indienne enjambant plus de deux d?cennies

                Fleuraison en bambou - gr?gaire

                Il y a des centaines d'esp?ces de bambou dans le monde. Certains fleurissent chaque ann?e, certains ? intervalles irr?guliers. Mais un petit pourcentage fleurit dans des centaines synchrony et finies de kilom?tres carr?s, toutes les quelques d?cennies. Les chercheurs ne sont pas s?rs comment il se produit.

                l'"Science doit dater non pu expliquer comment le m?me message est pass? parmi les blocs en bambou s?par?s par cent de kilom?tres pour fleurir en m?me temps, ledit botaniste H. Y. Mohan Ram de l'universit? de Delhi, qui est l'une des premi?res autorit?s du pays sur le bambou. Il specule que les rhizomes du bambou ont un certain genre de trait de "m?moire" qui fait les usines se d?velopper dans la synchronisation, ?clatent alors dans la fleur toute en m?me temps. Apr?s la fleuraison massive, les blocs de bambou meurent, dans quelle RAM de Mohan appelle "un genre de suicide par la surproduction."

                Le folklore ? part, des scientifiques indiquent que les ph?nom?nes ?tranges de la fleuraison en bambou, appel?s 'fleuraison en bambou gr?gaire 'parce que les blocs en bambou fleurissent tous en m?me temps seulement une fois dans la vie des usines, assouvit le ravage ?cologique en raison de deux raisons :

                D'abord, les usines en bambou meurent apr?s la fleuraison. Ce sera au moins quelques ann?es avant que les usines en bambou prennent la graine encore, laissant le sol expos? nu - qui pourrait ?tre d?sastreux dans les ?tats montagneux - et menant ?galement ? la p?nurie de nourriture, puisque les animaux d?pendent des usines en bambou.

                Le deuxi?me facteur est que les rats alimentent sur les fleurs et les graines de l'arbre en bambou de mort. Ceci active un taux de natalit? rapide parmi les rongeurs, qui m?ne au rat la population ?norme se nourissant des r?coltes agricoles dans les domaines et les greniers et cause la famine.
                Plus sur la fleuraison en bambou

                Bambou, strictus de Dendrocalamus, fleuri en troupe dans le maharashtra en l'ann?e 1983-84. Les bambous des m?mes esp?ces ont fleuri ?galement dans Madhya Pradesh et andhra pradesh en ann?es suivantes. On a permis ? le bambou fleuri d'accomplir la fleuraison, et puis l'ensemencement. En attendant l'?tat a fait des pr?parations pour moissonner le bambou sec apr?s que l'ensemencement ait ?t? accompli partout ; ceci est suivi du renversement vers le bas des blocs en bambou. Ceci prend une p?riode des ann?es de two-three. Seulement quand tomber de d?but de blocs est la moisson entreprise. La moisson est faite syst?matiquement et dans une p?riode courte de six mois, avant d?but de la mousson (en juin dans le maharashtra), tout le bambou sec est coup? et emport? des secteurs en bambou. La mousson commence la r?g?n?ration prodigue des jeunes plantes en bambou.

                C'est p?riode tr?s sensible pour la vie du nouveau bambou et par cons?quent la protection stricte contre le feu et des b?tail fr?lant s'appelle pour. Ces jeunes plantes prennent 4-6 ans pour ?tablir et la nouvelle r?colte en bambou est pr?te en 7-8 ans pour la moisson syst?matique et scientifique pour le prochain cycle de vie de 45-48 ans. Par ailleurs, nous dans le maharashtra et deux autres ?tats n'avons pas coup? ou enlever n'importe quel bambou fleuri de la vie sauvage a prot?g? des secteurs, parce que fleurissant et s?chant et plus loin la d?gradation des bambous in situ est elle-m?me un ?v?nement ?cologique.

                La fleuraison en bambou est un ph?nom?ne normal. Elle est pr?c?d?e par augmentation de population de rongeur, la mani?re d'une nature de commander l'ensemencement prodigue. Des graines en bambou sont mang?es par les rats, b?tail aussi bien que des personnes. Elle est tout ? fait nutritive et m?me certains croient que la graine en bambou ?galement fortifie et a des qualit?s aphrodisiaques.



                On lui rapporte ?galement en votre article (`Mizoram : Identit? et logement ', EPW, novembre 1) que le r?seau international de bambou et de rotin et les UNIDO ont ?t? approch? pour le conseil et aident. Des forestiers indiens sont qualifi?s et ?prouv? assez dans un tel sujets et moi trouvez ? peine n'importe quel r?le de ces agences internationales. Nous ?galement avons l'abondance des fonds en devises ?trang?res et n'avons besoin d'aucun fond de l'?tranger. Ce sont ?galement quelques id?es fausses perp?tu?es par des droits acquis. On doit se rappeler qu'il n'y a aucun d?jeuner libre n'importe o? en ce monde. Et notre exp?rience dans le domaine de sylviculture, des agences de placement ?trang?res et de leur expertise n'encourage pas tout ? fait jusqu'ici. Certains d'entre nous avaient sacrifi? des int?r?ts ? long terme pour des gains ? court terme. C'est un probl?me de gestion et je suis s?r que nos forestiers en Ne sont capables de le manipuler. (Un R Maslekar, EPW, Dember 13, 2003).


                Cons?quence

                En 1991-12, beaucoup de gens ont ?loign? de leur village indig?ne au banc ? dossier jusque Tripura, Manipur et la Birmanie occidentale. Un homme du riz cherch? par village de Lalhrima de 35 kms loin et d'une nuit avant qu'il ait atteint la maison, il a d?velopp? des sympt?mes d'un chol?ra. Le pauvre homme a ?t? tra?n? hors du village avant qu'il ait ?t? mort et a ?t? enterr? l? par sa famille. La famille m?me n'est pas retourn?e au village et rest? dans un thlam. Que nuit, toutes les personnes de son veng ont couru loin du village dans toutes les directions ? la jungle et pour rendre chose plus mauvais un orage dangereux les a assaillies.

                En 1959-60, une famine de division a suivi la fleuraison de bambou. Il y avait de famine grave et la masse commune a eu le sentiment g?n?ral de la n?gligence par le gouvernement indien. Ceci a men? ? la r?bellion et au MNF cach?s qui ont dur? pendant 20 ann?es co?tant les nombreuses ch?res vies et les accidents lourds

                Maintenant, le bambou va fleurir encore dans les quatre ? cinq ann?es ? venir, disent des experts. Et cette fois, il ne va pas ?tre juste dans Mizoram, mais dans les secteurs couverts de for?ts en bambou ?normes ? travers les autres ?tats nord-est de Tripura, de Manipur et d'Assam m?ridional.

                C'?tait avec pr?cision ce sc?nario dans Mizoram vers la fin des ann?es 50, quand les autorit?s n'ont pas r?pondu avec le soulagement rapide de famine.

                Ce qui arriverait aux northeasterners ruraux communs qui d?pendent du bambou pour presque tout - d'une mati?re premi?re premi?re pour ?tablir leurs maisons ? la nourriture, et en tant qu'une des quelques sources de l'argent comptant. Le bambou se d?composant au-dessus des centaines d'acres et de la croissance de la population de rat aura un effet d?vastateur sur la culture de jhum (estafilade et br?lure) de laquelle une majorit? des gens ruraux d?pendent toujours pour la nourriture croissante, de ce fait affectant la s?curit? d?j? p?rilleuse de nourriture des personnes rurales :

                Arrosez, qui sont d?j? une ressource rare dans la plupart des collines, deviendra plus rare, les expositions d'exp?rience de Mizoram. Les experts disent que pendant le bambou fleurissant dans Mizoram vers la fin des ann?es 50 et d''60s, il y avait une ?l?vation pointue de la temp?rature suivie d'un charme d'aride sec survivent ?, qui a eu des retomb?es radioactives directes sur la sant? du peuple. Non seulement cela, les femmes et les enfants qui doivent passer des heures pour chercher l'eau seront forc?s de passer bien plus de temps effectuant ceci chargent.

                La fleuraison sporadique de m.beciferra et de d.hamiltonii a commenc? en 2001 et les graines de m.baciferra sont disponibles chaque ann?e pendant fin mai ? d?but ao?t. De l'observation initiale des graines de m.baciferra tombant sur la terre dans la for?t, la pi?ce de jus et de graine ? l'int?rieur de la graine sont ?rod?es par des rats. Dans la fleuraison plus t?t du bambou dans Mizoram, on lui dit que la population de rongeur se r?galent de ces graines en bambou et de multiple elles-m?mes en termes de dix milliers en ann?e et une fois, les graines en bambou ne sont plus disponible ? eux, ils ont fini loin tous les produits d'agriculture en jour ?migrant d'un endroit ? l'autre dans les milliers et des nombres de milliers. Dor?navant, la famine grave est les circonstances in?vitables.

                UN/FAO ?tait fondamentalement responsable de tous les deux la mort des for?ts en bambou

                D. N. Tiwari, un membre de la Commission de la planification du gouvernement, lesdits fonctionnaires consid?raient ?galement d'autres mesures, telles que remplacer des vari?t?s fleurissantes de bambou avec le non-fleurissant. La RAM de Mohan regarde une approche telle que "exotique." Il croit que la seule mani?re d'?viter la famine cyclique li?e ? la fleuraison en bambou est d'enseigner des fermiers ? planter des r?coltes que les rats ne mangent pas, comme le gingembre et le safran des indes, pendant les p?riodes o? on s'attend ? ce que de vastes champs de bambou fleurissent (Pallava Bagla, nouvelles g?ographiques nationales, juin 22, 2001).

                Manura Savur d?crit (EPW, novembre 15, 2003) qui l'UNFAO ?tait fondamentalement responsable de la mort des for?ts en bambou et de la destruction de l'?cosyst?me de for?t dans la r?gion en bambou enti?re de l'Inde m?ridionale et centrale ? compter de 1960. La r?gion de nord-est a ?t? compatissant ?pargn?e comme FAO n'avait pas ?crit cette r?gion.
                La fonction d'une fleur est de produire la graine (enrichie par la croix-fertilisation) pour perp?tuer ses esp?ces. C'est vrai du bambou aussi, sauf que chaque les esp?ces du bambou tend ? fleurir en troupe de vastes bouts droits d'exc?dent des secteurs, mais seulement ? l'fin de sa croissance v?g?tative qui change d'un ? 120 ans pour diff?rentes esp?ces. Ceci implique que tandis qu'esp?ces quelconques une est fleurissante en troupe toutes autres esp?ces de bambou du fait la r?gion continuera ? vivre et ? produire v?g?tatif leurs chaumes. Il n'y a aucune information pr?te concernant le nombre exact d'esp?ces qui prosp?rent dans Mizoram. Selon D N Tiwari (bambou, ICFRE, Dehradun, non dat?), seuls ports orientaux de l'Inde plus de 50 pour cent des 125 esp?ces connues en Inde. Et Mizoram tombe dans cette r?gion.

                Le deuxi?me fait alarmant est la menace de gouvernement central pour moissonner les bambous avant qu'ils fleurissent. Si les esp?ces importantes est claire-felled avant qu'il fleurisse et ses rhizomes ayant atteint la fin du cycle physiologique sont ?puis?es, il signifierait une mort, un 'meurtre criminel d'des esp?ces '. Les UNIDO et le gouvernement central s'inqui?tent-ils ? En fait les personnes de Mizoram et la totalit? de nord-est . Le bambou est le sang de la vie des personnes et du sauveur de cet ?cosyst?me. C'est l'or vert de la r?gion. l'Clair-abattage m?nerait au bouleversement politique dans cette r?gion sensible.

                La fleuraison gr?gaire ne pr?sage pas la famine. Au contraire, la famine qui est souvent le r?sultat de la s?cheresse p?riodique a ?galement comme cons?quence la fleuraison gr?gaire du bambou ? travers les esp?ces - une mesure d?fensive, une strat?gie simple de survie des esp?ces de semer, reproduire et se perp?tuer. Le bambou est une herbe, rigide et bois? avec de la lignine mais essentiellement une cellulose, un hydrate de carbone avec un grand composant de l'eau. Les bonnes pr?cipitations ou l'eau courante (I e, un jet) sont essentielle pour sa survie et croissance. L'eau est un agent de distribution nutritive en nature et un milieu significatif d'activit? biologique aux usines. L'?chec r?p?t? de la mousson sonne le glas de mort pour le bambou.

                La crainte des rongeurs est vraie. Elle doit ?tre abord?e par le gouvernement central. Le bambou est une herbe, est tellement aussi bl? et riz qui soutient les graines comestibles que les humains et les rongeurs d?vorent. Si des rongeurs sont maintenus au compartiment dans les domaines de maturation de grain et des entrep?ts, pourquoi pas des graines de maturation du bambou ? GoI devrait ?galement recueillir la force pour garder des organismes de l'ONU au compartiment - et pour sauver l'?cosyst?me de nord-est sensible du d?sastre.

                For?ts en bambou se d?fra?chissant loin en collines de Rangamati
                Les a?n?s le d?crivent sinistre, fonctionnaires de KPM appr?hendent la crise de la mati?re premi?re premi?re

                Les faisceaux en bambou sur de vastes secteurs de Rangamati se d?fra?chissent loin apr?s avoir fleuri et port? ses fruits. Le peuple autochtone des diff?rentes communaut?s dites ceci est un signe sinistre dans les collines. Ledit fleurissants d'a?n?s et porter des fruits du bambou pr?voient des calamit?s, l'?chec de r?colte et la famine normaux en collines. Les plus mauvais secteurs affect?s sont union de Sazek dans l'upazila de Baghaichhari et les upazilas de Kawkhali, de Barkal, de Rajasthali et de Bilaichhari. Deux-tiers du bambou d?velopp? dans Rangamati sont dans l'union de Sazek. Si le fl?trissement des for?ts en bambou continue, des fournitures au moulin ? papier de Karnaphuli (KPM) seront s?rieusement affect?es, des sources de KPM dites tout en parlant ? ce correspondant. Les a?n?s disent que les faisceaux en bambou meurent et disparaissent toutes les fois qu'ils soutiennent des fleurs et des fruits. Ceci se produit ? un intervalle de 40 ? 50 ans, ils ont dit.

                Un tel ph?nom?ne s'est produit en 1937 et en 1967 dans la r?gion de CHT, ils ont dit. Al Thanga Pankhua, Pr?sident d'union Parishad de Sazek, a envoy? un appel ?crit au secr?taire au gouvernement local et au minist?re rural du d?veloppement (LGRD) cherchant des ?tapes n?cessaires pour prot?ger les for?ts en bambou.

                Des mesures devraient ?tre prises dans l'int?r?t des personnes locales et le KMP dans Chandraghona, il a dit. Le KMP sera dans la crise pour les mati?res premi?res premi?res parce que, une fois que d?fra?chi loin, cela prend cinq ? six ans pour les for?ts en bambou ? la forme vers le haut, il a dit dans la lettre. Les articles en bambou et divers produits ? partir de lui sont la source principale de vie pour la plupart des peuple autochtone en collines ? distance, Thanga dit dans sa lettre.

                Environ 7000 familles dans l'union de Sazek peuvent ?galement faire face ? une crise, Thanga appr?hend?. Une chose ?trange est qu'une menace de rat ?clate habituellement toutes les fois que les bambous soutiennent des fruits. Les rats qui mangent des fruits en bambou ?galement d?truit des r?coltes de Jhum. Les a?n?s ont r?clam? que les nombreuses personnes mortes de la famine dans Mizoram de l'Inde dans 1959 comme menace de rat ont ?clat? apr?s la fleuraison des bambous. Ce correspondant a visit? Monaipara, Sonaichhari dans l'union de Betbunia et le Kachukhali et Kalampati dans l'upazila de Kawkhali. Les bambous meurent l? apr?s la fleuraison.

                Des anis Uddin, directeur en chef additionnel de KPM, dit, "nous avons entendu environ la fleuraison des bambous dans Sazek et d'autres r?gions ?loign?es de Rangamati. KPM peut faire face ? la crise des mati?res premi?res premi?res ? l'avenir car le bambou est les seules mati?res premi?res premi?res pour notre moulin ".

                Rajib Hossain, directeur g?n?ral (fourniture) d'unit? des mati?res premi?res premi?res de fibre (FRM) ? KPM a ?galement appr?hend? une crise de mati?re premi?re premi?re si les bambous meurent dans la grande ?chelle. "nous avons eu des nouvelles du vieux peuple autochtone ce ceci se produit apr?s certain intervalle. C'est un ph?nom?ne normal ". Une proposition a ?t? donn?e au d?partement de for?t aux ?tapes imm?diates de prise pour pr?server les faisceaux en bambou de mort, il a dit. Md. Yunus Ali, l'officier divisionnaire de for?t (DFO) du d?partement du nord de for?t de CHT, dit, "nous rassemblons des fruits des bambous pour produire des usines ? l'avenir" (le journal Tiennent le premier r?le, mai 7, 2007).

                1. Le patron de for?t qui a aval? vers le haut des arbres : tous les vieux arbres des for?ts du pays ont presque disparu
                Last modified : Juillet 03, 2007

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                • #9
                  Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                  Dommages dans les r?coltes faits par les rats
                  Personnes de CHT faisant face ? une crise de nourriture aigu?



                  Lundi, F?vrier 11, 2008 07:44 AM GMT+06:00

                  Shantimoy Chakma, de l'Islam Monu, Bandarban de Hupbang, de Barkal, de Rangamati et de Monirul

                  Les gens dans des r?gions ?loign?es de Rangamati et de Bandarban dans les r?gions de colline de Chitagong (CHT) font face ? une crise de nourriture grave suivant l'invasion r?cente des rats sur leurs champs de r?colte de jhum.

                  Le peuple autochtone dans Chhotomerung, Ramghar, Dighinala, Panchhari, Guimara Laxmichhari de Khagrachhari, de Thanchi, d'Alikadam, Lama, de Ruma et de Nikhiyangchhari dans Bandarban avait pass? des jours moiti?-a pratiquement aliment? et bon nombre d'entre eux vivent sur la pomme de terre de jungle.

                  Selon le d?partement de l'accroissement agricole (DAE), 766 familles dans Bandarban -- 363 dans l'upazila de Ruma, 295 dans Thanchi et 108 dans l'upazila de Roangchhari -- ont perdu leur production annuelle.

                  Mais les gens du pays ont r?clam? cela environ que 1.800 familles dans la zone de colline ont ?t? affect?es par l'invasion des rats. Ils ont ?galement all?gu? qu'aucuns surveillants de bloc sous la zone DAE pourtant visit? les secteurs affect?s.

                  Le DAE a en attendant lanc? un programme pour exterminer des rats ? partir f?vrier de 3 ? travers le pays.

                  Cependant, directeur adjoint Abdullah Ibrahim zone DAE dit aucunes mesures sp?ciales ont ?t? pris pour les secteurs affect?s dans CHT.

                  Beaucoup de fermiers de jhum dans Rangamati ont en attendant encore leurs maisons et ont pris l'abri ? leurs parents tandis que quelque gauche ?gale pour l'audition de l'Inde que le gouvernement indien fournit la nourriture et l'aide financi?re, des sources ont dit.

                  L'aide sp?cial au conseiller en chef que Devasish Roy a visit? parasite-a frapp? des secteurs dans Hupbang d'upazila de Barkal et a assur? des personnes de l'aide par le soulagement d'essai et nourriture-pour-travaille des programmes.

                  Mais aucune mesure n'a ?t? jusqu'ici prise, des gens du pays all?gu?s.

                  Les rats dans de grands nombres ont envahi des champs de safran des indes, gingembre et d'autres r?coltes de jhum dans Hubbang, Majhirpara, Thalchhara, Bhudorijipara, Kukichhara, Jarolchhari, Ranalpara et Kusumchhari dans l'upazila de Barkal, Noapara dans l'upazila de Longudu, Ruilui, Konglak, Oldlankar dans l'upazila de Baghaichhari, Rayingkhiyang Borthalipara dans l'upazila de Bilaichhari, et Dumdumiya dans l'upazila de Jurachhari de Rangamati.

                  Les vastes rizi?res ont relev? d'une telle attaque deux il y a mois.

                  Porandhan Chakma de village de Hubbang a indiqu? qu'il est all? lancer sur le march? pour acheter le riz mais a d? retourner ? la maison les mains vides car il n'y avait aucun riz sur le march?. "Ma famille avait pass? des jours moiti?-a presque aliment?, en mangeant parfois des pommes de terre de jungle, ?galisez parfois mourir de faim," il a dit.

                  Purnendu Chakma et Shimul Chakma de Thalchhar ont indiqu? qu'ils avaient v?cu sur des pommes de terre de jungle pour les derniers mois, mais ceux sont ?galement devenus rares maintenant. Ils ont dit qu'ils avaient l'habitude de rassembler le bambou pour gagner la vie, mais les bambous de cette ann?e se sont ?galement d?fra?chis en raison de la fleuraison et de la fructification.

                  Habituellement, fleur h?rit?e par bambous tous les 50 ans de suivre qu'ils d?fra?chissent rapidement.

                  Karbari Shantibikash Chakma de Shuknochhari d'union de Baroharina a indiqu?, "j'ai sem? cinq bidons [ 50kg ] de paddy cette ann?e. J'ai pr?vu une bonne moisson, mais la moisson ?tait si petit elle a seulement dur? la moiti? par mois."

                  Kripa Kumar Chakma et Buddhamoni Chakma de Kukichhara de Barkal ont invit? le gouvernement pour arranger des cr?dits bancaires exempts d'int?r?ts pour qu'ils surmontent la crise courante. "Nous sommes all?s ? la banque de Krishi ? l'upazila de Barkal sadar mais les fonctionnaires ont d?clar? qu'ils n'ont pas ? argent proportionn? pour fournir le pr?t," ils ont dit.

                  Un ouvrier de champ de la banque a dit qu'ils ont limit? des budgets pour diff?rents secteurs mais la demande est tr?s haute. Il, cependant, a dit qu'ils fourniront des pr?ts quand les budgets seront disponibles.

                  Le bogue Pankhua, headman de Lal de Halamba, a indiqu? qu'ils peuvent survivre six-seven environ des mois avec le paddy de jhum. "tous mes champs de jhum ont ?t? d?truits par des rats cette ann?e," il a dit.

                  Le headman a dit ils ont rencontr? le commandant de brigade d'arm?e aux si?ges sociaux de zone pour l'aide financi?re mais il a dit qu'ils n'ont pas assez de fonds.

                  Zophui Thang Tripura, headman de mouja de Shiandai, a indiqu? ? la suite de la crise de nourriture beaucoup de familles du village et le voisinage sont partis pour l'audition de l'Inde que le gouvernement indien fournit la nourriture.

                  "Personne ne pr?te n'importe quelle attention ? notre mis?re," il a dit.

                  En attendant, le District Council de colline de Rangamati a distribu? le lakh de Tk 6 de l'attribution de minist?re d'affaires de CHT -- lakh de Tk 4 dans le lakh de Baghaichhari et de Tk 2 dans Bilaichhari.

                  Le conseil a ?galement fait une proposition aux affaires de CHT que le minist?re d'un programme de d?veloppement de trois ans d'horticulture pour fournir l'aide au peuple autochtone du rat-a frapp? des secteurs.

                  "Nous commencerons le travail quand le projet est approuv?," avons dit Arunendu Tripura, PRO du conseil.

                  Le d?put? commissaire Md Nurul Amin de Rangamati a dit, "nous n'avons aucun programme sp?cifique pour le peuple dans les secteurs rat-infest?s, mais j'esp?re que notre aide sp?cial au conseiller en chef Devasish Roy fera quelque chose pour ces personnes comme il a visit? lui-m?me les secteurs affect?s."

                  Il a dit que les programmes de VGF, de VGD et d'OMS continuent dans la zone.

                  BANDABRBAN
                  Cha Swe Marma de Nachalongpara dans l'upazila de Roangchhari, Kew Ching Aong de Daluchhari, U Kew Nue et Hiru Moni Tripura d'Antahapara sous le m?me upazila a indiqu? qu'ils ont perdu les la plupart de leur moisson dans l'rat-invasion et de celle avec du riz restant qu'ils peuvent survivre seulement trois mois.

                  Ils dits chaque famille ont r?cemment obtenu Tk 1.000 seulement du minist?re d'affaires de CHT par le District Council de colline de Bandarban.

                  Le minist?re d'affaires de CHT a d?j? assign? le lakh de Tk 5 tandis que le District Council de colline de Bandarban assignait le lakh de Tk 3 pour la distribution parmi les 766 familles affect?es.

                  De l'argent a ?t? distribu? dans Ruma janvier 14 et dans Roangchhari janvier 31.

                  En attendant, environ 150 familles dans les secteurs comprenant Paoapara, Monirampara, Zotiyapara et Kristapara sont toujours hors de la liste de DAE de familles affect?es et le d?muni a re?u n'importe quel soutien gouvernemental encore.

                  "Depuis qu'il n'y avait aucune aide, la plupart des familles dans le secteur ont laiss? leurs maisons," a dit Sambhu Kumar Tanchangya, Pr?sident d'union Parishad de Noapatang.

                  ***************************************

                  Monday, February 11, 2008 07:44 AM GMT+06:00

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                  Rats Damage Crops
                  CHT people facing acute food crisis

                  Shantimoy Chakma, from Hupbang, Barkal, Rangamati and Monirul Islam Monu, Bandarban

                  People in remote areas of Rangamati and Bandarban in Chittagong Hill Tracts (CHT) are facing a severe food crisis following the recent invasion of rats on their jhum crop fields.

                  Indigenous people in Chhotomerung, Ramghar, Dighinala, Panchhari, Guimara Laxmichhari of Khagrachhari, Thanchi, Alikadam, Lama, Ruma and Nikhiyangchhari in Bandarban have been passing days practically half-fed and many of them are living on jungle potato.

                  According to the Department of Agricultural Extension (DAE), 766 families in Bandarban--363 in Ruma upazila, 295 in Thanchi and 108 in Roangchhari upazila--lost their yearly production.

                  But locals claimed that about 1,800 families in the hill district have been affected by the invasion of rats. They also alleged that no block supervisors under the district DAE yet visited the affected areas.

                  The DAE has meanwhile launched a programme to exterminate rats from February 3 across the country.

                  However, district DAE Deputy Director Abdullah Ibrahim said no special measures were taken for the affected areas in CHT.

                  Many jhum farmers in Rangamati have meanwhile left their homes and took shelter at their relatives' while a few even left for India hearing that the Indian government is providing food and financial assistance, sources said.

                  Special Assistant to the chief adviser Devasish Roy visited the pest-hit areas in Hupbang of Barkal upazila and assured people of assistance through test relief and food-for-work programmes.

                  But no steps have so far been taken, locals alleged.

                  Rats in large numbers have invaded fields of turmeric, ginger and other jhum crops in Hubbang, Majhirpara, Thalchhara, Bhudorijipara, Kukichhara, Jarolchhari, Ranalpara and Kusumchhari in Barkal upazila, Noapara in Longudu upazila, Ruilui, Konglak, Oldlankar in Baghaichhari upazila, Rayingkhiyang Borthalipara in Bilaichhari upazila, and Dumdumiya in Jurachhari upazila of Rangamati.

                  Vast paddy fields came under such attack a couple of months ago.

                  Porandhan Chakma of Hubbang village said he went to market to buy rice but had to return home empty-handed as there was no rice in the market. "My family has been passing days almost half-fed, sometimes eating jungle potatoes, sometimes even starving," he said.

                  Purnendu Chakma and Shimul Chakma of Thalchhar said they have been living on jungle potatoes for the last few months, but those have also become rare now. They said they used to collect bamboo to earn livelihood, but this year bamboos have also withered because of flowering and fruition.

                  Usually, bamboos come into blossom every 50 years following which they wither quickly.

                  Karbari Shantibikash Chakma of Shuknochhari of Baroharina union said, "I sowed five tins [50kg] of paddy this year. I anticipated a good harvest, but the harvest was so small it only lasted for half a month."

                  Kripa Kumar Chakma and Buddhamoni Chakma of Kukichhara of Barkal urged the government to arrange interest-free bank loans for them to overcome the current crisis. "We went to the Krishi Bank at Barkal upazila sadar but the officials said they do not have adequate money to provide loan," they said.

                  A field worker of the bank said they have limited budgets for different sectors but the demand is very high. He, however, said they will provide loans when budgets will be available.

                  Lal Bug Pankhua, headman of Halamba, said they can survive about six-seven months with the jhum paddy. "All my jhum fields were destroyed by rats this year," he said.

                  The headman said they met the army brigade commander at the district headquarters for financial assistance but he said they do not have enough fund.

                  Zophui Thang Tripura, headman of Shiandai mouja, said in the wake of the food crisis many families of the village and the neighbourhood have left for India hearing that the Indian government is providing food.

                  "Nobody is paying any heed to our misery," he said.

                  Meanwhile, Rangamati Hill District Council has distributed Tk 6 lakh from the CHT affairs ministry allocation--Tk 4 lakh in Baghaichhari and Tk 2 lakh in Bilaichhari.

                  The council has also made a proposal to the CHT affairs ministry for a three-year horticulture development programme for providing assistance to the indigenous people of the rats-hit areas.

                  "We will start the work when the project is approved," said Arunendu Tripura, PRO of the council.

                  Rangamati Deputy Commissioner Md Nurul Amin said, "We have no specific programme for the people in the rats-infested areas, but I hope our Special Assistant to chief adviser Devasish Roy will do something for these people as he himself visited the affected areas."

                  He said the VGF, VGD and OMS programmes are going on in the district.

                  BANDABRBAN
                  Cha Swe Marma of Nachalongpara in Roangchhari upazila, Kew Ching Aong of Daluchhari, U Kew Nue and Hiru Moni Tripura of Antahapara under the same upazila said they lost most of their harvest in the rat-invasion and that with the remaining rice they may survive only three months.

                  They said each family recently got Tk 1,000 only from the CHT affairs ministry through the Bandarban Hill District Council.

                  The CHT affairs ministry has already allocated Tk 5 lakh while Bandarban Hill District Council allocated Tk 3 lakh for distribution among the 766 affected families.

                  Money was distributed in Ruma on January 14 and in Roangchhari on January 31.

                  Meanwhile, about 150 families in the areas including Paoapara, Monirampara, Zotiyapara and Kristapara are still out of the DAE list of affected families and have not received any government support yet.

                  "Since there was no help, most families in the area have left their homes," said Sambhu Kumar Tanchangya, chairman of Noapatang Union Parishad.




                  Cr?dits: Treyfish

                  Comment


                  • #10
                    Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                    traduction automatique

                    THE DAILY NEWSPAPER
                    4 f?vrier 2008

                    D?BUT DES RATS AVEC LA FLEURAISON DU BAMBOU

                    La famine imminente dans CHT comme rats ont d?vor? des r?coltes
                    L'Islam de Nazrul. Vall?e de Sajek, Rangamati

                    Plus de 1.00.000 personnes de divers groupes ethniques indig?nes ont ?t? pratiquement affam?es car les dizaines de millions de rats sauvages ont mang? vers le haut des r?coltes de jhum dans les r?gions de colline de Chitagong avec la fleuraison des usines en bambou dans les for?ts de colline.

                    'Nous devrons mourir de faim car les rats ont d?vor? toutes nos r?coltes au cours de l'ann?e derni?re , 'avons dit Chawng Ming Thanga, le headman de Konglak Mouja, l'appareil administratif local de la zone de Rangamati plac sur la fronti?re du l'Inde-Bangladesh.

                    Il a ajout? que rien n'a ?t? laiss? sur les champs en raison de la d?vastation provoqu?e par les rats insatiables. L'invasion des rats a commenc? il y a une ann?e par les rats, grand et petit, multipliant comme des mouches d?s que les fleurs en bambou ont commenc? ? pousser dans les for?ts de colline vers la fin de 2006.

                    S'accordant aux personnes ?g?es vivant dans les collines, la floraison des fleurs en bambou se produit tous les 50 ans, entra?nant les rats multiplier et multiplier ? un taux ?tonnant qui cause par la suite a famine-comme la situation.

                    Les souris et les rats ont commenc? manger vers le haut de presque tous les produits agricoles, desquels les personnes de colline d?pendent absolument, puisque les fleurs en bambou ont commenc? ? fleurir dans les for?ts.
                    L'attaque sur les r?coltes par les rats affam?s continue toujours et personne ne sait quand il s'arr?tera. Habituellement, il dure pendant une p?riode maximum de trois ans.

                    L'administration a indiqu? que des r?coltes de jhum comme le paddy, le gingembre, le safran des indes, le s?same, les piments et d'autres l?gumes compl?tement ont ?t? mang?s ? ce jour vers le haut dedans du terrain accident? ? distance, s'?tendant plus de 400 kilom?tres sur la fronti?re, y compris des zones de Rangamati , de Khagrachhari et de Bandarban.
                    Le Pr?sident du Conseil r?gional de r?gions de colline de Chitagong, Joytirindra Bodhiprio Larma, a nomm? alarmer de situation. 'La situation est alarmante. Les gens vivent dans la pauvret? totale dans le secteur. Ils ont besoin d'appui imm?diat pour survivre, ' le chef, qui a men? une lutte pour l'autonomie dans les collines pendant plus de deux d?cennies, dit le nouvel ?ge.

                    Les rats ont ?galement mang? vers le haut d'une quantit? ?norme de r?coltes dans l'?tat indien de Mizoram.

                    Dans Konglak Mouja d'union de Sajek, le headman d?sign? par le gouvernement a dit qu' il a l'information qu'autant d'en tant que 150 familles - appartenant aux groupes ethniques de Pankhowa, de Lusai et de Tripura - ont crois?e la fronti?re ou d?cal? ? d'autres endroits en raison de la p?nurie de nourriture.

                    Un nombre de peuple autochtone dans l'int?rieur profond des zones de colline, tout en parlant au nouvel ?ge, exprim? leur agonie et dit que leur survie est tout ? fait incertaine. Les pauvres personnes de colline n'ont aucune source de sustentation ou revenu autre que la culture de jhum.
                    'Comment osons nous vivent sans nourriture ? Il n'y a eu aucun travail, aucune aide, et nous ne savons pas o? aller, 'a dit Changkhira Lusai, un r?sidant de Konglak, ajoutant que le peuple mange celui qu'ils obtiennent dans la jungle.

                    Bien qu' il n'ait pas pris son petit d?jeuner, Barendra Tripura, un r?fugi? interne de 55 ans vivant maintenant au lyc?e Para. de Natubari dans Sajek, n'a pas oubli? de sourire une fois enquis de l'?tat ?conomique des personnes dans les r?gions accident?es ?loign?es.

                    Comme beaucoup d'autres, il mange une fois en deux jours, ou passe des nuits sans nourriture. Parfois dit-il il est forc? de manger la moelle des bananiers ou l'alu de Khoyang, la racine d'une herbe de jungle, pour survivre.
                    'Je n'ai aucune autre option mais pour manger ces herbes? les rats ont le ravage travaill? dans le secteur, 'a dit le fermier sans terre qui avait l'habitude d'aller chercher la culture de Jhum ? proximit?.

                    Mais cette fois, selon Nabin Kumar Tripura, 48, un autre indigent qui a ?migr? ? cet endroit de Toichoi Mouza, il ne peut pas se permettre de cultiver parce qu'il manque de l'?nergie pour d?gager les pentes de montagne des herbes et pour creuser la terre pour planter des r?coltes de Jhum.

                    Il doit alimenter six membres suppl?mentaires de famille. Il a dit qu'il parfois pourrait parvenir ? gagner Tk 50 en pr?parant des champs de Jhum pour comparativement un meilleur outre du fermier, mais il doit voyager plus de cinq kilom?tres ? faire ainsi.

                    Une fois demand? s'ils re?oivent n'importe quelle aide de soulagement ou de gouvernement, Chawng Ming Thanga a indiqu? qu'il avait entendu que le gouvernement a affect? une petite somme d'argent pour aider les personnes affect?es. ? Mais je n'ai vu aucun de lui jusqu'? maintenant, ? le nouvel ?ge dit par headman ? sa r?sidence de Konglak le jeudi nuit.

                    Les fonctionnaires militaires, charg?s pour maintenir la s?curit? dans la r?gion battue par l'insurrection pendant plus de deux d?cennies jusqu'? ce qu'une affaire de paix ait ?t? sign?e vers la fin de 1997, dite ils ont envoy? l'aide de nourriture aux r?gions ?loign?es.

                    'Mais ils n'?taient pas assez pour alimenter les personnes affect?es, 'a dit un dirigeant militaire, s'ajouter ce plus de 30.000 personnes dans Sajek, le plus grand parishad des syndicats dans le pays, ?taient dans une grande situation.
                    Le Programme des Nations Unies pour le d?veloppement A estim? que 25.000 familles dans l'aide de nourriture du besoin de trois zones de colline mal comme rats sauvages ont mang? vers le haut des r?coltes de Jhum, causant un manque grave de nourriture dans le d?sert, a dit un fonctionnaire sup?rieur au District Council de colline de Rangamati.

                    Le gouvernement a assign? le lakh de Tk 15 pour l'aide imm?diate aux personnes affect?es, a dit Jagat Jyoti Chakma, Pr?sident du District Council de colline de Rangamati, ajoutant qu'il a sugg?r? de long- et ? court terme projets pour aider les pauvres personnes de colline.

                    Il a d?clar? que Rangamati ?tait Tk assign? 6.00.000 dont Tk 4.00.000 est signifi? pour Sajek, et Khagrachhari et Bandarban ont ?t? donn?s Tk 4.00.000 et Tk 5.00.000 respectivement ? l'exc?dent de mar?e famine-comme la situation.

                    ? La quantit? est juste pas assez, ? a dit le Pr?sident, et a demand? au gouvernement pour augmenter imm?diatement l'attribution pour sauver les vies du peuple autochtone.


                    ****************************************

                    ONSET OF RATS WITH FLOWERING OF BAMBOO

                    Starvation imminent in CHT as rats have devoured crops
                    Nazrul Islam . Sajek Valley, Rangamati

                    More than 1,00,000 people of various indigenous ethnic groups have been virtually starving as tens of millions of wild rats have eaten up jhum crops in the Chittagong Hill Tracts with the flowering of bamboo plants in the hill forests.

                    'We will have to starve as the rats have devoured all of our crops over the last year,' said Chawng Ming Thanga, the headman of Konglak Mouja, the local administrative unit of Rangamati district located on the India-Bangladesh border.

                    He added that nothing was left on the fields because of the devastation caused by the insatiable rats. The invasion of the rats began a year ago with the rats, big and small, breeding like flies as soon as the bamboo flowers started sprouting in the hill forests in late 2006.

                    According to the aged people living in the hills, the blooming of bamboo flowers happens every 50 years, causing the rats to breed and multiply at an astonishing rate that eventually causes a famine-like situation.
                    The mice and rats have started eating up almost all agricultural products, on which the hill people are absolutely dependent, since bamboo flowers started blooming in the forests.

                    The attack on the crops by the hungry rats is still going on and nobody knows when it will stop. Usually, it lasts for a maximum period of three years.
                    The administration said jhum crops like paddy, ginger, turmeric, sesame, chilli and other vegetables have been completely eaten up by now in the remote hilly terrain, stretching over 400 kilometres on the border, including Rangamati, Khagrachhari and Bandarban districts.

                    The chairman of Chittagong Hill Tracts Regional Council, Joytirindra Bodhiprio Larma, termed the situation alarming. 'The situation is alarming. People live in utter poverty in the area. They need immediate support to survive,' the leader, who led a struggle for self-rule in the hills for over two decades, told New Age.

                    The rats have also eaten up a huge amount of crops in the Indian state of Mizoram.

                    In Konglak Mouja of Sajek union, the headman appointed by the government said that he has information that as many as 150 families - belonging to the Pankhowa, Lusai and Tripura ethnic groups - have either crossed the border or shifted to other places because of food scarcity.

                    A number of indigenous people in the deep interior of hill districts, while talking to New Age, expressed their agony and said that their survival is utterly uncertain. The poor hill people have no source of sustenance or income other than jhum cultivation.

                    'How can we live without food? There has been no work, no assistance, and we don't know where to go,' said Changkhira Lusai, a resident of Konglak, adding that the people are eating whatever they get in the jungle.

                    Although he had not had his breakfast, Barendra Tripura, a 55-year-old internal refugee now living at Natubari High School Para in Sajek, did not forget to smile when asked about the economic condition of the people in the remote hilly areas.

                    Like many others, he eats once in two days, or spends nights without food. Sometimes, he said, he is forced to eat the pith of banana trees or Khoyang alu, the root of a jungle weed, to survive.

                    'I have no other option but to eat these weeds...The rats have wrought havoc in the area,' said the landless farmer who used to go for Jhum cultivation in the vicinity.

                    But this time, according to Nabin Kumar Tripura, 48, another destitute who migrated to this place from Toichoi Mouza, he cannot afford to farm because he lacks the energy to clear the mountain slopes of weeds and dig the ground for planting Jhum crops.

                    He needs to feed six more family members. He said he sometimes could manage to earn Tk 50 by preparing Jhum fields for a comparatively better off farmer, but he has to travel more than five kilometres to do so.

                    When asked whether they receive any relief or government assistance, Chawng Ming Thanga said that he had heard that the government has allocated a small sum of money to assist the affected people. 'But I have not seen any of it till now,' the headman told New Age at his Konglak residence on Thursday night.

                    Military officials, tasked to maintain security in the region battered by insurgency for over two decades until a peace deal was signed in late 1997, said they have sent food assistance to the remote areas.

                    'But they were not enough to feed the affected people,' said a military officer, adding that more than 30,000 people in Sajek, the largest union parishad in the country, were in a dire situation.

                    The United Nations Development Programme has estimated that 25,000 families in the three hill districts badly need food assistance as the wild rats have eaten up the Jhum crops, causing a severe food shortage in the wilderness, said a top official at the Rangamati Hill District Council.

                    The government has allocated Tk 15 lakh for immediate assistance to the affected people, said Jagat Jyoti Chakma, chairman of the Rangamati Hill District Council, adding that he has suggested long- and short-term projects to help the poor hill people.

                    He stated that Rangamati was allocated Tk 6,00,000 of which Tk 4,00,000 is meant for Sajek, and Khagrachhari and Bandarban were given Tk 4,00,000 and Tk 5,00,000 respectively to tide over the famine-like situation.

                    'The amount is just not enough,' said the chairman, and called upon the government to immediately increase the allocation to save the lives of the indigenous people.

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                    • #11
                      Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                      Invasion de rats au Bangladesh

                      Des milliers d'habitants, victimes du cyclone qui a fait au moins 3.300 morts en novembre, sont maintenant menac?s de famine en raison d'une invasion de rats qui ont d?vor? les r?coltes.

                      La floraison des bambous, qui se produit une fois tous les 50 ans, a attir? des rats qui se sont multipli?s en rongeant toutes les plantations. Une telle invasion de rats se produit tous les 50 ou 60 ans, ? chaque floraison des bambous, selon des autorit?s locales. La derni?re s'?tait produite en 1958.

                      Source: AFP

                      Des milliers d'habitants, victimes du cyclone qui a fait au moins 3.300 morts en novembre, sont maintenant menacés de famine en raison d'une invasion de rats qui ont dévoré les récoltes.La floraison d...

                      Comment


                      • #12
                        Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                        Pas de bambou dans mon jardin!


                        Ah comme la neige a neigé. Mes vitres sont des jardins… sont obstruées par les bancs de neige. Je n’y vois plus rien, que du blanc. Mais qu’à cela ne tienne. En ces jours d’hiver, j’ouvre toutes grandes d’autres fenêtres sur le monde. À la télévision, des émissions comme « Une heure sur terre » et « Découvertes » me stimulent énormément. Sur internet, je fréquente les sites d’observation des changements de la nature et de surveillance des maladies infectieuses où se rencontrent citoyens et scientifiques. J’y exerce activement ce que l’on appelle une vigilance citoyenne sur la question de la grippe aviaire. En sillonnant le globe à la recherche de manifestations spécifiques, je m’expose à un formidable flux d’informations collatérales. À travers mes pérégrinations en Inde et au Bangladesh, je suis tombée sur un phénomène bouleversant : la floraison du bambou.

                        La floraison du bambou

                        Certaines variétés de bambou que l’on retrouve dans les États de Mizoram, de Tripura, de Manipur et d’Assam en Inde ainsi qu’au Bangladesh ne fleurissent que tous les 50 ans environ. Pourquoi ? On ne le sait pas trop. L’ensemble des plantations fleurissent donc au même moment entraînant la mort du bambou. La fleur produit une graine qui, elle, assure la survie de l’espèce. Cette floraison et ces graines très riches en nutriments attirent les rats qui se mettent à proliférer (en nombre et en taille) de façon extraordinaire. En fait, ils peuvent se multiplier jusqu’à huit fois par année durant cette période. Ce qui est quatre fois plus qu’en temps normal. Une fois la manne épuisée, les hordes de rats s’attaquent aux autres récoltes engendrant la famine chez les populations touchées.



                        L’invasion des rats

                        Le bambou a fleuri dernièrement vers la fin de 2006 et les rats se sont attaqués aux cultures de bambou, aux cultures vivrières ainsi qu’à celles du safran et du gingembre planifiées en Inde pour supposément affamer les rats. Ils se sont ensuite attaqués à certaines rizières il y a deux mois. Maintenant c’est au tour des cultures de jhum (culture traditionnelle en forêt selon une jachère de 10 à 20 ans) comme le paddy, le sésame et d’autres légumes dans les collines derrières Chittagong, la grande ville portuaire du Bangladesh. Selon la FAO, 150,000 personnes sont touchées par le phénomène. Il n’y a pas de mesures préventives ou compensatoires qui ont été prévues au Bangladesh. Le cycle dure généralement trois ans. Cette calamité s’ajoute à d’autres que vivent ces populations. Ce sont d’ailleurs les premiers réfugiés climatiques de la planète.

                        Des réfugiés climatiques

                        Le Bangladesh est une immense plaine deltaïque où se rejoignent deux grands fleuves qui prennent leurs sources dans l’Himalaya : le Gange (qui traverse l’Inde) et le Brahmapoutre (qui sillonne le Népal et une partie de la Chine). Le territoire du Bangladesh est constitué de terres basses sur plus de 90%. Il est sujet aux inondations et aux cyclones tel que Sidr qui a fait 4,000 morts et 8,5 millions de sinistrés en novembre dernier. De plus, la hausse du niveau de la mer induite par le réchauffement de la planète menace directement ces habitants à court et moyen terme. Selon les estimations des experts, la mer engloutira entre 10 et 20 % de son territoire d’ici les 100 prochaines années. Une élévation d’un mètre du niveau de la mer ferait disparaître 50 % de la superficie du pays.

                        Carte du Bangladesh


                        Sans issues

                        Le Bangladesh est déjà un des pays les plus pauvres du monde. C’est aussi le pays le plus densément peuplé avec plus de 1,000 habitants au km2. Le Bangladesh est enclavé dans le territoire indien. La frontière entre les deux pays en forme d’arc (qui fait 270 degrés autour du Bangladesh), est longue de plus de 4,000 km, est traversée par une soixantaine de cours d’eau, et compte environ 200 enclaves de part et d’autre. Les relations entre les deux pays sont très difficiles. Ils se renvoient la balle constamment dans les cas de problèmes communs comme la grippe aviaire et les réfugiés climatiques bangladeshis ne sont pas les bienvenus en Inde. La situation était déjà désespérée et il a fallu que ces satanés bambous se mettent à fleurir!

                        Bien que j’espère ardemment le printemps, avec une petite laine sur les épaules, je conviens aisément que nous sommes bien au Québec. Je souhaite seulement que les rongeurs n’apprécient pas trop mes nouveaux bulbes de narcisses. Déjà à l’automne je trouvais que les écureuils étaient pas mal familiers dans mon petit jardin. Et je lorgne dubitativement mes quelques tiges de bambou qui font des racines et du feuillage dans un vase sur une desserte… Pas question qu’elles finissent dans mon jardin celles-là même si elles symbolisent la chance!


                        Muscade
                        11 février 2008
                        (Projet d'article à paraître en mars dans le cadre d'une chronique d'humeur)

                        Comment


                        • #13
                          Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                          En compl?ment pour saisir la r?f?rence culturelle du d?but du texte pr?c?dent, je place ici le po?me d'?mile Nelligan (1879-1941)

                          ?mile Nelligan, ?crivain remarquable du tournant du si?cle, est le po?te le plus aim? et le plus admir? du Canada fran?ais. Figure romantique ? la carri?re litt?raire tragiquement ?court?e, c'est lui qui a fait passer la po?sie canadienne-fran?aise dans l'?re moderne.


                          SOIR D'HIVER

                          Ah ! comme la neige a neig? !
                          Ma vitre est un jardin de givre.
                          Ah ! comme la neige a neig? !
                          Qu'est-ce que le spasme de vivre
                          ? la douleur que j'ai, que j'ai !

                          Tous les ?tangs gisent gel?s,
                          Mon ?me est noire : O? vis-je ? o? vais-je ?
                          Tous ses espoirs gisent gel?s :
                          Je suis la nouvelle Norv?ge
                          D'o? les blonds ciels s'en sont all?s.

                          Pleurez, oiseaux de f?vrier,
                          Au sinistre frisson des choses,
                          Pleurez, oiseaux de f?vrier,
                          Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses,
                          Aux branches du gen?vrier.

                          Ah ! comme la neige a neig? !
                          Ma vitre est un jardin de givre.
                          Ah ! comme la neige a neig? !
                          Qu'est-ce que le spasme de vivre
                          ? tout l'ennui que j'ai, que j'ai !...

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                          • #14
                            Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                            Crise alimentaire : mangez du rat

                            <!--img class="portrait" src="/maquette/photo.jpg" border="0" /-->Source : AFP
                            13/08/2008 | Mise ? jour : 11:11 |<SCRIPT src="/commentaires/nbcmt.php?article=20080813FILWWW00349" type=text/javascript></SCRIPT> Commentaires 7 .

                            <!-- infos -->Un secr?taire d'Etat de la r?gion indienne du Bihar (nord est) a d?voil? aujourd'hui son plan pour att?nuer les effets de la crise alimentaire mondiale: manger de la viande de rat.

                            "Cela contribuera ? att?nuer les effets de la crise alimentaire mondiale. Nous sommes certains que cela fera merveille", a assur? Vijay Prakash, secr?taire d'Etat au Bien-?tre social.

                            "Cela permettra d'?pargner nos c?r?ales et d'?viter une d?pendance vis ? vis des stocks alimentaires", a-t-il ajout?.

                            Le fonctionnaire esp?re de rallier ? ses vues les foyers indiens et ne d?sesp?re pas de voir le rongeur s'imposer aux menus des restaurants et des h?tels de luxe. Selon lui, ce nouveau r?gime alimentaire aurait aussi la vertu de diminuer le nombre de rongeurs qui pillent chaque ann?e 50% les r?coltes du Bihar, l'un des Etats les plus d?favoris?s du pays.



                            <!-- Source : AFP -->http://www.lefigaro.fr/flash-actu/20...gez-du-rat.php

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                            • #15
                              Re: Floraison du bambou, rats et famine en Inde et au Bangladesh

                              Traduction automatique

                              Aucun riz pourtant pour la famine n'a frapp? des villageois de Ccpur
                              <!EpnHeading25End>
                              Source : Service de nouvelles de Hueiyen/Sobhapati Samom


                              Imphal, 4 janvier 2008 : QUOIQUE le centre ait sanctionn? Rs 16.67 pour Manipur contre une demande de crore de Rs 50.02, combattre la menace du rongeur ? la suite de la floraison en bambou, plus de villageois affect?s 1 par lakh de zone de Churachandpur sont d'obtenir encore les mat?riaux de soulagement dus au blocus ?conomique sur NH 39 sans compter que le manque de l'initiative du gouvernement national.

                              ? Je ne sais pas pourquoi ceci se produit ici ? K Moi, secr?taire de la planification ?conomique de Zomi et agence pour le d?veloppement (ZEPADA), un groupe de pression culot de Churachandpur activement impliqu? ?galement dans le d?clenchement de la collection et la redistribution des mat?riaux de soulagement a indiqu?.

                              ? Nous sommes dits que le C.C avait d?pos? la quantit? exig?e ? FCI, mais aucun approvisionnement n'atteint la zone le secr?taire jusqu'? date ?, ZEPADA inform?.

                              Selon la directive d'octobre 20.2008 de secr?taire en chef Rakesh d'?tat est concern? DCS de Churachandpur, Chandel et les zones de Tamenglong pour d?poser les fonds n?cessaires pour le d?gagement du riz ? Food Corporation de l'Inde (FCI), C.C Sumant Singh de Churachandpur ont d?pos? une somme de Rs 4.42.62.360 le 6 d?cembre l'ann?e derni?re.

                              Fonctionnaires de FCI ici une fois entr? en contact, confirm? la r?ception de la quantit?.

                              Toutefois la quantit? d?pos?e ? FCI pourrait obtenir le riz pendant quatre mois commen?ant seulement le d?cembre 2008 jusqu'? mars cette ann?e au taux de Rs 1698.90p par quintal (Rs 16 par kilogramme), les offcials ont r?clam? et se sont ajout?s en cas de zone de Churachandpur, il pourraient obtenir seulement environ 6513 quintaux de riz.

                              Mention peut ?tre faite ici ? cela apr?s la directive du centre, FCI est tout plac?e pour fournir l'approvisionnement additionnel en 1500 tonalit?s m?triques de riz pour les zones de coup de famine de Manipur comprenant la quote-part m?trique de 800 tonalit?s pour Churachandpur, 500 tonalit?s m?triques pour Tamenglong et 200 tonalit?s m?triques pour Chandel.

                              ? Cependant nous ne pourrions pas t apporter le riz de l'entrep?t de Dimapur d? au blocus ?conomique continu sur NH 39 par de divers organismes ? qu'un fonctionnaire de FCI a dit ce journaliste ici. ? Sans compter que nous ne pourrions pas m?me le rassembler de l'entrep?t de Silchar aussi bien par l'interm?diaire de NH 53 d? ? l'indisponibilit? des actions l? " qu'il s'est ajout?es.

                              Surtout l'autorit? de l'?tat n'est ?galement pas pr?te ? fournir des escortes de s?curit? pour les camions de FCI, le fonctionnaire de FCI d?plor?.

                              Selon la r?union du comit? des fonds d'aide de calamit? de niveau d'?tat, hors de Rs 16.67 crores un total de crores Rs.6.47 avaient ?t? sanctionn?s pour la subvention d'entr?e d'agriculture des zones pour Chandel, de Churachandpur et de Tamenglong qui inclut une quantit? de Rs.2, 78.41.218 en tant que subvention de moyens agricoles pour la zone de Churachandpur o? 13.920.609 hectares avec 1.03.558 personnes de 14.307 familles dans 264 villages dans la zone encadrant Myanmar ont ?t? enregistr?s affect?s par la famine (ou le Mautaam dans le langage local) d? ? la floraison en bambou.

                              Selon ZEPADA, jusqu'ici seulement environ 4.500 quintaux de riz au village affect? contre la condition de plus de 10.000 quintaux.

                              L'union de journaliste de collines de Manipur, un conglom?rat des journalistes travaillants bas?s dans Churachandpur en particulier dans un que c'est aper?u men? l'ann?e derni?re a d?couvert que NREGS (arrangement rural national de garantie d'emploi) dans Churachandpur joue un r?le essentiel en tant que mesures imm?diates pour les villageois affect?s.

                              Int?ressant le bambou se d?veloppe sauvage en 3691.77 kilom?tres carr?s de l'aire g?ographique totale de Manipur de 22.327 kilom?tres carr?s.

                              Mautaam se produit dans un intervalle de 48 50 ans.

                              Le mautaam pr?c?dent se produit en 1958-59, affectant le m?me secteur g?ographique.

                              ? la diff?rence de Manipur, Mizoram voisin qui a ?t? donn? crore de Rs 12.93 dans le premier acompte suivi d'une autre quantit? de crore de Rs 49.37 a cens?ment re?u les mat?riaux de soulagement ? temps.

                              La quantit? est en plus du crore de Rs 85 sanctionn? par New Delhi dans le cadre d'un plan d'action sp?cial pour aborder la floraison en bambou, rapports atteignant ici dit.

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