<TABLE class=contentpaneopen><TBODY><TR><TD class=contentheading width="100%">Diagnostic très pessimiste pour Mouammar Kadhafi </TD><TD class=buttonheading width="100%" align=right> </TD><TD class=buttonheading width="100%" align=right> </TD></TR></TBODY></TABLE><TABLE class=contentpaneopen><TBODY><TR><TD class=createdate vAlign=top>Mardi, 15 Février 2011 17:26 </TD></TR><TR><TD vAlign=top>Tous les services de renseignement européens sont en alerte maximale en Libye. La CIA aurait elle aussi demandé l’aide du FSB russe pour savoir ce qui se passe réellement dans la Jamahiriya. Les sorties intempestives et désordonnées du guide de la révolution
du 1er septembre ont alerté les gouvernements occidentaux sur le degré d’isolement du pouvoir libyen.
« Kadhafi, ses fils et son clan sont totalement coupés de la réalité. Alors que ses enfants se livrent une bataille précoce pour la succession, les proches mettent l’économie du pays en coupé réglée », selon un homme d’affaires libyen qui vit à Londres. Mouammar Kadhafi a été pris de court par les révolutions tunisienne et égyptienne. Ses services de renseignement lui auraient assuré que les régimes de Zine El Abidine Ben Ali et de Hosni Moubarak étaient solidement ancrés. C’est dire la surprise du guide qui a vu deux de ses principaux alliés dans la région « dégommés » en deux mois. D’après des sources bien informées à Tripoli, les comités populaires révolutionnaires libyennes -colonne vertébrale du régime- ont procédé dernièrement à la distribution d’armes et de téléphones portables à plusieurs groupes de personnes constituées en cellules dans les quartiers de Tripoli, de Benghazi et de Mesrata. Ces cellules ont reçu l’ordre de tuer dans l’œuf toute velléité de révolte. C’est le général Abdelfattah Younis Al Obeidi, secrétaire du comité populaire général de la sûreté générale, qui a été chargé par le colonel Kadhafi lui-même de coordonner l’installation des cellules de vigilance.
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Lire intégralement ici:
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du 1er septembre ont alerté les gouvernements occidentaux sur le degré d’isolement du pouvoir libyen.
« Kadhafi, ses fils et son clan sont totalement coupés de la réalité. Alors que ses enfants se livrent une bataille précoce pour la succession, les proches mettent l’économie du pays en coupé réglée », selon un homme d’affaires libyen qui vit à Londres. Mouammar Kadhafi a été pris de court par les révolutions tunisienne et égyptienne. Ses services de renseignement lui auraient assuré que les régimes de Zine El Abidine Ben Ali et de Hosni Moubarak étaient solidement ancrés. C’est dire la surprise du guide qui a vu deux de ses principaux alliés dans la région « dégommés » en deux mois. D’après des sources bien informées à Tripoli, les comités populaires révolutionnaires libyennes -colonne vertébrale du régime- ont procédé dernièrement à la distribution d’armes et de téléphones portables à plusieurs groupes de personnes constituées en cellules dans les quartiers de Tripoli, de Benghazi et de Mesrata. Ces cellules ont reçu l’ordre de tuer dans l’œuf toute velléité de révolte. C’est le général Abdelfattah Younis Al Obeidi, secrétaire du comité populaire général de la sûreté générale, qui a été chargé par le colonel Kadhafi lui-même de coordonner l’installation des cellules de vigilance.
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