<TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=5 width="99%" align=center><TBODY><TR><TD vAlign=top colSpan=3>Djibouti : Port d’entrée de l’Afrique subsaharienne ?
</TD></TR><TR><TD class=font vAlign=top colSpan=3>Le parfum du Jasmin n’a pas encore fini de se répandre. En effet, le mouvement de révolte, qui a secoué la Tunisie et l’Egypte, a maintenant atteint la cité-Etat de la corne de l’Afrique, Djibouti. Plusieurs milliers de personnes s’étaient rassemblées vendredi dernier pour demander la démission du président, Ismaël Omar Guelleh, au pouvoir depuis 1999.
</TD></TR><TR><TD class=shownews vAlign=top colSpan=3></TD></TR><TR><TD class=shownews vAlign=top colSpan=3><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=15 width=270 align=right><TBODY><TR><TD><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=15 width=250><TBODY><TR><TD class=outline><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%"><TBODY><TR><TD align=middle></TD></TR><TR><TD class=gris></TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR><TR><TD class=outline></TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR></TBODY></TABLE>Après deux mandats, le président djiboutien est vomi par une bonne partie de son peuple, un peuple qui se sent trahi. En effet, quand il est arrivé à la tête de l’Etat, il a limité le nombre de mandats, puis a sauté le verrou de la limitation afin de se représenter aux prochaines échéances électorales. Mais aujourd’hui, le peuple exprime sa désapprobation d’autant que le travail abattu au cours des deux mandats de Omar Guelleh est jugé insatisfaisant.
Il n’est pas parvenu à sortir son pays de l’ornière, et semble préparer un pouvoir à vie. Pour tout dire, Ismaël Omar Guelleh a déçu son peuple qui exige à cor et à cri son départ. Excédés, les Djiboutiens ne demandent pas de réformes, mais la démission pure et simple de leur président. On se demande d’ailleurs si ces manifestations ne traduisent pas le désappointement du peuple vis-à-vis des Occidentaux qui profitent de la position géostratégique du pays.
</TD></TR></TBODY></TABLE>
/.../
</TD></TR><TR><TD class=font vAlign=top colSpan=3>Le parfum du Jasmin n’a pas encore fini de se répandre. En effet, le mouvement de révolte, qui a secoué la Tunisie et l’Egypte, a maintenant atteint la cité-Etat de la corne de l’Afrique, Djibouti. Plusieurs milliers de personnes s’étaient rassemblées vendredi dernier pour demander la démission du président, Ismaël Omar Guelleh, au pouvoir depuis 1999.
</TD></TR><TR><TD class=shownews vAlign=top colSpan=3></TD></TR><TR><TD class=shownews vAlign=top colSpan=3><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=15 width=270 align=right><TBODY><TR><TD><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=15 width=250><TBODY><TR><TD class=outline><TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%"><TBODY><TR><TD align=middle></TD></TR><TR><TD class=gris></TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR><TR><TD class=outline></TD></TR></TBODY></TABLE></TD></TR></TBODY></TABLE>Après deux mandats, le président djiboutien est vomi par une bonne partie de son peuple, un peuple qui se sent trahi. En effet, quand il est arrivé à la tête de l’Etat, il a limité le nombre de mandats, puis a sauté le verrou de la limitation afin de se représenter aux prochaines échéances électorales. Mais aujourd’hui, le peuple exprime sa désapprobation d’autant que le travail abattu au cours des deux mandats de Omar Guelleh est jugé insatisfaisant.
Il n’est pas parvenu à sortir son pays de l’ornière, et semble préparer un pouvoir à vie. Pour tout dire, Ismaël Omar Guelleh a déçu son peuple qui exige à cor et à cri son départ. Excédés, les Djiboutiens ne demandent pas de réformes, mais la démission pure et simple de leur président. On se demande d’ailleurs si ces manifestations ne traduisent pas le désappointement du peuple vis-à-vis des Occidentaux qui profitent de la position géostratégique du pays.
</TD></TR></TBODY></TABLE>
/.../
Comment