Re: Les troubles en ?gypte et au Moyen Orient p?sent sur l'?conomie - bourse et banques ferm?es - d?part d'entreprises - possible p?nurie de p?trole - activit? portuaire perturb?e (arrivages de grains et porte-conteneurs)
Traduction automatique
Venezuela: crise Egypte pourrait faire monter les prix du pétrole
Par Fabiola Sanchez
Associated Press / 4 Février, 2011
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<!-- End utility --><!-- End headTools --><!-- End articleHeader -->CARACAS, Venezuela- haut fonctionnaire de pétrole du Venezuela a déclaré vendredi que 100 $ le baril est un «juste prix» pour le pétrole brut, mais qui pourrait prendre jusqu'à 200 $ le baril, si la crise en Egypte a conduit à une fermeture du canal de Suez.<SCRIPT></SCRIPT><SCRIPT type=text/javascript src="http://w.sharethis.com/button/sharethis.js#publisher=e1e0ea5a-a326-4731-b1d1-f21623043511&type=website&button=false"></SCRIPT><SCRIPT language=JavaScript></SCRIPT>
Le ministre du Pétrole, Rafael Ramirez, a déclaré lors d'une conférence de nouvelles que le gouvernement du Venezuela se sent «à l'aise" avec les prix actuels du pétrole brut - qui ont été poussé à la hausse cette semaine par les protestations en Egypte et d'autres tensions au Moyen-Orient.
Egypte contrôles du canal de Suez et d'un pipeline à proximité que sont les itinéraires important pour les expéditions de pétrole du Moyen-Orient à des clients en Europe et en Amérique.
Lorsqu'on lui a demandé comment les marchés du pétrole réagirait si la crise venait à s'aggraver l'Egypte et de provoquer un arrêt du canal de Suez, Ramirez a déclaré: «C'est une situation qui pourrait porter le prix à 200 (dollars), en fonction de la profondeur et la force avec laquelle elle se produit. "
Il a dit que s'il y avait une telle rupture, le Venezuela et d'autres membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole serait certainement se rencontrer pour examiner les prochaines étapes.
Pour l'instant, référence West Texas Intermediate brut pour livraison en Mars est tombé de 1,51 $ le baril pour s'établir à 89,03 $ sur le New York Mercantile Exchange, le vendredi.
Ramirez a indiqué qu'étant donné le marché actuel, il n'est pas nécessaire pour une réunion extraordinaire de l'OPEP.
"Il ya suffisamment de pétrole", a dit Ramirez. "Les stocks continuent d'augmenter."
Comme pour les entreprises pétrolières du Venezuela, Ramirez a déclaré qu'il n'est pas prévu d'étendre ses opérations aux États-Unis, où du Venezuela aux États-Unis Citgo Petroleum Corp exploite trois raffineries et vend du carburant à travers des milliers de stations d'essence.
"Aux Etats-Unis, nous n'allons pas continuer d'augmenter," a dit Ramirez, expliquant que les investissements dans les États-Unis aujourd'hui sont destinés à l'entretien des installations pour se conformer aux réglementations environnementales et autres exigences.
Chavez l'an dernier appelé Citgo une «mauvaise affaire» pour le Venezuela et a ordonné Ramirez d'examiner les options pour la vente d'actifs aux États-Unis.
Les États-Unis reste le premier acheteur du pétrole vénézuélien top malgré les tensions politiques entre Chavez et à Washington.
exportations du Venezuela aux États-Unis ont fluctué d'un mois à peu, atteignant 1,38 millions de barils par jour dans la dernière semaine de Janvier, selon les derniers chiffres US. Au cours de la seconde moitié de 2010, les exportations a oscillé entre 800.000 et 1 million de barils par jour.
En vertu de Chavez, la société pétrolière publique Petroleos de Venezuela SA a cherché à diversifier sa clientèle, exporter davantage vers la Chine et d'autres pays. Le Venezuela est désormais l'exportation vers la Chine au sujet de 460.000 barils par jour, a dit Ramirez.
Il a nié un compte dans un document confidentiel des États-Unis publié par Wikileaks que le Venezuela a été la vente de pétrole de la Chine pour aussi peu que 5 $ le baril.
"Personne n'a un rabais», Ramirez a déclaré, se référant à des revendications dans le câble des États-Unis publié en Décembre.
Le Venezuela offre des conditions de crédit préférentielles des ventes de pétrole à divers pays alliés en Amérique latine et les Caraïbes.
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Venezuela: crise Egypte pourrait faire monter les prix du pétrole
Par Fabiola Sanchez
Associated Press / 4 Février, 2011
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Le ministre du Pétrole, Rafael Ramirez, a déclaré lors d'une conférence de nouvelles que le gouvernement du Venezuela se sent «à l'aise" avec les prix actuels du pétrole brut - qui ont été poussé à la hausse cette semaine par les protestations en Egypte et d'autres tensions au Moyen-Orient.
Egypte contrôles du canal de Suez et d'un pipeline à proximité que sont les itinéraires important pour les expéditions de pétrole du Moyen-Orient à des clients en Europe et en Amérique.
Lorsqu'on lui a demandé comment les marchés du pétrole réagirait si la crise venait à s'aggraver l'Egypte et de provoquer un arrêt du canal de Suez, Ramirez a déclaré: «C'est une situation qui pourrait porter le prix à 200 (dollars), en fonction de la profondeur et la force avec laquelle elle se produit. "
Il a dit que s'il y avait une telle rupture, le Venezuela et d'autres membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole serait certainement se rencontrer pour examiner les prochaines étapes.
Pour l'instant, référence West Texas Intermediate brut pour livraison en Mars est tombé de 1,51 $ le baril pour s'établir à 89,03 $ sur le New York Mercantile Exchange, le vendredi.
Ramirez a indiqué qu'étant donné le marché actuel, il n'est pas nécessaire pour une réunion extraordinaire de l'OPEP.
"Il ya suffisamment de pétrole", a dit Ramirez. "Les stocks continuent d'augmenter."
Comme pour les entreprises pétrolières du Venezuela, Ramirez a déclaré qu'il n'est pas prévu d'étendre ses opérations aux États-Unis, où du Venezuela aux États-Unis Citgo Petroleum Corp exploite trois raffineries et vend du carburant à travers des milliers de stations d'essence.
"Aux Etats-Unis, nous n'allons pas continuer d'augmenter," a dit Ramirez, expliquant que les investissements dans les États-Unis aujourd'hui sont destinés à l'entretien des installations pour se conformer aux réglementations environnementales et autres exigences.
Chavez l'an dernier appelé Citgo une «mauvaise affaire» pour le Venezuela et a ordonné Ramirez d'examiner les options pour la vente d'actifs aux États-Unis.
Les États-Unis reste le premier acheteur du pétrole vénézuélien top malgré les tensions politiques entre Chavez et à Washington.
exportations du Venezuela aux États-Unis ont fluctué d'un mois à peu, atteignant 1,38 millions de barils par jour dans la dernière semaine de Janvier, selon les derniers chiffres US. Au cours de la seconde moitié de 2010, les exportations a oscillé entre 800.000 et 1 million de barils par jour.
En vertu de Chavez, la société pétrolière publique Petroleos de Venezuela SA a cherché à diversifier sa clientèle, exporter davantage vers la Chine et d'autres pays. Le Venezuela est désormais l'exportation vers la Chine au sujet de 460.000 barils par jour, a dit Ramirez.
Il a nié un compte dans un document confidentiel des États-Unis publié par Wikileaks que le Venezuela a été la vente de pétrole de la Chine pour aussi peu que 5 $ le baril.
"Personne n'a un rabais», Ramirez a déclaré, se référant à des revendications dans le câble des États-Unis publié en Décembre.
Le Venezuela offre des conditions de crédit préférentielles des ventes de pétrole à divers pays alliés en Amérique latine et les Caraïbes.
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