<table align="right" border="0" cellpadding="0" cellspacing="1" width="562" height="927"><tbody><tr><td colspan="2">Un programme d’actions communautaires contre la grippe aviaire en vue au Niger </td> </tr> <tr> <td colspan="2" align="center">
</td> </tr> <tr> <td colspan="2"> APA-Niamey (Niger) Le Niger va mettre en place un programme d’actions communautaires de lutte contre la grippe aviaire en vue de protéger quelque 12 millions de têtes avec une production avicole dominé par l’élevage traditionnel à près de 97 pour cent, a appris APA jeudi de source officielle.
Ces mesures de prévention et de riposte s’articulent autour de la fourniture d’appui aux services vétérinaires et aux services de santé humaine, à l’amélioration de l’information et de la sensibilisation du public et le renforcement du suivi et de l’évaluation des activités relatives à la grippe aviaire.
Au cours de ces dernières années, quelque 2, 25 milliards FCFA ont été injectées dans la lutte contre les épizooties animales notamment la grippe aviaire au Niger à travers le Programme d’actions communautaires (PAC), soutenu par la Banque mondiale.
Les techniques traditionnelles qui caractérisent l’élevage avicole dans ce pays augmentent le risque d’infection en cas de maladie, a dit le ministre de l’industrie animale, Issiah Ag Khato, au cours d’un atelier de lancement de programmes de lutte contre la grippe aviaire.
L’apparition de la grippe aviaire, a-t-il rappelé, a amené le gouvernement nigérien à élaborer un plan national d’intervention d’urgence avec pour principal objectif la préservation de la santé des animaux et de la population nigérienne, la sauvegarde de l’économie avicole et de la biodiversité.
En dépit de l’existence d’un plan d’action et des dispositifs contre cette maladie, l’existence du virus H5N1 a été détecté et la présence de l’influenza aviaire hautement pathogène a été confirmée en février 2006 au Niger par un laboratoire de référence en Italie.
Selon le ministre Ag Khato, la découverte d’autres foyers de grippe aviaire a affecté sérieusement le secteur presque à l’échelle nationale.
Cependant, a-t-il précisé, le gouvernement «a promptement circonscrit la maladie et développé des stratégies de renforcement des capacités en matière de prévention, de contrôle et de réduction de l’impact socioéconomique de la grippe aviaire ».
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</td> </tr> <tr> <td colspan="2"> APA-Niamey (Niger) Le Niger va mettre en place un programme d’actions communautaires de lutte contre la grippe aviaire en vue de protéger quelque 12 millions de têtes avec une production avicole dominé par l’élevage traditionnel à près de 97 pour cent, a appris APA jeudi de source officielle.
Ces mesures de prévention et de riposte s’articulent autour de la fourniture d’appui aux services vétérinaires et aux services de santé humaine, à l’amélioration de l’information et de la sensibilisation du public et le renforcement du suivi et de l’évaluation des activités relatives à la grippe aviaire.
Au cours de ces dernières années, quelque 2, 25 milliards FCFA ont été injectées dans la lutte contre les épizooties animales notamment la grippe aviaire au Niger à travers le Programme d’actions communautaires (PAC), soutenu par la Banque mondiale.
Les techniques traditionnelles qui caractérisent l’élevage avicole dans ce pays augmentent le risque d’infection en cas de maladie, a dit le ministre de l’industrie animale, Issiah Ag Khato, au cours d’un atelier de lancement de programmes de lutte contre la grippe aviaire.
L’apparition de la grippe aviaire, a-t-il rappelé, a amené le gouvernement nigérien à élaborer un plan national d’intervention d’urgence avec pour principal objectif la préservation de la santé des animaux et de la population nigérienne, la sauvegarde de l’économie avicole et de la biodiversité.
En dépit de l’existence d’un plan d’action et des dispositifs contre cette maladie, l’existence du virus H5N1 a été détecté et la présence de l’influenza aviaire hautement pathogène a été confirmée en février 2006 au Niger par un laboratoire de référence en Italie.
Selon le ministre Ag Khato, la découverte d’autres foyers de grippe aviaire a affecté sérieusement le secteur presque à l’échelle nationale.
Cependant, a-t-il précisé, le gouvernement «a promptement circonscrit la maladie et développé des stratégies de renforcement des capacités en matière de prévention, de contrôle et de réduction de l’impact socioéconomique de la grippe aviaire ».
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