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Conf?rence "Survivre ? l'effondrement ?conomique"

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  • Conf?rence "Survivre ? l'effondrement ?conomique"

    Conférence "Survivre à l'effondrement économique" à Lille (Partie I)



    Conférence "Survivre à l'effondrement économique" à Lille (Partie II)



    Conférence "Survivre à l'effondrement économique" à Lille (Partie III)



    Conférence "Survivre à l'effondrement économique" à Lille (Partie IV)



    Conférence "Survivre à l'effondrement économique" à Lille (Partie V)


  • #2
    Re: Conf?rence "Survivre ? l'effondrement ?conomique"

    Stock de nourriture, Piero San Giorgio

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    • #3
      Re: Conf?rence "Survivre ? l'effondrement ?conomique"

      ? propos du livre

      Les probl?mes auxquels le monde va devoir faire face dans les dix prochaines ann?es sont consid?rables : surpopulation, p?nurie de p?trole et de mati?res premi?res, d?r?glements climatiques, baisse de la production de nourriture, tarissement de l?eau potable, mondialisation d?brid?e, dettes colossales, immigration massive, violences urbaines, r?voltes, r?volutions, guerres...

      Site:

      Auteur du best-seller "Survivre à l’effondrement économique" vendu à plus de 180 000 exemplaires et traduit dans 10 langues

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      • #4
        Re: Conf?rence "Survivre ? l'effondrement ?conomique"

        SURVIVALISTES

        PARÉS POUR LE PIRE

        Ils sont de plus en plus nombreux en Suisse et dans le monde à se préparer à la catastrophe totale. Comme Piero San Giorgio, ils accumulent des réserves et mettent tout en place pour pouvoir survivre en totale autonomie.

        Par Muriel Jarp - Mis en ligne le 20.06.2012
        Il le dit d’emblée: «Tant pis si je passe pour un parano farfelu.» Piero San Giorgio n’a pas peur des étiquettes. Ce qu’il craint, en revanche, c’est la fin du monde tel qu’on le connaît. Il est «sûr à 200%»: dans une dizaine d’années, le système va s’effondrer. «Tout converge: le pétrole s’épuise, idem pour l’eau. La crise financière est imminente, la population augmente, on va droit dans le mur», martèle ce quadragénaire, qui a récemment pris ses distances avec l’industrie high-tech dans laquelle il évoluait. Le ton est détendu, mais le regard convaincu. «Il faut admettre qu’il y a cumul de problèmes et aucune solution. Si l’on compte sur les conférences genre Durban, on peut attendre longtemps. Moi, je ne me repose pas sur l’Etat, je pense qu’il faut être prêt soi-même.»

        Il fait partie de ceux qui anticipent la catastrophe, que l’on appelle les «survivalistes». Sur le Net, les sites et forums foisonnent. Crise climatique, nucléaire, sociale, les raisons de se préparer au pire ne manquent pas. Piero San Giorgio, lui, c’est la crise économique qu’il redoute, comme l’indique le titre de son manuel, Survivre à l’effondrement économique. Un livre qui s’est déjà écoulé à 20 000 exemplaires, actuellement en rupture de stock chez Amazon. Un succès que son auteur qualifie d’«inattendu», même si «la prise de conscience va crescendo». «D’après ce que j’ai vu, nous sommes des centaines de familles à nous préparer rien qu’en Suisse romande.»

        PAS UN «FOU FURIEUX»
        Alors ce père de trois enfants – 7, 5 et 2 ans – s’organise petit à petit. Ce Genevois d’origine italienne vient de faire l’acquisition d’une ferme qu’il adapte à son concept. Pantalon kaki à poches, crâne rasé, lunettes noires, Piero ne cadre pas tout à fait avec les prairies bucoliques qui l’entourent. Il préfère que l’emplacement exact ne soit pas révélé, la discrétion étant déjà «une forme de défense». C’est donc quelque part dans les montagnes suisses qu’il développe sa «BAD», comme il l’appelle, comprendre sa «base autonome durable». A quasi plein temps, il stocke dans sa cave de quoi faire vivre dix personnes pendant un an, bichonne ses plantons de salade, vitupère le renard qui a bouffé tout son poulailler, projette de tapisser le toit de panneaux solaires et fait connaissance avec ses voisins, histoire de pouvoir échanger des compétences «et faire un peu de troc» lorsque le mode survie sera enclenché. «L’idéal, ce serait que toute la vallée soit autonome», expliquet-il. Voire même «faire de la Suisse une très grande base autonome durable».

        Il précise, toujours d’un ton calme, que ce n’est «pas un truc de fou furieux. Il est juste question de potager, d’accès à une source d’eau potable. En gros, des choses évidentes que nos ancêtres savaient.»

        /.../



        Entrevue: Compréhension globale avec Piero San Giorgio du 18.06.2012 Café Luxembourg, Paris.

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