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Je voudrais qu'il soit un pays merveilleux
Qui s'appelle le Pays du Recommencement,
O? toutes nos erreurs d'antan,
Toutes nos blessures du coeur,
Toute mis?rable et ?go?ste cupidit?,
On pourrait les jeter en entrant, heureux,
Comme un vieux manteau de malheur
Qu'on n'aura plus besoin d'endosser.
Je voudrais qu'on y arrive sans avertissement,
Comme le chasseur trouvant une piste cach?e,
Et que celui-l? soit ? l'entr?e
Que, dans notre aveuglement,
Nous avions bless? le plus injustement,
Comme un vieil ami qui attend
Le copain qu'il aime le mieux saluer.
On y trouverait tous les petits vouloirs
Qu'on a oubli?s, puis trop tard repens?s,
Les petites promesses oubli?es,
Et les mille et un petits devoirs
Qui auraient rendu meilleure la journ?e
D'un fr?re ou d'une soeur moins fortun?e.
Il serait impossible d'?tre m?chant
Dans le Pays du Recommencement.
? ceux qu'on avait mal jug?s,
Ceux qu'on avait envi?s,
Pour leur moment de gloire ici,
Une bonne poign?e de main amie
Dirait plus qu'une bouche repentie.
On y saurait que le plus dur avait ?t? le meilleur,
Qu'au lieu de perdre, de gagner, on avait eu l'heur
Que les tristesse auraient pu ?tre l'occasion
D'?tre gai, pour une plus haute raison.
C'est la gaiet? qu'on chercherait le plus ardemment
Dans le merveilleux Pays du Recommendement.
J?aimerais qu?il existe cet emplacement
Appel? le Pays du Recommencement,
O? nos erreurs, ce qui nous attriste
Et toute notre peine ?go?ste
Seraient laiss?s ? la porte, comme un manteau us?,
Pour ne plus jamais ?tre endoss?.
Louisa Fletcher Tarkington
"The land of beginning again"
Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s) Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)
Les id?als sont comme les ?toiles.
Vous ne pouvez jamais les atteindre avec vos mains,
mais comme l'homme sur la mer ou dans le d?sert,
vous les prenez comme guides, et,
en les suivant, vous atteignez votre destin?e.
Carl Shurz
Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s) Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)
C'est l'histoire d'un petit gar?on qui avait mauvais caract?re. Son p?re lui donna un sac de clous et lui dit qu'? chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derri?re la cl?ture.
Le premier jour, le jeune gar?on en planta trente-sept. Les semaines qui suivirent, ? mesure qu'il apprenait ? contr?ler son humeur, il plantait de moins en moins de clous. Il d?couvrait qu'il ?tait plus facile de contr?ler son humeur que d'aller planter des clous derri?re la cl?ture.
Le jour vint o? il contr?la son humeur toute la journ?e. Apr?s en avoir inform? son p?re, ce dernier lui sugg?ra de retirer un clou ? chaque jour o? il conserverait sa bonne humeur. Les jours pass?rent et le jeune homme p?t finalement annoncer ? son p?re qu'il ne restait plus aucun clou ? retirer de la cl?ture.
Son p?re le prit par la main et l'amena ? la cl?ture et lui dit: "Tu as travaill? fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la cl?ture. Elle ne sera plus jamais la m?me. ? chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer. Toutefois peu importe combien de fois tu lui diras ?tre d?sol?, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi n?faste qu'une offense physique.
Les amis sont des joyaux pr?cieux. Ils nous font rire et nous encouragent ? r?ussir. Ils nous pr?tent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours pr?ts ? nous ouvrir leur c?ur.
Auteur(e) inconnu(e)
Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s) Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)
Merci alex pour toutes ces pens?es, cela fait du bien
je livre une petite histoire
Le rire et le serieux qui ne se parlaient jamais, se trouverent coinc?s dans un ascenceur.
Le rire se mit a rire.
-De quoi riez vous, lui demanda le serieux
-De votre serieux
-De quoi ririez vous si un autre rire se trouvait a ma place ?
-De l'autre rire, mais mon rire serait moins profond
-Ainsi, grace a moi,, votre rire est meilleur ?
-Absolument, repondit le rire, mais taisez vous car vos propos me font tellement rire que je risque la mort.
- Je me tais, dit l'autre, car l'affaire, de serieuse, tournerait au tragique.
L'ascenceur repar?, le serieux continua a etre serieusement serieux, mais avec la conscience d'etre utile. Il donnait au rire , un rire de plus grande profondeur.
" contes de sagesse " ( les histoires de maitre Kou a son disciple prefer?)
de francis Amsler
C'?tait un petit bonheur
Que j'avais ramass?
Il ?tait tout en pleurs
Sur le bord d'un foss?
Quand il m'a vu passer
Il s'est mis ? crier:
"Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi
Mes fr?res m'ont oubli?, je suis tomb?, je suis malade
Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, d?livrez-moi de ma torture"
J'ai pris le p'tit bonheur
L'ai mis sous mes haillons
J'ai dit: " Faut pas qu'il meure
Viens-t'en dans ma maison "
Alors le p'tit bonheur
A fait sa gu?rison
Sur le bord de mon c?ur
Y avait une chanson
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oubli?
Ma vie de d?s?uvr?, j'avais d?go?t d'la r'commencer
Quand il pleuvait dehors ou qu'mes amis m'faisaient des peines
J'prenais mon p'tit bonheur et j'lui disais: "C'est toi ma reine"
Mon bonheur a fleuri
Il a fait des bourgeons
C'?tait le paradis
?a s'voyait sur mon front
Or un matin joli
Que j'sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des sc?nes
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du c?ur
Il s'en allait toujours, la t?te haute, sans joie, sans haine
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure
J'ai bien pens? mourir
De chagrin et d'ennui
J'avais cess? de rire
C'?tait toujours la nuit
Il me restait l'oubli
Il me restait l'm?pris
Enfin que j'me suis dit:
Il me reste la vie
J'ai repris mon b?ton, mes deuils, mes peines et mes guenilles
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand d?tour ou bien je me ferme les yeux
...Je fais un grand d?tour ou bien je me ferme les yeux...
F?lix Leclerc
Po?te qu?b?cois (1914-1988)
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Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre. (Miguel de Cervant?s) Pour moi, l'id?e de nation se dissout dans l'id?e d'humanit?. (Victor Hugo)
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