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Premier post datant du 7 mars sur les premiers cas de grippe aviaire H7N9
Sharon SandersCe fil de discussion dans la section anglophone datant du 7 mars 2013 pourrait être les premiers cas humains du H7N9
China - 2 family members died of pneumonia, 1 hospitalized in stable condition - Government denies SARS, H5N1, NCoV and H1N1pdm09 - Shanghai
La contribution a été reconnue par Reuter:
Traduction automatique
Extrait:
Cela pourrait expliquer pourquoi FluTrackers , un site américain qui accueille un volontaire mondial de surveillance des maladies réseau, a souffert renouvelés par déni de service et les attaques qui, selon elle, sont originaires de Chine. Le site basé en Floride d'abord noté les surcharges du serveur en Avril 2011 et a été racontée par son fournisseur de serveur à la mi-Décembre 2012 que de pages vues en provenance de Chine ont été en cours d'exécution à un "étonnant" niveau qui a clôturé le mois à près de 10 millions de dollars, a déclaré Sharon Sanders, FluTrackers «président et rédacteur en chef, dans une série d'échanges de courriers électroniques.
Après FluTrackers interdits chinois adresses IP qui envoyaient des milliers de demandes, le trafic a ralenti de plus de deux tiers, pour rebondir au Mars à près de 6,7 millions de pages vues en provenance de Chine. «Lorsque le site tombe en panne, il est extrêmement gênant», écrit Sanders, mais un site de sauvegarde qui utilise des «lieux sociaux multiples médias", il est "vraiment impossible pour nous emmener vers le bas."
Pourquoi les soins des autorités chinoises à propos de FluTrackers? D'une part, le site Internet à but non lucratif est à regarder la Chine. Un élément Sanders publié le 7 Mars semble avoir constitué la première mention à l'étranger des cas H7N9 Shanghai. Alors que les journalistes en Chine et à Hong Kong pour creuser des histoires là-bas, FluTrackers a environ 50 affiches réguliers et plusieurs centaines de bénévoles intermittents de suivi et de documenter les menaces pour la santé publique - en particulier les maladies émergentes - dans le monde entier. Le site, qui Sanders a fondé avec quelques autres observateurs H5N1 en 2006, publie chaque jour en anglais, français, néerlandais et italien, à la quinzaine en espagnol et parfois en allemand, en opération 24 heures par jour, sept jours par semaine. "Personne n'est payé. Tout le monde est bénévole », écrit-elle. «Nous n'acceptons pas les annonces et nous n'avons rien à vendre."
Le lundi, par exemple, les autorités chinoises et l'Organisation mondiale de la Santé a pris cœur qu'aucun signe de l'homme à l'homme H7N9 transmission avait refait surface. Ce soir-là, FluTrackers posté un traduction automatique d'un rapport bylined qui venait d'être affecté à wenweipo.com, site web d'un journal de Hong Kong. L'histoire raconte des cas de pneumonie inhabituelles qui touchent quatre hommes et une femme dans un hôpital de Shanghai - tous âgés de 60 à 70 ans et sans antécédents de contacts interpersonnels. S'exprimant de manière anonyme, un médecin est cité comme disant l'hôpital chaque année fait face avec environ trois cas de «pneumonie sévère inexpliquée», mais que les cinq cas particuliers sont étiquetés en tant que tels, mais ils n'ont pas été isolés. Un deuxième rapport a indiqué que trois d'entre eux pourraient avoir péri.
Il en va de H7N9 ont un potentiel pandémique? «Je dirais que la majorité des virus H9N2 vient d', lequel de nombreux chercheurs ont suspecté pourrait être la prochaine pandémie. La composition de ce virus est semblable à celle que les chercheurs ont suspecté pourrait être la prochaine pandémie. Toutefois, il n'est pas encore là », dit Tetro. «Nous savons qu'il ne se propage pas d'humain à humain, mais nous savons que, dans certains cas, le contact direct ou étroit avec des volailles ou des oiseaux est une voie d'infection."
D'autre part, il trouve la révélation de nouveaux cas dans le Jiangsu réconfortantes: «C'est en fait une déclaration officielle . Je suis plus optimiste que nous allons avoir une meilleure compréhension épidémiologique de ce qui se passe en Chine. "
"De nombreuses épidémies éclatent, se propager et se consumer tout le temps en Chine. Nous n'avons jamais entendre parler d'eux », dit Coston. "Mais je pense que c'est déjà dans les oiseaux."
Nous allons tous regarder
