Grippe aviaire: la vente de poulets continue malgr? une mesure d'interdiction
Par Xinhua - 27/06/2016
Depuis un mois, cette interdiction en vigueur dans plusieurs villes du Cameroun, dont la capitale Yaound?, est peu suivie par le march? de consommation
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Dans un souci de stopper l'?volution de la circulation du virus et ?viter une ?pid?mie aux cons?quences ?conomiques d?sastreuses pour la fili?re, d?j? confront?e ? une situation similaire en 2006, le gouvernement n'a pas h?sit? ? ?tendre sa mesure de fermeture des march?s au commerce de la volaille jusqu'? Douala, la m?tropole ?conomique.
Pris de panique, le march? de consommation, lui, s'est en revanche vite ressaisi et a ramen? le produit prohib? en les r?am?nageant, pour ne pas attirer l'attention des ?quipes de contr?le d'une administration laxiste et d?put?e corrompue, dans ses circuits d'approvisionnement ordinaires.
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"Il faut beaucoup d'?motion dans cette affaire-l?. Le virus est l?, en fait il faut r?ellement travailler pour bien sensibiliser la population", a soulign? Blaise Kamdoum, vice-pr?sident de cette organisation qui regroupe en sein plus d'un millier de producteurs de poulets ind?pendants, sur 2.500 ? 3.000 d?clar?s sur l'ensemble du territoire camerounais.
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"Ce n'est pas facile de bloquer 800.000 poulets dans les fermes et continuer de les nourrir. Le respect de la d?cision d'interdiction n'a pas ?t? ais?. M?me les consommateurs viennent inciter les producteurs ? vendre, faisant accro?tre le risque de propagation du virus", observe toutefois Blaise Kamdoum, qui ?carte cependant l'?ventualit? de la reprise des importations de poulets.
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Depuis deux semaines, aucun nouveau foyer de contamination n'a ?t? enregistr?, une lueur d'espoir pour la fili?re.
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Par Xinhua - 27/06/2016
Depuis un mois, cette interdiction en vigueur dans plusieurs villes du Cameroun, dont la capitale Yaound?, est peu suivie par le march? de consommation
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Dans un souci de stopper l'?volution de la circulation du virus et ?viter une ?pid?mie aux cons?quences ?conomiques d?sastreuses pour la fili?re, d?j? confront?e ? une situation similaire en 2006, le gouvernement n'a pas h?sit? ? ?tendre sa mesure de fermeture des march?s au commerce de la volaille jusqu'? Douala, la m?tropole ?conomique.
Pris de panique, le march? de consommation, lui, s'est en revanche vite ressaisi et a ramen? le produit prohib? en les r?am?nageant, pour ne pas attirer l'attention des ?quipes de contr?le d'une administration laxiste et d?put?e corrompue, dans ses circuits d'approvisionnement ordinaires.
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"Il faut beaucoup d'?motion dans cette affaire-l?. Le virus est l?, en fait il faut r?ellement travailler pour bien sensibiliser la population", a soulign? Blaise Kamdoum, vice-pr?sident de cette organisation qui regroupe en sein plus d'un millier de producteurs de poulets ind?pendants, sur 2.500 ? 3.000 d?clar?s sur l'ensemble du territoire camerounais.
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"Ce n'est pas facile de bloquer 800.000 poulets dans les fermes et continuer de les nourrir. Le respect de la d?cision d'interdiction n'a pas ?t? ais?. M?me les consommateurs viennent inciter les producteurs ? vendre, faisant accro?tre le risque de propagation du virus", observe toutefois Blaise Kamdoum, qui ?carte cependant l'?ventualit? de la reprise des importations de poulets.
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Depuis deux semaines, aucun nouveau foyer de contamination n'a ?t? enregistr?, une lueur d'espoir pour la fili?re.
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