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Pour la transparence

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    Opinion - ?ditoriaux

    Transparent enfin

    Le stand dur pris par l'Indon?sie sur partager des ?chantillons de grippe d'oiseau avec les centres de collaboration de l'organisation mondiale de la sant? a apport? les changements substantiels pour le meilleur. Le corps du monde a mis en place un syst?me de piste ?lectronique qui permettra l'acc?s public libre ? tout le H5N1 et l'autre virus humain potentiellement universel pr?l?ve les pays affect?s avait partag? avec lui par le r?seau global de surveillance de grippe (GISN). Le syst?me, qui a des donn?es sur les ?chantillons partag?s, laissera contribuer les pays pour savoir si leurs ?chantillons ont ?t? d?velopp?s en virus vacciniques et, si oui, qui les destinataires de ces virus vacciniques sont. Le syst?me indiquerait ?galement si les pays d?velopp?s ont ?t? prompts en partageant leurs ?chantillons, comme r?clam? par eux. L'impasse entre l'Indon?sie et l'OMS au-dessus du l'?chantillon-partage en ?change pour l'approvisionnement vaccinique assur?ment en cas de pand?mie avait mis en ?vidence la nature non transparente du r?seau de surveillance. Bien que des pays qui ont eu des manifestations de grippe d'oiseau soient oblig?s pour partager des ?chantillons avec l'OMS, jusqu'ici ils n'ont eu aucune mani?re de savoir qui employaient leurs ?chantillons et dans les quels buts. Par exemple, il y avait le cas des entreprises pharmaceutiques Australie-bas?es se servant de la contrainte indon?sienne pour d?velopper un vaccin de grippe d'oiseau sans l'Indon?sie se rendant compte de elle.

    Il est honteux que bien que le r?seau ait eu lieu en place pendant 60 ann?es, il y ait eu beaucoup de confusion au sujet de qui les joueurs sont et de la fa?on dont elle fonctionne. Que, ind?pendamment des centres de collaboration, il y avait d'autres ?tablissements impliqu?s dans le GISN est devenu clair confirme seulement l'ann?e derni?re l'opacit? du syst?me. Cependant le souci primaire de l'Indon?sie, qui a jou? un r?le principal en accentuant l'injustice du syst?me de ?chantillon-partage, demeure en grande partie sans direction, la mani?re que le corps du monde a ?t? oblig? d'acc?der ? sa demande d'un syst?me de donn?e-cheminement devrait renforcer sa r?solution pour fixer un m?canisme juste pour rendre des vaccins disponibles quand une pand?mie frappe n'importe o?. Les pays d?velopp?s voient l'h?sitation de l'Indon?sie pour partager ses ?chantillons en tant que mise de tout le monde au grand risque. Mais il devrait consid?rer que les pays en voie de d?veloppement ont ?t? oblig?s de recourir ? une telle strat?gie de la corde raide pour combattre seulement l'injustice dans le monde de la recherche de vaccin et de drogue. Le temps est venu pour que l'OMS change ses politiques qui sont d?su?tes et de travers en faveur des pays d?velopp?s ayant de grandes industries pharmaceutiques de sorte que les pays en voie de d?veloppement soient donn?s une affaire juste. Si ceci ne peut pas ?tre r?alis? par des n?gociations, des pays en voie de d?veloppement pourraient ?tre tent?s pour suivre l'exemple de l'Indon?sie et pour forcer l'issue quand une crise est actuelle.

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    Opinion - Editorials

    Transparency at last

    The tough stand taken by Indonesia on sharing bird flu samples with the World Health Organisation collaborating centres has brought in substantial changes for the better. The world body has put in place an electronic tracking system that will allow free public access to all H5N1 and other potentially pandemic human virus samples the affected countries had shared with it through the Global Influenza Surveillance Network (GISN). The system, which has data on shared samples, will allow contributing countries to know whether their samples have been developed into vaccine viruses and, if so, who the recipients of those vaccine viruses are. The system would also indicate if the developed countries have been prompt in sharing their samples, as claimed by them. The stand-off between Indonesia and the WHO over sample-sharing in return for assured vaccine supply in case of a pandemic had brought to light the non-transparent nature of the surveillance network. Though countries that have had bird flu outbreaks are obliged to share samples with the WHO, until now they had no way of knowing who were using their samples and for what purposes. For instance, there was the case of an Australia-based pharmaceutical company making use of the Indonesian strain to develop a bird flu vaccine without Indonesia being aware of it.

    It is shameful that though the network has been in place for 60 years, there has been a lot of confusion about who the players are and how it operates. That, apart from the collaborating centres, there were other institutions involved in the GISN became clear only last year confirms the opaqueness of the system. Though the primary concern of Indonesia, which played a leading role in highlighting the inequity of the sample-sharing system, remains largely unaddressed, the way the world body was compelled to accede to its demand for a data-tracking system should strengthen its resolve to secure a fair mechanism for making vaccines available when a pandemic strikes anywhere. The developed countries see Indonesia?s reluctance to share its samples as putting everybody at great risk. But it should be borne in mind that the developing countries were compelled to resort to such brinkmanship only to fight inequity in the world of vaccine and drug research. The time has come for the WHO to change its policies that are antiquated and skewed in favour of the developed countries having large pharmaceutical industries so that the developing countries are given a fair deal. If this cannot be achieved through negotiations, developing countries might be tempted to follow Indonesia?s example and force the issue when a crisis is at hand.

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