Tweet
Traduction automatique
A?roports un refuge pour les maladies infectieuses: Rapport
Par Bradley Bouzane, Canwest Nouvelles Service28 octobre 2009
Un agent de sant? utilise un appareil pour mesurer la temp?rature des passagers arrivant ? l'a?roport du Caire, en tant que mesure de pr?caution contre la grippe A (H1N1), commun?ment appel?e la grippe porcine, Mai 14, 2009.
Photo prise par: Asmaa Waguih, Reuters
Face ? une pand?mie de H1N1, les a?roports canadiens servent de ?portes d'entr?e majeur pour les maladies infectieuses?, selon un rapport qui sugg?re que plus le d?pistage de la grippe est obligatoire dans les a?roports pour s?vir contre la propagation, mais certains craignent qu'il ne soit trop tard pour agir dans les a?roports.
Le rapport, publi? dans le Canadian Medical Association Journal, les c?libataires ? Toronto, comme le ?point d'entr?e les plus vuln?rables au Canada?, suivie de Vancouver International Airport. L'a?roport Montr?al-Trudeau est r?pertori? sous le n ? 3 dans le rapport.
Il sugg?re a?roports envisager l'utilisation de capteurs thermiques qui peuvent d?tecter la chaleur corporelle des passagers, a augment? de contr?le des passagers et des autres m?thodes d'essai, afin de r?duire la propagation de maladies infectieuses.
Christopher McDougall, de l'Universit? de Toronto Joint Centre for Bioethics, qui traite des questions ?thiques d'une r?ponse pand?mie, indique que des mesures de protection le long de ces lignes ne serait pas d'un grand secours et croit que le temps a pass? pour ?tre tr?s efficace dans les a?roports.
?Gr?ce ? H1N1, le chat est sorti du sac", a d?clar? mercredi McDougall. "(Nous pouvons) ne font presque rien - ce serait un gaspillage de ressources ? ce stade. Il est tr?s rare que le d?pistage pour n'importe quel type de grippe serait efficace dans les a?roports.
"Au moment o? les gens voyagent, vos premiers cas sont asymptomatiques, mais elle se r?pand encore. C'est essentiellement une question non pour la grippe."
La Greater Toronto Airports Authority, qui comprend l'a?roport Pearson, n'a pas voulu commenter sp?cifiquement sur les mesures prises pour faire face ? H1N1 et toutes les questions vis?es ? l'Agence de sant? publique du Canada.
Heather-Jo McCarley, directeur de la Vancouver Airport Authority de planification d'urgence, a d?clar? le Agence de sant? publique des instituts du Canada tout changement de contr?le au cours de tels cas, mais n'a pas appel? ? des changements ? ce stade.
"Nous allons prendre notre avance de l'ASPC et suivre les directives qu'ils jugent n?cessaire", dit-elle.
Le rapport JAMC - intitul? Une analyse de la vuln?rabilit? du Canada aux nouvelles menaces de maladies infectieuses par le biais du R?seau mondial des transports Airline - affirme que le Canada a besoin d'?tablir des liens plus ?troits aux maladies responsables de la lutte dans d'autres pays, en mettant l'accent sur les pays avec des volumes ?lev?s de trafic a?rien et les plus faibles syst?mes de sant?.
Cr?er un lien vers la derni?re grande ?pid?mie de maladies infectieuses au Canada, co-auteur, le Dr Kamran Khan dit Voyage a?rien est devenu un th?me central de pr?vention de la propagation lorsque le SRAS a fait surface en 2002 et poursuivie jusqu'en 2003.
"Le nombre ?crasant de cas de SRAS qui se d?pla?ait d'un pays ? l'air ?taient de Voyage", dit Khan dans le JAMC. ?Maintenant, nous voyons la m?me chose avec H1N1 roman?.
Khan et co-auteur, le Dr Michael Gardam, tous deux de Toronto, l'H?pital St. Michael's, a dit l'?tude - qui a ?t? r?alis?e avant H1N1 making waves - a ?t? command?e par l'ASPC, apr?s que l'air l'industrie Voyage est devenu un point focal au cours de l'?pid?mie de SRAS.
Les autorit?s sanitaires canadiennes Voyage pench? sur les pr?occupations li?es au H1N1 mercredi, et a soulign? que les efforts de pr?vention doivent ?tre augment?s.
?Les passagers ? bord des trains, les avions, les traversiers et les autobus interurbains besoin de se sentir confiant que des mesures sont prises pour pr?venir et contr?ler la propagation de l'infection?, ministre de la Sant?, Leona Aglukkaq, mercredi. ?Les op?rateurs doivent disposer de l'information (n?cessaire) d'?tre parfaitement inform?s des proc?dures et ils ont besoin des meilleurs conseils possibles pour assurer la s?curit? de leurs passagers."
Le gouvernement f?d?ral a publi? un nouvel ensemble de lignes directrices mercredi destin?s aux voyageurs, y compris ceux qui utilisent le transport public.
Le document explique les passagers et membres d'?quipage qui semblent malades doivent ?tre s?par?s des autres autant que possible et que l'?quipage de r?duire au minimum leurs contacts avec les passagers malades.
Les gens qui sont malades et ne peut ?viter Voyage sont invit?s ? aller en voiture, si possible, et les op?rateurs de Voyage sont invit?s ? le rendre facile pour les Canadiens de re-produit de leurs plans s'ils sont malades.
Ceux qui voyagent ? l'?tranger doivent prendre note que les op?rateurs sont tenus par la loi de signaler toute personne ? bord soup?onn?s d'?tre capable de se propager une maladie transmissible, y compris le H1N1. Des agents de quarantaine serait d'?valuer la situation et de d?terminer si une action est n?cessaire pour le passager malade.
McDougall croit avis Voyage potentiels ne serait pas d'un grand secours, non plus, car ils ne sont pas strictement appliqu?es dans la plupart des cas.
"Avis de Voyage ont tendance ? ?tre libell?e Voyage autour de la non-essentiels et qui prendra soin d'un petit nombre de voyageurs, mais pas tr?s nombreux, dit-il.
"Si vous avez planifi? des vacances et coul? un peu d'argent dedans, vous n'?tes pas susceptible de jeter l'enlever. Si vous ?tes en affaires, vous ?tes probablement sous une forte pression pour continuer ? Voyage de toute fa?on, et si vous ?voyagent de nouveau pour des raisons familiales importantes, c'est la m?me chose".
A?roports un refuge pour les maladies infectieuses: Rapport
Par Bradley Bouzane, Canwest Nouvelles Service28 octobre 2009
Un agent de sant? utilise un appareil pour mesurer la temp?rature des passagers arrivant ? l'a?roport du Caire, en tant que mesure de pr?caution contre la grippe A (H1N1), commun?ment appel?e la grippe porcine, Mai 14, 2009.
Photo prise par: Asmaa Waguih, Reuters
Face ? une pand?mie de H1N1, les a?roports canadiens servent de ?portes d'entr?e majeur pour les maladies infectieuses?, selon un rapport qui sugg?re que plus le d?pistage de la grippe est obligatoire dans les a?roports pour s?vir contre la propagation, mais certains craignent qu'il ne soit trop tard pour agir dans les a?roports.
Le rapport, publi? dans le Canadian Medical Association Journal, les c?libataires ? Toronto, comme le ?point d'entr?e les plus vuln?rables au Canada?, suivie de Vancouver International Airport. L'a?roport Montr?al-Trudeau est r?pertori? sous le n ? 3 dans le rapport.
Il sugg?re a?roports envisager l'utilisation de capteurs thermiques qui peuvent d?tecter la chaleur corporelle des passagers, a augment? de contr?le des passagers et des autres m?thodes d'essai, afin de r?duire la propagation de maladies infectieuses.
Christopher McDougall, de l'Universit? de Toronto Joint Centre for Bioethics, qui traite des questions ?thiques d'une r?ponse pand?mie, indique que des mesures de protection le long de ces lignes ne serait pas d'un grand secours et croit que le temps a pass? pour ?tre tr?s efficace dans les a?roports.
?Gr?ce ? H1N1, le chat est sorti du sac", a d?clar? mercredi McDougall. "(Nous pouvons) ne font presque rien - ce serait un gaspillage de ressources ? ce stade. Il est tr?s rare que le d?pistage pour n'importe quel type de grippe serait efficace dans les a?roports.
"Au moment o? les gens voyagent, vos premiers cas sont asymptomatiques, mais elle se r?pand encore. C'est essentiellement une question non pour la grippe."
La Greater Toronto Airports Authority, qui comprend l'a?roport Pearson, n'a pas voulu commenter sp?cifiquement sur les mesures prises pour faire face ? H1N1 et toutes les questions vis?es ? l'Agence de sant? publique du Canada.
Heather-Jo McCarley, directeur de la Vancouver Airport Authority de planification d'urgence, a d?clar? le Agence de sant? publique des instituts du Canada tout changement de contr?le au cours de tels cas, mais n'a pas appel? ? des changements ? ce stade.
"Nous allons prendre notre avance de l'ASPC et suivre les directives qu'ils jugent n?cessaire", dit-elle.
Le rapport JAMC - intitul? Une analyse de la vuln?rabilit? du Canada aux nouvelles menaces de maladies infectieuses par le biais du R?seau mondial des transports Airline - affirme que le Canada a besoin d'?tablir des liens plus ?troits aux maladies responsables de la lutte dans d'autres pays, en mettant l'accent sur les pays avec des volumes ?lev?s de trafic a?rien et les plus faibles syst?mes de sant?.
Cr?er un lien vers la derni?re grande ?pid?mie de maladies infectieuses au Canada, co-auteur, le Dr Kamran Khan dit Voyage a?rien est devenu un th?me central de pr?vention de la propagation lorsque le SRAS a fait surface en 2002 et poursuivie jusqu'en 2003.
"Le nombre ?crasant de cas de SRAS qui se d?pla?ait d'un pays ? l'air ?taient de Voyage", dit Khan dans le JAMC. ?Maintenant, nous voyons la m?me chose avec H1N1 roman?.
Khan et co-auteur, le Dr Michael Gardam, tous deux de Toronto, l'H?pital St. Michael's, a dit l'?tude - qui a ?t? r?alis?e avant H1N1 making waves - a ?t? command?e par l'ASPC, apr?s que l'air l'industrie Voyage est devenu un point focal au cours de l'?pid?mie de SRAS.
Les autorit?s sanitaires canadiennes Voyage pench? sur les pr?occupations li?es au H1N1 mercredi, et a soulign? que les efforts de pr?vention doivent ?tre augment?s.
?Les passagers ? bord des trains, les avions, les traversiers et les autobus interurbains besoin de se sentir confiant que des mesures sont prises pour pr?venir et contr?ler la propagation de l'infection?, ministre de la Sant?, Leona Aglukkaq, mercredi. ?Les op?rateurs doivent disposer de l'information (n?cessaire) d'?tre parfaitement inform?s des proc?dures et ils ont besoin des meilleurs conseils possibles pour assurer la s?curit? de leurs passagers."
Le gouvernement f?d?ral a publi? un nouvel ensemble de lignes directrices mercredi destin?s aux voyageurs, y compris ceux qui utilisent le transport public.
Le document explique les passagers et membres d'?quipage qui semblent malades doivent ?tre s?par?s des autres autant que possible et que l'?quipage de r?duire au minimum leurs contacts avec les passagers malades.
Les gens qui sont malades et ne peut ?viter Voyage sont invit?s ? aller en voiture, si possible, et les op?rateurs de Voyage sont invit?s ? le rendre facile pour les Canadiens de re-produit de leurs plans s'ils sont malades.
Ceux qui voyagent ? l'?tranger doivent prendre note que les op?rateurs sont tenus par la loi de signaler toute personne ? bord soup?onn?s d'?tre capable de se propager une maladie transmissible, y compris le H1N1. Des agents de quarantaine serait d'?valuer la situation et de d?terminer si une action est n?cessaire pour le passager malade.
McDougall croit avis Voyage potentiels ne serait pas d'un grand secours, non plus, car ils ne sont pas strictement appliqu?es dans la plupart des cas.
"Avis de Voyage ont tendance ? ?tre libell?e Voyage autour de la non-essentiels et qui prendra soin d'un petit nombre de voyageurs, mais pas tr?s nombreux, dit-il.
"Si vous avez planifi? des vacances et coul? un peu d'argent dedans, vous n'?tes pas susceptible de jeter l'enlever. Si vous ?tes en affaires, vous ?tes probablement sous une forte pression pour continuer ? Voyage de toute fa?on, et si vous ?voyagent de nouveau pour des raisons familiales importantes, c'est la m?me chose".
