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Plan de vaccination contre la grippe A : la campagne d?marre fort au Puy-en-Velay
Ouvert hier apr?s-midi, le centre de vaccination ponot a connu un flux continu. Apr?s la cit? vellave, Monistrol et Brioude ouvrent lundi
Contre la grippe A/H1N1, la campagne de vaccination du grand public a d?but?, hier, dans le d?partement avec l'ouverture du premier centre au Puy-en-Velay, pour un test grandeur nature. Outre le groupe prioritaire (les professionnels de sant? et de secours non encore vaccin?s), les personnes fragiles, souffrant de difficult?s les rendant plus vuln?rables au virus, ont re?u un courrier de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) les invitant ? se pr?senter. ? Je ne me suis m?me pas pos? la question de savoir s'il fallait le faire ou non. Je garde mon petit-fils ? la maison. En plus, je suis ce qu'ils appellent une personne ? risque ?, confie Maurice, un Ponot de 58 ans faisant le pied de grue en attendant l'ouverture des portes. D'autres, comme lui, se d?clarent tout ? fait convaincus de la n?cessit? de se faire vacciner. ? l'image d'Alain, 68 ans : ? Je me fais bien piquer pour l'autre, la saisonni?re. Pourquoi je refuserais pour celle-l? ? ?
Avec en permanence une dizaine de personnes ? attendre, l'affluence en a surpris plus d'un, hier. ? Je regardais les informations avant de venir, il n'y avait pas grand monde dans les centres d'?le-de-France. Je ne m'attendais pas ? un tel succ?s, ici. En plus, notre organisation fonctionne sans accroc ?, se r?jouit Jean Fromaget, m?decin ? la Ddass. C'est vrai, le flux est constant, l'attente limit?e et les grincheux aux abonn?s absents. Notons toutefois une ombre au tableau : l'absence, pour le moment, de vaccin sans adjuvant (pour les femmes enceintes du deuxi?me et troisi?me trimestre, notamment). Il devrait logiquement ?tre disponible dans le courant de la semaine prochaine. Dans la cit? vellave, le centre sera ouvert du lundi au vendredi, de 14 h 30 ? 18 h 30. ? Ici, comme sur les autres sites, on ajustera l'amplitude horaire en fonction de la progression de l'?pid?mie et du flux de la population ? traiter ?, explique David Roche, directeur de cabinet du pr?fet. ? L'?quipe se compose de trois agents administratifs, deux m?decins, quatre infirmi?res charg?es de la vaccination, une infirmi?re coordinatrice, une ?l?ve infirmi?re pour aider le public ? remplir les questionnaires m?dicaux et une autre pour les sorties administratives. L'effectif sera, chaque apr?s-midi, de treize personnes ?, pr?cise Jean-Paul Boehler, le chef de centre. Tout le personnel est volontaire, mais plac? sous le r?gime juridique de la r?quisition : travaillant dans le cadre d'une campagne de sant? publique, c'est l'?tat qui prend la responsabilit? en cas de p?pin. Les professionnels de sant? ont r?pondu en nombre suffisant en ce d?but de campagne, ? mais s'il y a d'autres, ils seront les bienvenus ?, s'empresse d'ajouter David Roche.
St?thoscope en guise de collier, le docteur Jean-Paul Gagne est charg? de valider la vaccination apr?s un entretien individuel et la lecture du questionnaire m?dical. ? Le risque d'?pid?mie existe. Toutefois, ? ce jour, il n'y a pas beaucoup de cas de grippe dans le d?partement, qu'elle soit de type A ou saisonni?re. ?
Ouvert hier apr?s-midi, le centre de vaccination ponot a connu un flux continu. Apr?s la cit? vellave, Monistrol et Brioude ouvrent lundi
Contre la grippe A/H1N1, la campagne de vaccination du grand public a d?but?, hier, dans le d?partement avec l'ouverture du premier centre au Puy-en-Velay, pour un test grandeur nature. Outre le groupe prioritaire (les professionnels de sant? et de secours non encore vaccin?s), les personnes fragiles, souffrant de difficult?s les rendant plus vuln?rables au virus, ont re?u un courrier de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) les invitant ? se pr?senter. ? Je ne me suis m?me pas pos? la question de savoir s'il fallait le faire ou non. Je garde mon petit-fils ? la maison. En plus, je suis ce qu'ils appellent une personne ? risque ?, confie Maurice, un Ponot de 58 ans faisant le pied de grue en attendant l'ouverture des portes. D'autres, comme lui, se d?clarent tout ? fait convaincus de la n?cessit? de se faire vacciner. ? l'image d'Alain, 68 ans : ? Je me fais bien piquer pour l'autre, la saisonni?re. Pourquoi je refuserais pour celle-l? ? ?
Avec en permanence une dizaine de personnes ? attendre, l'affluence en a surpris plus d'un, hier. ? Je regardais les informations avant de venir, il n'y avait pas grand monde dans les centres d'?le-de-France. Je ne m'attendais pas ? un tel succ?s, ici. En plus, notre organisation fonctionne sans accroc ?, se r?jouit Jean Fromaget, m?decin ? la Ddass. C'est vrai, le flux est constant, l'attente limit?e et les grincheux aux abonn?s absents. Notons toutefois une ombre au tableau : l'absence, pour le moment, de vaccin sans adjuvant (pour les femmes enceintes du deuxi?me et troisi?me trimestre, notamment). Il devrait logiquement ?tre disponible dans le courant de la semaine prochaine. Dans la cit? vellave, le centre sera ouvert du lundi au vendredi, de 14 h 30 ? 18 h 30. ? Ici, comme sur les autres sites, on ajustera l'amplitude horaire en fonction de la progression de l'?pid?mie et du flux de la population ? traiter ?, explique David Roche, directeur de cabinet du pr?fet. ? L'?quipe se compose de trois agents administratifs, deux m?decins, quatre infirmi?res charg?es de la vaccination, une infirmi?re coordinatrice, une ?l?ve infirmi?re pour aider le public ? remplir les questionnaires m?dicaux et une autre pour les sorties administratives. L'effectif sera, chaque apr?s-midi, de treize personnes ?, pr?cise Jean-Paul Boehler, le chef de centre. Tout le personnel est volontaire, mais plac? sous le r?gime juridique de la r?quisition : travaillant dans le cadre d'une campagne de sant? publique, c'est l'?tat qui prend la responsabilit? en cas de p?pin. Les professionnels de sant? ont r?pondu en nombre suffisant en ce d?but de campagne, ? mais s'il y a d'autres, ils seront les bienvenus ?, s'empresse d'ajouter David Roche.
St?thoscope en guise de collier, le docteur Jean-Paul Gagne est charg? de valider la vaccination apr?s un entretien individuel et la lecture du questionnaire m?dical. ? Le risque d'?pid?mie existe. Toutefois, ? ce jour, il n'y a pas beaucoup de cas de grippe dans le d?partement, qu'elle soit de type A ou saisonni?re. ?