<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr><td valign="top" width="100%"> <table bgcolor="black" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr> <td> <table border="0" cellpadding="2" cellspacing="1" width="100%"> <tbody><tr> <td bgcolor="#0087e0">Bulletin GROG : 2010/37 du 13/09/2010 au 19/09/2010</td> </tr> </tbody></table></td></tr> </tbody></table> </td> <td class="t9" align="center" width="20"></td> <td class="t9" rowspan="2" align="center" width="60">
Bulletin
en PDF</td> <td class="t9" align="center" width="10"></td> </tr> <tr><td>Reprise de la surveillance intensive
</td><td>
</td><td>
</td></tr></tbody></table>
Entre les mois de septembre 2009 et avril 2010, la surveillance du Réseau des GROG s’est appuyée sur les données de plus de 1000 soignants de premier recours.
Leur implication a été constante, avec des taux de participation élevés : 72% en moyenne pour les MG,
76% pour les pédiatres vacances scolaires comprises.
Les informations transmises ont concerné plus d’un million d’actes de médecine générale et près de 250000 actes de pédiatrie.
Le nombre de prélèvements effectués dans le Réseau des GROG a été multiplié par 2 par rapport aux saisons précédentes.
Alors qu’en 2008-2009, le pourcentage de prélèvements positifs pour la grippe n’avait dépassé 35% que pendant la semaine du pic épidémique de grippe A(H3N2), il a été supérieur à 35% pendant 7 semaines en 2009-2010, atteignant 66% au plus fort de l’épidémie.
Au sein du Réseau des GROG, la confrontation des données cliniques et virologiques permet une analyse fine de la situation épidémiologique.
L’expérience de la saison 2009-2010 a montré l’implication des soignants-vigies et toute l’importance des informations virologiques du Réseau des GROG dans l’analyse des hausses d’infections respiratoires aiguës observées dès le mois de septembre, lors du retour des enfants en collectivité scolaire.
Actuellement et comme chaque année, quelques semaines après la rentrée scolaire, la fréquence des infections respiratoires automnales commence à augmenter en médecine générale et en pédiatrie.
Les rhinovirus semblent le plus souvent en cause.
<center> </center>
Bulletin
en PDF</td> <td class="t9" align="center" width="10"></td> </tr> <tr><td>Reprise de la surveillance intensive
</td><td>
</td><td>
</td></tr></tbody></table>
Entre les mois de septembre 2009 et avril 2010, la surveillance du Réseau des GROG s’est appuyée sur les données de plus de 1000 soignants de premier recours.
Leur implication a été constante, avec des taux de participation élevés : 72% en moyenne pour les MG,
76% pour les pédiatres vacances scolaires comprises.
Les informations transmises ont concerné plus d’un million d’actes de médecine générale et près de 250000 actes de pédiatrie.
Le nombre de prélèvements effectués dans le Réseau des GROG a été multiplié par 2 par rapport aux saisons précédentes.
Alors qu’en 2008-2009, le pourcentage de prélèvements positifs pour la grippe n’avait dépassé 35% que pendant la semaine du pic épidémique de grippe A(H3N2), il a été supérieur à 35% pendant 7 semaines en 2009-2010, atteignant 66% au plus fort de l’épidémie.
Au sein du Réseau des GROG, la confrontation des données cliniques et virologiques permet une analyse fine de la situation épidémiologique.
L’expérience de la saison 2009-2010 a montré l’implication des soignants-vigies et toute l’importance des informations virologiques du Réseau des GROG dans l’analyse des hausses d’infections respiratoires aiguës observées dès le mois de septembre, lors du retour des enfants en collectivité scolaire.
Actuellement et comme chaque année, quelques semaines après la rentrée scolaire, la fréquence des infections respiratoires automnales commence à augmenter en médecine générale et en pédiatrie.
Les rhinovirus semblent le plus souvent en cause.
<center> </center>
Comment