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H1N1 pourrait entraver la reprise ?conomique au Canada

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    H1N1 pourrait entraver la reprise ?conomique au Canada

    Les gens programmation ? recevoir le vaccin H1N1 vendredi, ? Saint-Eustache, Que. La Presse Canadienne
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    Le taux d'absent?isme pourrait repr?senter jusqu'? un tiers des forces de travail des entreprises

    Tavia Grant
    Globe and Mail Update Publi? le lundi, Nov. 02, 2009 8:15 CEST Derni?re mise ? jour le Mardi, Nov. 03, 2009 11:33 CEST

    Jet's, la grande question face ? de nombreuses entreprises: Quel sera l'impact de la pand?mie de grippe H1N1 ont sur les entreprises?

    Entreprises, dont beaucoup frein? par la fermet? du dollar et de la demande ti?de que le pays s'efforce de la r?cession, sont instamment invit?s ? planifier pour les taux d'absent?isme pouvant aller jusqu'? un tiers de leur force de travail que la saison de la grippe se joue.

    La pand?mie du H1N1 d?signe un maximum de huit millions de Canadiens pourraient tomber malade cette saison que lors d'une saison de la grippe ordinaire, situ?e ? Winnipeg International Centre for Infectious Diseases (ICID) les estimations, un coup ? la productivit?.

    D'autres rides potentielles relatives ? cette maladie sont une force plus distraits de travail, les d?penses au d?tail prudente et un ralentissement du tourisme et de l'activit? de transport, les ?conomistes avertis.

    Si le virus devient r?pandue, "on va jeter du sable dans l'engrenage de l'activit? commerciale et qui permettront de r?duire la productivit? ? court terme", a d?clar? Sal Guatieri, ?conomiste principal chez BMO Nesbitt Burns Inc "Il ajoute ? l'incertitude quant aux perspectives ?conomiques ?.

    Certaines entreprises sont la planification de l'absent?isme et faire en sorte qu'ils ne verront pas une baisse drastique de la productivit?. ? Vancouver Telus Corp, les deux tiers de l'?quipe de relations avec les investisseurs a ?t? demand? de travailler ? domicile pendant une semaine pour tester les syst?mes d'acc?s ? distance, l'entreprise a d?clar? le vice-pr?sident de la gestion des risques et le v?rificateur interne en chef, Kasey Reese.

    Les estimations varient sur le co?t d'une pand?mie porte. La Banque mondiale estime qu'une pand?mie de grippe dans le monde entier, en g?n?ral, pourrait raser 0,7 pour cent ? 4,8 pour cent du produit int?rieur brut mondial, selon la gravit?.

    Banque de Montr?al a calcul? une pand?mie b?nigne r?duirait la croissance ?conomique annuelle de 2 points de pourcentage, tandis qu'une ?pid?mie s?v?re r?duirait la croissance de 6 points de pourcentage, d'o? il serait autrement.

    Sherry Cooper, de la Banque de Montr?al, l'?conomiste en chef, explique les vaccinations doivent limiter les dommages ? l'?conomie.

    En Allemagne, une ?tude la semaine derni?re avec l'assureur Allianz a pr?dit la grippe pourrait co?ter jusqu'? ? 40 milliards (63,7 milliards de dollars), soit entre 0,4 et 1,6 pour cent du PIB, selon la gravit?.

    Il est trop t?t pour estimer les co?ts pour les entreprises canadiennes. Mais ils pourraient facilement d?passer les 2 milliards de dollars ?tiquette de prix de l'?pid?mie de SRAS en 2003, a d?clar? Amin Mawani, directeur de la Schulich School of Business Programme de l'industrie de gestion sanitaire.

    "Ce sera significativement sup?rieure ? celle du SRAS?, a d?clar? M. Mawani. ?Ce fut en grande partie en milieu hospitalier maladie. Ceci est ? base communautaire et nationale ".

    L'absent?isme pose un d?fi majeur, en particulier parmi les petites entreprises avec des ressources plus limit?es.

    Saison de la grippe moyens d?j? plus de gens une journ?e de maladie. Cette ann?e, en fonction de la vitesse ? laquelle les gens se faire vacciner, un million suppl?mentaire de trois ? huit millions de Canadiens pourraient tomber malades ?, si cela va vraiment affecter les entreprises?, a d?clar? Wendy Schettler, directeur des programmes de sant? publique ? l'ICID, un Canadien organisme sans but lucratif qui conseille les entreprises sur la planification de pand?mie.

    Bon nombre d'entreprises qu'elle parle avec ne sont pas trop inquiet, car ils peuvent traiter une semaine d'absent?isme ?lev?.
    Le probl?me, cependant, est que certaines mai face ? des taux d'absent?isme de 25 ? 30 pour cent sur une p?riode prolong?e. ?Ce flux et reflux, dit-elle. "Ce n'est pas juste une semaine. C'est potentiellement semaines et mois. "

    Une r?cente ?tude sugg?re Planification de pand?mie n'est pas encore une priorit? absolue. Seulement 22 pour cent des r?pondants ? l'Ontario Chamber of Commerce sondage le mois dernier un plan d'urgence en place et un autre 27 pour cent disent qu'ils sont en d?velopper un. Les r?sultats ne sont pas tr?s diff?rent d'un sondage similaire men? la Chambre en 2005.

    Tout le monde ne pousse le bouton de panique ?conomique. Toronto-Dominion Bank n'a pas pris l'incidence du virus H1N1 dans ses pr?visions, a d?clar? Beata Caranci, directeur de la banque de la pr?vision ?conomique.
    "Nous n'avons pas d'allocations pour la faire glisser sur le PIB, dit-elle, parce que le public et les entreprises sont mieux pr?par?s qu'ils ne l'?taient lors de SRAS. Si il ya un impact, elle chiffres, il sera probablement seulement pendant un quart.

    Les secteurs les plus vuln?rables sont Voyage, les restaurants et les h?tels, dit-elle. Conf?rences pu voir une baisse de la fr?quentation et de certains d?taillants mai ?tre affect?s par les gens ? ?viter les centres commerciaux.

    Avec les fichiers de Susan Krashinsky

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