Les poignées de porte « anticontamination » ont la cote
Justine Chevalier, le samedi 29 août 2009 à 04:00
<script type="text/javascript"> //<![CDATA[ Event.observe(window, 'load', initCarousel); function initCarousel() { var carousel = new Carousel('carousel', {size: 1, scrollInc: 1, numVisible: 1, prevElementID: "carousel-prev-arrow", nextElementID: "carousel-next-arrow", buttonStateHandler: buttonStateHandler, animHandler: animHandler, animParameters: {duration: 0.5}}); } function animHandler(carouselID, status, direction) { var region = $(carouselID).down('.carousel-clip-region') if (status == 'before') { new Effect.Fade(region, {to: 0.3, queue: { position:'end', scope: carouselID }, duration: 0.2}); } if (status == 'after') { new Effect.Fade(region, {to: 1, queue: { position:'end', scope: carouselID }, duration: 0.2}); } } //]]> </script><script type="text/javascript"> //<![CDATA[ function buttonStateHandler(button, enabled) { if ($(button).className == 'carousel-prev-arrow') $(button).src = enabled ? '/images/carousel/left.gif' : '/images/carousel/left-disabled.gif'; else $(button).src = enabled ? '/images/carousel/right.gif' : '/images/carousel/right-disabled.gif'; } //</script>
Une idée originale pensée en 2005 a vu ses ventes boostées avec la menace de la grippe A (H1N1). Les poignées de portes « anticontamination » limitent les risques de propagation du virus.
« Au lieu de s’ingénier à tuer les microbes dans les plaies, ne serait-il pas plus raisonnable de ne pas en introduire ? ». Cette célèbre remarque du père de la microbiologie, Louis Pasteur, est devenue le credo d’une petite société nantaise qui fabrique des poignées de portes dites « anticontamination ». Cette invention ergonomique permet non pas d’ouvrir la porte avec les mains mais avec les avant-bras, limitant ainsi les risques de contamination.
Commercialisée en 2008, la société Cyclope n’avait vendu que 1.500 poignées en 2008. Depuis le début de l’année, les ventes s’élèvent déjà à 6.000 et les devis et commandes s’entassent sur le bureau de l’inventeur. « L’été dernier nous avions une demande de devis par semaine, cette année nous en sommes à trois par jour », se réjouit le gérant de la société, Richard Houis. Et ce produit a aussi trouvé preneur à l’étranger. Aujourd’hui, la moitié des ventes se fait à l’export, du Portugal à l’Italie, en passant par la Suisse et même le Koweït.
Justine Chevalier, le samedi 29 août 2009 à 04:00
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Une idée originale pensée en 2005 a vu ses ventes boostées avec la menace de la grippe A (H1N1). Les poignées de portes « anticontamination » limitent les risques de propagation du virus.
« Au lieu de s’ingénier à tuer les microbes dans les plaies, ne serait-il pas plus raisonnable de ne pas en introduire ? ». Cette célèbre remarque du père de la microbiologie, Louis Pasteur, est devenue le credo d’une petite société nantaise qui fabrique des poignées de portes dites « anticontamination ». Cette invention ergonomique permet non pas d’ouvrir la porte avec les mains mais avec les avant-bras, limitant ainsi les risques de contamination.
Commercialisée en 2008, la société Cyclope n’avait vendu que 1.500 poignées en 2008. Depuis le début de l’année, les ventes s’élèvent déjà à 6.000 et les devis et commandes s’entassent sur le bureau de l’inventeur. « L’été dernier nous avions une demande de devis par semaine, cette année nous en sommes à trois par jour », se réjouit le gérant de la société, Richard Houis. Et ce produit a aussi trouvé preneur à l’étranger. Aujourd’hui, la moitié des ventes se fait à l’export, du Portugal à l’Italie, en passant par la Suisse et même le Koweït.