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Crédits: Crawford Kilian Crofsblogs
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The Lancet, Volume 383, Issue 9931 , page 1793, 24 mai 2014 < Article précédent | Article suivant >
doi: 10.1016/S0140-6736 (14) 60866-7 Citer ou lier l'aide DOI
Copyright © 2014 Elsevier Inc. Tous droits réservés.
MERS-CoV énigme approfondit aussi signalé des cas surtension
David Holmes
Les experts sont intrigués par une explosion de nouveaux cas de MERS-CoV, comme un comité OMS soulève des préoccupations sur la gestion de l'épidémie. Rapporte David Holmes.
Les chercheurs ont du mal à expliquer une hausse rapide des infections rapportées avec Middle East coronavirus du syndrome respiratoire (MERS-CoV). En date du 16 mai, le nombre de cas confirmés en laboratoire à l'échelle mondiale a grimpé à 614, avec 181 décès. 418 de ces cas ont été signalés dans les deux derniers mois, principalement en Arabie Saoudite.
Après avoir été la première identifiée en Arabie Saoudite en 2012, les infections MERS ont été signalés tout au long de la péninsule arabique et exportés au moins dix autres pays. La plupart des cas confirmés d'infection MERS-CoV ont développé une maladie respiratoire aigu sévère, mais le virus provoque aussi souvent des reins et d'autres défaillances d'organes. Le taux de mortalité est d'environ 30%, et il n'existe actuellement aucun vaccin ou traitement spécifique.
Alors que de s'arrêter avant l'annonce de l'épidémie une urgence internationale de santé publique, le Comité d'urgence de l'OMS sur MERS-CoV annoncé le 14 mai que sa préoccupation sur la situation avait "considérablement augmentée", avec des soucis particuliers sur la preuve récente que l'infection se propage dans les hôpitaux , et les "lacunes dans l'information critique» apparents.
L'une des lacunes les plus cruciaux est notre manque de compréhension de l'endroit où le virus vient, dit Marion Koopmans, de l'Institut national de santé publique des Pays-Bas. Jusqu'à présent, les études ont plus ou moins exclu ovins, les bovins, les chèvres et les volailles comme source, mais il a été démontré dromadaires à travers la péninsule arabique et dans les régions du Nord et Afrique de l'Est pour transporter le virus. Cependant, il est encore trop tôt pour dire avec certitude qu'ils sont la principale source des infections primaires chez l'homme, dit Koopmans. «Je suis convaincu que les gens et les dromadaires partagent les mêmes virus, mais comment exactement cela arrive, nous ne sais pas", explique t-elle. "Les chameaux excréter le virus de leur nez, et parfois dans les selles, le qui est rayé et peut entraîner la contamination de l'environnement. Les jeunes animaux semblent être positifs au virus souvent plus que les animaux adultes, ainsi combinée, le mieux serait de chercher des expositions (directes ou indirectes) aux jeunes chameaux que le facteur de risque le plus élevé ".
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The Lancet, Volume 383, Issue 9931 , page 1793, 24 mai 2014 < Article précédent | Article suivant >
doi: 10.1016/S0140-6736 (14) 60866-7 Citer ou lier l'aide DOI
Copyright © 2014 Elsevier Inc. Tous droits réservés.
MERS-CoV énigme approfondit aussi signalé des cas surtension
David Holmes
Les experts sont intrigués par une explosion de nouveaux cas de MERS-CoV, comme un comité OMS soulève des préoccupations sur la gestion de l'épidémie. Rapporte David Holmes.
Les chercheurs ont du mal à expliquer une hausse rapide des infections rapportées avec Middle East coronavirus du syndrome respiratoire (MERS-CoV). En date du 16 mai, le nombre de cas confirmés en laboratoire à l'échelle mondiale a grimpé à 614, avec 181 décès. 418 de ces cas ont été signalés dans les deux derniers mois, principalement en Arabie Saoudite.
Après avoir été la première identifiée en Arabie Saoudite en 2012, les infections MERS ont été signalés tout au long de la péninsule arabique et exportés au moins dix autres pays. La plupart des cas confirmés d'infection MERS-CoV ont développé une maladie respiratoire aigu sévère, mais le virus provoque aussi souvent des reins et d'autres défaillances d'organes. Le taux de mortalité est d'environ 30%, et il n'existe actuellement aucun vaccin ou traitement spécifique.
Alors que de s'arrêter avant l'annonce de l'épidémie une urgence internationale de santé publique, le Comité d'urgence de l'OMS sur MERS-CoV annoncé le 14 mai que sa préoccupation sur la situation avait "considérablement augmentée", avec des soucis particuliers sur la preuve récente que l'infection se propage dans les hôpitaux , et les "lacunes dans l'information critique» apparents.
L'une des lacunes les plus cruciaux est notre manque de compréhension de l'endroit où le virus vient, dit Marion Koopmans, de l'Institut national de santé publique des Pays-Bas. Jusqu'à présent, les études ont plus ou moins exclu ovins, les bovins, les chèvres et les volailles comme source, mais il a été démontré dromadaires à travers la péninsule arabique et dans les régions du Nord et Afrique de l'Est pour transporter le virus. Cependant, il est encore trop tôt pour dire avec certitude qu'ils sont la principale source des infections primaires chez l'homme, dit Koopmans. «Je suis convaincu que les gens et les dromadaires partagent les mêmes virus, mais comment exactement cela arrive, nous ne sais pas", explique t-elle. "Les chameaux excréter le virus de leur nez, et parfois dans les selles, le qui est rayé et peut entraîner la contamination de l'environnement. Les jeunes animaux semblent être positifs au virus souvent plus que les animaux adultes, ainsi combinée, le mieux serait de chercher des expositions (directes ou indirectes) aux jeunes chameaux que le facteur de risque le plus élevé ".
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