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Canada/Ontario: Les victimes du SRAS maintenant devant le tribunal

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    Les victimes du SRAS maintenant devant le tribunal
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    Dans une ?preuve commen?ant aujourd'hui, la province est accus?e de mettre des int?r?ts ?conomiques avant la s?ret?

    25 f?vrier 2009 04:30 AM

    Tracey Tyler

    <!-- CREDIT 1-->JOURNALISTE D'AFFAIRES JURIDIQUES


    <!-- ARTICLE CONTENT -->Il a ?t? presque six ans depuis que le premier faisceau des cas de SRAS est apparu dans des h?pitaux de Toronto et des ces le plus directement affect?s - des patients hospitalis?s, des infirmi?res et leurs familles - ont attendu presque cela longtemps leur jour devant le tribunal.

    Le gouvernement d'Ontario se dirige ? la cour aujourd'hui dans une bataille judiciaire avec les victimes de SRAS, qui discutent les soucis plac?s par province concernant le tourisme et l'?conomie en avant de supprimer la maladie mortelle.

    La province discute des membres du public n'ont aucun droit de poursuivre le gouvernement pour que ne pas arr?ter la propagation d'une maladie contagieuse.

    Le SRAS a tu? 44 personnes, toutes dans la r?gion plus grande de Toronto.

    Les avocats pour l'Attorney General demandent ? la cour d'Ontario de l'appel pour jeter cinq proc?s class?e au nom des douzaines qui ont ?t? infect?es, y compris un groupe de 53 membres du personnel soignant.
    Parmi eux est Emma Abarquez, qui ?tait une infirmi?re ? l'h?pital de grace de Scarborough quand son premier patient de SRAS est arriv? le 7 mars 2003.

    Abarquez est bient?t descendu avec le myst?rieux et la maladie effrayante a appel? le syndrome respiratoire aigu s?v?re et a ?t? isol?e dans l'h?pital - d'abord pendant une semaine.

    En m?me temps, son mari, Terry, 62, un ouvrier retrait? de Stelco, leurs trois fils, une fille et un neveu ont ?t? mis en quarantaine ? la maison du nord de York de la famille et requis de porter des masques protecteurs. ? M?me le facteur a ?t? effray? de nous, ? des rappels de Terry.

    Quelques jours apr?s renvoi de la maison, Emma a eu une rechute et retournee ? l'h?pital, o? elle est rest?e pendant un mois.

    Deux autres soignent, Tecla Lin et Nelia Laroza, mort dans une deuxi?me vague de SRAS qui a ?clat? en mai 2003, apr?s que la province ait d?clar? l'urgence provinciale de sant? plus de.

    Dans les rapports de la r?clamation, les avocats pour des groupes de plaignants contestent le gouvernement pr?cipit? pour faire que l'annonce et les proc?dures de commande d?tendues d'infection pr3matur?ment pour parer l'organisation mondiale de la sant? voyagent le bulletin de renseignements publi? le 23 avril 2003, qui a averti des touristes de visiter Toronto. M?me avant que, la province ne s'est pas assur?e que les mesures appropri?es d'essai de protection respiratoire et d'?quipement ?taient dans les h?pitaux, les avocats pour les infirmi?res contestent.

    Ce qui est ? l'issue avant que la cour soit aujourd'hui si les infirmi?res, les anciens patients, et leurs familles ont le droit d'apporter leurs r?clamations ? l'?preuve.

    On s'attend ? ce qu'une grande partie de l'argument l?gal se concentre sur la fa?on dont leurs cas pourraient ?tre affect?s par un acte 2006 de la cour d'appels comportant le manque all?gu? du gouvernement de mettre en application des mesures de contr?le appropri?es de moustique et d'arr?ter la diffusion du virus de West Nile.

    Dans ce cas, la cour a mis un arr?t aux r?clamations apport?es par 40 personnes infect?es par West Nile, y compris George Eliopoulos, qui ont ?t? mordues par un moustique en 2002 et sont mortes l'ann?e prochaine des complications d'une chute.

    La cour a indiqu? que la possibilit? de contracter le virus ?tait un risque ? indiff?renci? ? fait face par tous les membres du public et pas un risque qui a ?t? cr?? par le gouvernement.

    Le juge Robert Sharpe, qui a ?crit la d?cision de West Nile, pr?sidera au-dessus du panneau d'appels consid?rant les cas de SRAS.

    Les avocats pour les plaignants de SRAS, cependant, discutent l? sont des diff?rences importantes entre les deux cas.

    Tandis que West Nile ?tait ?cart? par des moustiques et tous les membres du public faisaient face au risque ? peu pr?s identique, le SRAS a ?t? confin? en grande partie aux h?pitaux et la province aurait su que les patients obtiendraient la maladie si la commande appropri?e d'infection n'?tait pas suivie, ils contestent.

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