Polynésie française : quinze premiers cas endémiques de chikungunya
Le Point - Publié le 11/10/2014 à 09:27 - Modifié le 11/10/2014 à 09:35
C'est la première fois que cette maladie véhiculée par un moustique très présent sous les tropiques, l'"aedes aegypti", est transmise en Polynésie française.
Quinze premiers cas endémiques de chikungunya ont été détectés en Polynésie française, à Tahiti, a annoncé vendredi soir le gouvernement local. Le virus avait déjà été identifié en mai sur une patiente venue de Guadeloupe, où une épidémie de chikungunya s'est propagée depuis le début de l'année, mais c'est la première fois que cette maladie véhiculée par un moustique, l'aedes aegypti, très présent dans les régions tropicales, est transmise en Polynésie française.
Le virus a été détecté principalement sur des habitants de Teva I Uta, une petite commune du sud de Tahiti, l'île la plus peuplée de Polynésie française. Le virus a été identifié par l'Institut Louis Malardé, au sein duquel le gouvernement local avait annoncé la veille la création d'un "laboratoire de haute sécurité biologique", destiné à anticiper de potentielles épidémies de dengue, de chikungunya ou d'Ebola.
Le Point
Le Point - Publié le 11/10/2014 à 09:27 - Modifié le 11/10/2014 à 09:35
C'est la première fois que cette maladie véhiculée par un moustique très présent sous les tropiques, l'"aedes aegypti", est transmise en Polynésie française.
Quinze premiers cas endémiques de chikungunya ont été détectés en Polynésie française, à Tahiti, a annoncé vendredi soir le gouvernement local. Le virus avait déjà été identifié en mai sur une patiente venue de Guadeloupe, où une épidémie de chikungunya s'est propagée depuis le début de l'année, mais c'est la première fois que cette maladie véhiculée par un moustique, l'aedes aegypti, très présent dans les régions tropicales, est transmise en Polynésie française.
Le virus a été détecté principalement sur des habitants de Teva I Uta, une petite commune du sud de Tahiti, l'île la plus peuplée de Polynésie française. Le virus a été identifié par l'Institut Louis Malardé, au sein duquel le gouvernement local avait annoncé la veille la création d'un "laboratoire de haute sécurité biologique", destiné à anticiper de potentielles épidémies de dengue, de chikungunya ou d'Ebola.
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