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Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

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  • #16
    Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

    Bourses : pas de fusion entre le TMX et Londres

    Mise ? jour le mercredi 29 juin 2011 ? 20 h 14 HAE

    Groupe TMX, qui exploite les bourses de Toronto et Montr?al, a convenu avec London Stock Exchange Group (LSEG) de r?silier mercredi leur convention de fusion. Ce d?sistement laisse toute la place au consortium canadien Maple qui avait pr?sent? une offre hostile pour contrer la transaction.

    La majorit? des actionnaires du Groupe TMX qui ont vot? par procuration avant la date limite du 28 juin 2011 ont appuy? la r?solution relative ? la fusion; toutefois, il ?tait ?vident que le seuil des deux tiers requis pour approuver la fusion n'allait pas ?tre atteint. Les partenaires ont donc annonc? l'abandon de la transaction.

    M?me si nous n'unissons pas nos forces avec celles de LSEG, notre entreprise demeure solide et j'ai une confiance in?branlable dans son succ?s futur.

    ? Tom Kloet, chef de la direction du Groupe TMX

    La direction du Groupe TMX (TSX:X) a refus? de sp?culer sur les raisons pour lesquelles les actionnaires se sont oppos?s ? la fusion pr?cisant vouloir examiner les occasions d'affaires qui se pr?senteront ? elle, incluant l'offre de Maple Group Acquisition Corporation (Maple). Son assembl?e annuelle pr?vue pour jeudi est maintenue, mais le vote sur la transaction avec le LSEG n'aurait pas lieu.

    Maple poursuit sa campagne

    Dans un communiqu?, le porte-parole du consortium Maple, Luc Bertrand, avance que le r?sultat du vote d?montre l'int?r?t des actionnaires du Groupe TMX envers la proposition canadienne. Il souhaite entreprendre des n?gociations avec les administrateurs de l'exploitant boursier, qui ont rejet? par le pass? l'offre hostile de Maple, qui regroupe des institutions financi?res et bancaires canadiennes comme la Banque Nationale, le Mouvement Desjardins et la Caisse de d?p?t et placement du Qu?bec.

    /.../

    Groupe TMX, qui exploite les bourses de Toronto et Montréal, a convenu avec London Stock Exchange Group (LSEG) de résilier mercredi leur convention de fusion. Ce désistement laisse toute la place au consortium canadien Maple qui avait présenté une offre hostile pour contrer la transaction.

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    • #17
      Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

      Une certaine id?e de la Bourse

      Lettre de la City | | 12.07.11 | 16h09 ? Mis ? jour le 12.07.11 | 16h09
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      La surprenante annulation, le 30 juin, du projet de mariage entre la Bourse de Londres et celle de Toronto (groupe TMX), en raison de l'hostilit? des actionnaires canadiens, marque le premier revers s?rieux de Xavier Rolet. Jusque-l?, le Fran?ais, directeur g?n?ral du London Stock Exchange, avait effectu? un parcours sans faute.

      /.../

      Apr?s avoir sacrifi? le gras pour laisser intact le muscle, Xavier Rolet cherche un associ? pour mieux r?sister au rouleau compresseur de ses rivaux. Sur le papier, l'op?rateur boursier canadien fait l'affaire. Les deux groupes partagent l'expertise de la cotation des soci?t?s mini?res et ?nerg?tiques, ainsi que le savoir-faire pour inscrire ? la cote petites et moyennes entreprises. La proposition du London Stock Exchange para?t bien calibr?e. La pr?sence d'un Fran?ais ? la t?te de cette institution de l'ex-puissance tut?laire anglaise ne peut que plaire ? un Canada officiellement bilingue.

      Et de surcro?t, dans ce secteur qu'on dit peu romantique, les mariages d'amour l'emportent toujours sur les mariages de raison. L'histoire des Bourses depuis une d?cennie est truff?e d'OPA hostiles rat?es. Vive les mari?s ! Xavier Rolet est fin gestionnaire et bon strat?ge, mais mauvais tacticien. L'?chec en novembre 2010 du raid du g?ant minier anglo-australien BHP Billiton sur le groupe canadien Potash, premier producteur mondial de potasse, aurait d? lui mettre la puce ? l'oreille. Les arri?re-pens?es politiques des autorit?s d'Ottawa l'avaient alors emport? sur le credo lib?ral et la politique d'ouverture du Canada aux investisseurs ?trangers.

      Rapidement constitu? par des banques et des fonds de pension, un consortium fait de bric et de broc entend faire d?railler les fian?ailles entre les Bourses de Londres et de Toronto. Se drapant dans le patriotisme ?conomique, les francs-tireurs mettent habilement en exergue que, derri?re l'apparence polie d'une fusion entre ?gaux, c'est bien d'une absorption qu'il s'agit. Les d?tracteurs propagent de fausses rumeurs, des accusations sans preuve, des informations tronqu?es ou tordues sur le d?placement de la chambre de compensation canadienne ? Londres. Or, entre la n?gociation et le syst?me de r?glement-livraison des titres, la chambre de compensation (en anglais clearing house) constitue la pierre angulaire des march?s financiers. Soucieuse de prot?ger la souverainet? ?conomique constamment menac?e par le grand voisin am?ricain, la Banque du Canada a ?galement fait barrage.

      "Comment expliquer cette lev?e de boucliers alors que le capital est mondialis? et que le trading se joue de plus en plus des fronti?res ?", s'interroge au lendemain de l'?chec le Financial Times navr? de cette pouss?e de fi?vre protectionniste dans l'ex-dominion de la Couronne.

      Le Canada, tout comme l'Australie, qui a bloqu? l'offre d'acquisition par la Bourse de Singapour de sa corbeille nationale, l'ASX, est fier d'avoir ?chapp? ? la d?route des subprimes gr?ce ? leurs richesses naturelles. Dans l'esprit de ces jeunes nations aventuri?res, la perte d'une Bourse, qui touche ? l'orgueil et ? la fiert? d'un pays, est v?cue comme une blessure d'amour-propre. D'o? la vivacit? de la r?action de la presse locale qui a tremp? sa plume dans le vitriol anti-"british".

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      L'annulation, le 30 juin, du projet de mariage entre les Bourses de Londres et de Toronto marque le premier revers sérieux du directeur général du London Stock Exchange, Xavier Rolet.

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      • #18
        Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

        Commission f?d?rale de valeurs mobili?res - La Cour supr?me bloque le projet d'Ottawa

        Les neuf juges laissent toutefois une porte ouverte: ?l'approche coop?rative?
        Fran?ois Desjardins 23 d?cembre 2011 Actualit?s ?conomiques

        Pour lire la d?cision de la Cour supr?me (PDF)

        La Constitution n'autorise pas le cabinet Harper ? cr?er une commission f?d?rale de valeurs mobili?res qui r?glementerait toute l'industrie, mais la Cour supr?me a quand m?me ?voqu? hier l'avenue d'une ?approche coop?rative? gr?ce ? laquelle le Parlement pourrait ?traiter des enjeux v?ritablement nationaux?.

        L'arr?t des neuf juges du plus haut tribunal, unanimes dans leur d?cision, rappelle que la jurisprudence conf?re depuis longtemps ce champ de comp?tence aux provinces. Attendu depuis des mois, il porte un dur coup aux intentions que caressaient Ottawa et le milieu financier torontois de remplacer les autorit?s provinciales.

        ?Nous avons la d?cision et nous la respecterons. Il est clair que nous ne pouvons aller de l'avant avec ce projet de loi. Nous allons ?tudier la d?cision attentivement et agir conform?ment?, a indiqu? dans un tr?s bref communiqu? Chisolm Pothier, le directeur des communications du ministre des Finances, Jim Flaherty.

        La Cour supr?me, ? qui le cabinet Harper a soumis son projet de loi en mai 2010 pour en faire ?valuer la faisabilit? constitutionnelle, a ?crit que ?la Loi, dans sa version actuelle, n'est pas valide, car elle ne rel?ve pas du pouvoir g?n?ral de r?glementation en mati?re de trafic et de commerce conf?r? au Parlement? par la Constitution.

        Cela fait r?f?rence ? l'article 91.2, qui conf?re ? Ottawa les pouvoirs en cette mati?re. Or depuis toujours, le secteur des valeurs mobili?res a ?t? plac? sous l'article 92.13, qui en fait un champ de comp?tence provincial en vertu de ?la propri?t? et [les] droits civils?. Une grande partie du secteur est de ?nature locale?, a tranch? la Cour supr?me hier.

        ?Sans ?quivoque?, dit Qu?bec

        Au cabinet du ministre des Finances du Qu?bec, Raymond Bachand, qui se retient depuis quelques mois de commenter le dossier, on a une fois de plus qualifi? le geste f?d?ral d'?intrusion unilat?rale?. Le Qu?bec faisait front commun avec plusieurs provinces, dont l'Alberta, le Manitoba et le Nouveau-Brunswick.

        ?Il s'agit d'une grande victoire pour le Qu?bec et le f?d?ralisme canadien. L'avis de la Cour est un rappel sans ?quivoque que le Parlement du Canada ne peut, de mani?re unilat?rale, accaparer des pouvoirs des provinces, ni ?largir les siens ? sa guise. Il doit respecter les limites du partage des comp?tences?, a affirm? M. Bachand.

        Invit?es ? ?tudier le projet f?d?ral, les Cours d'appel du Qu?bec et de l'Alberta s'?taient d?j? prononc?es sur le projet f?d?ral en d?but d'ann?e. Les deux avaient d?clar? qu'il ?tait inconstitutionnel.

        Les promoteurs du projet faisaient valoir que le secteur des valeurs mobili?res a ?volu?, qu'il est maintenant national et international, d'o? la n?cessit? d'une r?glementation uniforme d'un oc?an ? l'autre. Question d'efficacit?, selon Ottawa.

        Or la Cour supr?me n'a pas admis cet argument. ?Les faits l?gislatifs pr?sent?s par le Canada dans le cadre du pr?sent renvoi ne permettent pas d'?tablir l'?volution qu'il invoque. Au contraire, le fait que l'?conomie et le libell? de la loi propos?e reproduisent en gros les r?gimes provinciaux actuels d?ment la suggestion selon laquelle le march? des valeurs mobili?res s'est compl?tement transform? au fil des ans.?

        De plus, les juges ont affirm? qu'?il ne revient pas aux tribunaux de trancher la question politique de savoir si un r?gime national unique de gestion des valeurs mobili?res est pr?f?rable ? de multiples r?gimes provinciaux? et que sa r?ponse, en gros, ?n'est dict?e que par le texte de la Constitution?.

        /.../

        La Constitution n'autorise pas le cabinet Harper à créer une commission fédérale de valeurs mobilières qui réglementerait toute l'industrie, mais la Cour suprême a quand même évoqué hier l'avenue d'une «approche coopérative» grâce à laquelle le Parlement pourrait «traiter des enjeux véritablement nationaux».

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        • #19
          Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

          Bourses de New York et de Francfort - Fusion accept?e sous condition

          Agence France-Presse 23 d?cembre 2011 Actualit?s ?conomiques

          New York ? Le gouvernement am?ricain a donn? hier son feu vert ? la fusion des plateformes boursi?res am?ricaine NYSE et allemande Deutsche B?rse, ? la condition pour la seconde de proc?der ? certaines cessions.

          Dans un communiqu?, la division ?antitrust? du d?partement am?ricain de la Justice a notamment ?exig? que Deutsche B?rse demande ? sa filiale International Securities Exchange Holdings de vendre sa part de 31,5 % dans [l'op?rateur de march?s am?ricain] Direct Edge Holdings? afin ?de mener ? bien son projet de fusion de 9 milliards de dollars avec NYSE Euronext?.

          ?Direct Edge est le quatri?me op?rateur boursier du pays?, note le minist?re, ajoutant que ?la transaction, telle qu'elle ?tait propos?e ? l'origine, aurait nui fortement ? la concurrence dans le domaine des services d'?change d'actions, des services de cotations pour les produits ?chang?s sur des plateformes boursi?res, y compris les fonds cot?s? (ETF), entre autres.

          /.../

          New York — Le gouvernement américain a donné hier son feu vert à la fusion des plateformes boursières américaine NYSE et allemande Deutsche Börse, à la condition pour la seconde de procéder à certaines cessions.

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          • #20
            Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

            Le Groupe Maple obtient le contr?le de TMX

            Mise ? jour le mardi 31 juillet 2012 ? 23 h 57 HAE

            PHOTO
            Bourse de Toronto (archives)

            La Corporation d'acquisition Groupe Maple a obtenu le contr?le du Groupe TMX (TSX:X), ayant rafl? 91 % des parts de l'entreprise ? la suite de son offre d'achat d'environ 3,8 milliards de dollars.

            L'annonce survient apr?s plus d'un an de n?gociations entre dirigeants, actionnaires et organismes r?glementaires.

            Un nouveau conseil d'administration a d?j? ?t? nomm? pour Maple. Chuck Winograd devient le pr?sident des conseils d'administration de Maple et de TMX, tandis que Tom Kloet sera le chef de la direction de Maple et du Groupe TMX, en plus de si?ger au conseil d'administration de Maple et ? celui du Groupe TMX.

            ? Le Groupe TMX est satisfait du r?sultat de [mardi] ?, a soulign? M. Kloet.

            ? [Mercredi], nous accueillerons les employ?s de la firme CDS et de la plateforme boursi?re Alpha au sein de notre organisation et ensemble, nous b?tirons une compagnie encore plus solide et concurrentielle. Nous sommes enthousiastes face aux occasions qui s'offrent ? nous et nous sommes d?vou?s ? servir tous nos clients de fa?on irr?prochable et innovante dans les mois et les ann?es ? venir ?, a-t-il poursuivi.

            /.../

            La Corporation d'acquisition Groupe Maple a obtenu le contrôle du Groupe TMX (TSX:X), ayant raflé 91 % des parts de l'entreprise à la suite de son offre d'achat d'environ 3,8 milliards de dollars.

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            • #21
              Re: Mouvement de fusions boursi?res: Toronto, Londres, Moscou, New-York, Francfort, etc

              Wall Street, la fin d?une ?poque

              PHOTO
              En rachetant NYSE, ICE signe sans doute la fin du courtage sur le parquet
              21 d?cembre 2012 | Agence France-Presse | Actualit?s ?conomiques

              Photo : archives la presse canadienne

              La Bourse de New York accueillera probablement certains acteurs du courtage durant encore quelques ann?es, mais il est plus que probable qu?elle devienne un mus?e ? moyen terme.

              Paris ? L?am?ricain InterContinental Exchange (ICE) va s?emparer de NYSE Euronext pour 8,2 milliards, une op?ration qui mettra un terme ? 200 ans d?ind?pendance de la Bourse de New York et devrait aboutir ? la mise en vente d?Euronext, propri?taire de la Bourse de Paris. La transaction, qui donnera naissance ? un mastodonte boursier mondial, a ?t? approuv?e ? l?unanimit? par les conseils d?administration des deux groupes et pourrait ?tre conclue au second semestre 2013 en cas d?accord des autorit?s et des actionnaires, selon un communiqu? commun publi? jeudi. Cette op?ration, si elle r?ussit, mettra fin ? l?ind?pendance de la Bourse de New York, qui a ?t? cr??e ? la fin du XVIIIe si?cle et porte le nom de NYSE depuis 1863.

              NYSE Euronext ? a ?tudi? attentivement un ensemble d?alternatives strat?giques et a conclu qu?ICE est pour NYSE Euronext le partenaire id?al sur un march? en mutation ?, selon Jan-Michiel Hessels, pr?sident du conseil d?administration de l?op?rateur boursier, cit? dans le communiqu?. Si la transaction va de l?avant comme pr?vu, les actionnaires de NYSE Euronext poss?deront environ 36 % des actions d?ICE. Les op?rateurs boursiers doivent s?adapter ? un nouveau contexte depuis plusieurs ann?es, aux prises avec l??mergence de plateformes alternatives, l??rosion des volumes d??changes, l?arriv?e des n?gociations ? haute fr?quence et de nouvelles r?glementations issues des derni?res crises.

              ICE avait d?j? fait une tentative de rachat, en compagnie du Nasdaq, de NYSE Euronext en 2011, une op?ration qui avait ?chou? sous la pression du d?partement de la justice am?ricain. De son c?t?, NYSE Euronext avait vu son projet de fusion avec l?allemand Deutsche Boerse retoqu? d?but 2012 par la Commission europ?enne pour des raisons de concurrence, notamment sur les produits d?riv?s. D?autres transactions similaires dans d?autres endroits du globe ont ?galement ?t? bloqu?es par les autorit?s de r?glementation pour des raisons de concurrence. Ce fut le cas en 2011 pour la tentative de la Bourse de Singapour de mettre la main sur la Bourse d?Australie, pour 8,3 milliards. Au Canada, la Bourse de Londres a ?galement ?chou? dans sa tentative d?acheter le Groupe TMX, propri?taire de la Bourse de Toronto et du march? des produits d?riv?s, ? Montr?al, se heurtant au refus des actionnaires. Maple a finalement repris le tout pour 3,8 milliards, en y int?grant la bourse ?lectronique Alpha.

              Wall Street conserv?

              ICE, qui p?se 9 milliards de dollars en Bourse, pr?cise avoir la volont? de conserver la marque NYSE Euronext ainsi que l?immeuble historique ? Wall Street. Le groupe pr?servera par ailleurs NYSE Liffe, la filiale sp?cialis?e dans les produits d?riv?s ? Londres. En outre, les services de compensation (post-march?) de NYSE Liffe et ICE Clear Europe seront fusionn?s. Si Wall Street n?a plus qu?une valeur symbolique, les analystes retiennent que NYSE Liffe constitue le coeur de cette transaction.

              ICE n?entend en revanche pas conserver Euronext, les march?s boursiers d?Europe continentale qui regroupent la Bourse de Paris, d?Amsterdam, de Bruxelles et de Lisbonne, L?am?ricain pr?voit de mettre en vente, via une introduction en Bourse, Euronext, une fois le rachat de NYSE Euronext conclu et si les conditions de march?s et les autorit?s europ?ennes le permettent, ce qui pourrait renvoyer ? 2014. Si cette op?ration va ? son terme, elle marquera la s?paration entre NYSE et Euronext, plusieurs ann?es apr?s la cr?ation du groupe en 2007.

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