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Piraterie: les armateurs menacent de d?tourner le trafic mondial - difficult?s pour le canal de Suez

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  • #16
    L'Egypte s'inqui?te de l'ouverture d'une nouvelle route maritime vers l'Asie

    L'Egypte s'inquiète de l'ouverture d'une nouvelle route maritime vers l'Asie





    Un navire emprunte le Canal de Suez, qui relie la Méditerranée à la mer Rouge. (Photo DR)

    <?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:SMARTTAGTYPE downloadurl="http://www.microsoft.com" name="PersonName" namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags"></O:SMARTTAGTYPE><OBJECT id=ieooui classid=clsid:38481807-CA0E-42D2-BF39-B33AF135CC4D></OBJECT>
    EGYPTE. Un bateau russe explore actuellement une nouvelle route maritime entre l’Europe et <?XML:NAMESPACE PREFIX = ST1 /><ST1:PERSONNAME w:st="on" productid="la Chine">la Chine</ST1:PERSONNAME>, au grand dam des Egyptiens, qui craignent que le Canal de Suez perde peu &#224; peu des clients.


    Le nouvel itin&#233;raire longe les c&#244;tes sib&#233;riennes de <ST1:PERSONNAME w:st="on" productid="la Russie">la Russie</ST1:PERSONNAME>, d&#233;sormais lib&#233;r&#233;es des glaces toute l’ann&#233;e du fait du r&#233;chauffement climatique. Plus court que la route qui passe par le Canal de Suez, ce trajet nordique permet d’&#233;conomiser des milliers de dollars de carburant.

    <O:P></O:P>Si l’exp&#233;rience est concluante, l’ouverture de cette nouvelle route maritime pourrait repr&#233;senter une menace pour le Canal de Suez, troisi&#232;me source de devises pour l’Egypte.

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    • #17
      CMA CGM, MSC et Maersk s'allient contre la piraterie

      CMA CGM, MSC et Maersk s'allient contre la piraterie

      <TABLE border=0><TBODY><TR><TD align=middle>
      </SPAN>
      cr?dits : CMA CGM

      </TD></TR></TBODY></TABLE>
      22/09/2010


      Les trois leaders mondiaux du transport maritime conteneuris? ont d?cid? de coop?rer dans la lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden et l'Oc?an Indien. Cette collaboration entre le Danois Maersk Line, le Suisse MSC et le Fran?ais CMA CGM, respectivement num?ros 1, 2 et 3 mondiaux, comprend notamment l'?change d'informations sur les politiques, les mesures et proc?dures mises en place, les axes d'am?lioration envisageables, et la volont? d'une coordination afin d'aborder la probl?matique avec toutes les parties prenantes. ? Notre principale pr?occupation reste la s?curit? de nos ?quipages. La piraterie est un probl?me r?current pour l'industrie du transport maritime et si nous voulons l'aborder de mani?re efficace, nous devons, en tant qu'armateurs, coop?rer ?, expliquent Maersk Line, MSC et CMA CGM. Une part importante des flottes de ces trois armements, qui alignent plus de 1000 porte-conteneurs, transite par le nord de l'oc?an Indien et le golfe d'Aden, o? s?vissent les pirates. Les eaux situ?es au large de la Somalie accueillent, en effet, l'une des principales routes maritimes mondiales, avec notamment les lignes entre l'Asie et l'Europe. Pour ?viter autant que possible les d?tournements, les trois armements se sont se sont accord?s sur l'importance des ? Bonnes Pratiques Anti-Piraterie ? pour assurer une navigation s?re dans la r?gion.

      Soutien au d?ploiement de forces navales

      /.../

      Actualités maritimes en continu sur la défense, marine marchande, construction navale, croisières, pêche, ports, énergie avec Mer et Marine

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      • #18
        Manque d'escortes militaires pour la travers?e du golfe d'Aden en raison des troubles en ?gypte

        Perturbations de l'activit&#233; dans le port de Suez


        Les navires ne trouvent plus dans le port de Suez d'escortes militaires capables d'assurer leur protection lors de la travers&#233;e du golfe d'Aden dont les eaux sont sillonn&#233;es par les pirates.

        TF1 INFO, toute l’information des rédactions du groupe TF1. Avec TF1 INFO (TF1 et LCI) suivez l’actualité en direct 7J/7 et 24/24.

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        • #19
          Piraterie: les armateurs menacent de d?tourner le trafic mondial

          Piraterie: les armateurs menacent de d?tourner le trafic mondial

          <SCRIPT language=Javascript>document.write(publicatioin_da te("2011-02-07 09:52:21.000", "2011-02-07 09:52:21.000"));</SCRIPT>Publi? le 07 f?vrier 2011 ? 09h52 | Mis ? jour le 07 f?vrier 2011 ? 09h52

          La lettre des armateurs a ?t? envoy?e au lendemain de l'annonce ? Londres par les Nations unies d'un plan d'action global pour combattre la piraterie maritime. Sur notre photo, le secr?taire g?n?ral de l'ONU Ban Ki-moon.

          Les quatre principales associations de transport maritime, repr?sentant 90% de la flotte marchande mondiale, ont demand? lundi aux autorit?s de renforcer leur action contre la piraterie ?inacceptable? qui s?vit au large des c?tes somaliennes, en mena?ant sinon de d?tourner le trafic.

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          ?Si les actions n?cessaires ne sont pas prises par la communaut? internationale, l'industrie du transport maritime envisagera toutes les options possibles, dont celle d'utiliser des itin?raires diff?rents, ce qui aurait un impact spectaculaire sur le commerce mondial, en particulier sur le transport p?trolier? indique la lettre.

          ?Au cours des semaines r?centes, nous avons appris que la torture de marins par des pirates somaliens ?tait devenue chose courante?, (...) des ?crimes? qui ?ne peuvent ?tre tol?r?s? ajoute le texte.

          Les quatre associations signataires -BIMCO, la Chambre internationale du commerce maritime, Intercargo et Intertanko- estiment le co?t annuel de la piraterie entre 7 et 12 milliards de dollars pour l'?conomie mondiale.Ce chiffre provient d'une ?tude r?alis?e par l'institut londonien Chatham House, rendue publique la semaine derni?re.

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          • #20
            Les armateurs tr?s inquiets face au d?veloppement de la piraterie

            Les armateurs tr?s inquiets face au d?veloppement de la piraterie

            08/02/2011

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            La contagion s'?tend sur l'oc?an Indien

            Sur place, la communaut? internationale lutte de mani?re organis?e depuis plus de deux ans contre la piraterie. Diff?rentes forces a?ronavales ont ?t? d?ploy?es, dont l'EU-NAVFOR (op?ration europ?enne Atalante), une flottille otanienne (Ocean Shield) ou encore la Task Force 151 emmen?e par les Am?ricains. A ces forces s'ajoutent les participations de certains pays, comme la Russie, la Chine et le Japon, qui d?ploient des navires dans la r?gion. L'ensemble de ces b?timents militaires, qui forme une flotte imposante, est parvenu ? faire reculer significativement les d?tournements dans certains secteurs strat?giques, comme le golfe d'Aden, tout en assurant la protection des cargos acheminemant l'aide humanitaire en Somalie.

            Toutefois, les marines ne font, au mieux, que contenir le ph?nom?ne. Car le nombre d'attaque n'a jamais ?t? aussi important et, surtout, les pirates agissent de plus en plus loin des c?tes. En fait, en voulant ?radiquer les d?tournements devant la corne d'Afrique, la communaut? internationale a oblig? les pirates ? aller traquer leurs proies plus au large. Et l'on assiste malheureusement, avec une certaine impuissance (situation que certains hauts grad?s avaient pr?vue depuis le d?but), ? une v?ritable contagion sur une grande partie de l'oc?an Indien. Ainsi, ces derni?res semaines, plusieurs groupes de pirates somaliens ont ?t? surpris au large des c?tes indiennes !

            L'imp?rieuse n?cessit? de stabiliser la Somalie

            Cette pr?sence ? des milliers de kilom?tres des c?tes somaliennes est particuli?rement inqui?tante, d'autant que les attaques contre les b?timents de commerce ont d?but? au sud-ouest de la province indienne du Kerala. Et la piraterie tend ?galement ? se d?velopper plus au sud, vers la Tanzanie, le Kenya, le canal du Mozambique et les Seychelles. Pour les forces navales charg?es de prot?ger le trafic maritime, surveiller une telle immensit? rel?ve, purement et simplement, de la mission impossible. Les armateurs en sont d'ailleurs parfaitement conscients, d'o? une inqui?tude grandissante fasse ? un fl?au qu'ils craignent de voir de moins en moins ma?trisable malgr? les imposants moyens mis en oeuvre.

            Dans ces conditions, faut il d?ployer des b?timents suppl?mentaires ? Les marines pr?sentent sur zone ne seraient sans doute pas contre quelques renforts mais, chacun le sait, la v?ritable solution ne sera pas militaire. La cl? du probl?me demeure, plus que jamais, en Somalie. Tant qu'un Etat de droit n'est pas restaur? dans ce pays, tant que la mis?re y est aussi importante, tant que la piraterie constitue un moyen de survie ou qu'elle se r?v?le plus lucrative qu'un travail normal... Aussi longtemps que la Somalie ne sera pas stabilis?e, la piraterie perdurera, et m?me progressera sans doute, les candidats ? cette activit? ?tant manifestement de plus en plus nombreux. Car, aujourd'hui, faute de juridiction et de pays acceptant de les accueillir, la grande majorit? des individus intercept?s est rel?ch?e. Et, comme dirait un amiral fran?ais, sur place, ? cela fini par se savoir ?...

            D?chir?e par la guerre civile de 1991, en proie ? la plus grande mis?re et aux clivages entre chefs de clans, divis?e avec ses provinces autonomistes... La Somalie fait figure de casse-t?te insoluble. Certes, la communaut? internationale, et notamment l'Europe et l'Union africaine, tentent d'aider le pays ? se redresser, par exemple au travers de programmes de formation de forces de s?curit?. Mais les progr?s sont lents et on ne sait pas toujours tr?s bien s'ils sont durables. Il est, en tous cas, fort probable qu'il faudra tr?s longtemps, si tant est que cela arrive, avant qu'un v?ritable Etat reprenne le contr?le de ces terres. Peut ?tre faudrait il que l'implication ?trang?re, sous banni?re de l'ONU, soit plus importante. Mais il faut toujours garder ? l'esprit que les occidentaux craignent la Somalie depuis le fiasco de l'intervention militaire am?ricaine, symbolis? par la bataille de Mogadiscio, en 1993. Et, ? vrai dire, personne ne semble vouloir prendre le risque d'y retourner...

            Actualités maritimes en continu sur la défense, marine marchande, construction navale, croisières, pêche, ports, énergie avec Mer et Marine

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