Announcement

Collapse
No announcement yet.

"Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale - accord temporaire

Collapse
X
 
  • Filter
  • Time
  • Show
Clear All
new posts

  • "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale - accord temporaire

    "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

    Le Monde.fr avec Reuters | 13.10.2013 ? 04h49 ? Mis ? jour le 13.10.2013 ? 04h50

    /.../

    DANGER POUR L'?CONOMIE MONDIALE

    "Plus nous approchons de la date limite, plus grand sera l'impact pour le monde en voie de d?veloppement", a dit Kim. "Si la date limite est atteinte, ce serait un ?v?nement d?sastreux pour les pays en voie de d?veloppement et cela pourrait aussi tr?s pr?judiciable pour les ?conomies d?velopp?es", a-t-il dit.

    Les ?conomies mondiales et am?ricaine seront confront?es ? la hausse des taux d'int?r?t, la chute de la confiance et au ralentissement de la croissance si le congr?s am?ricain ne parvient pas ? s'entendre pour relever le plafond de la dette qui est actuellement de 16 700 milliards de dollars, selon Kim.


  • #2
    Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

    Un m?dia chinois appelle l'?conomie mondiale ? se "d?sam?ricaniser"

    Le Monde.fr avec AFP | 13.10.2013 ? 05h58


    /.../

    P?kin a multipli? ces derniers jours les avertissements et appels au compromis budg?taire, mettant en avant les relations "ins?parables" qui lient les ?conomies des deux pays. "Le blocage qui paralyse de fa?on cyclique ? Washington tout accord bipartisan sur le budget f?d?ral et le rel?vement du plafond de la dette menace de nouveau les importantes r?serves en dollars de nombreux pays et angoisse fortement la communaut? internationale", a insist? l'agence Chine nouvelle.

    PRINCIPAL D?TENTEUR DE LA DETTE AM?RICAINE

    La Chine est en fait la premi?re concern?e : la deuxi?me ?conomie mondiale est le principal d?tenteur de dette am?ricaine, avec 1 277 milliards de dollars en bons du Tr?sor, selon les derniers chiffres du gouvernement am?ricain.

    /.../

    "Les ?conomies ?mergentes doivent avoir davantage leur mot ? dire dans les institutions financi?res internationales", a plaid? le m?dia d'Etat, ?voquant la cr?ation d'une "nouvelle devise de r?serve" pour remplacer le dollar et une ?volution du Fonds mon?taire international (FMI), o? P?kin ne p?se gu?re plus que l'Italie. Une r?forme de la gouvernance du FMI est pr?par?e depuis trois ans mais son entr?e en vigueur est bloqu?e par le veto de fait des Etats-Unis qui doivent la faire ratifier par le Congr?s.

    La crise budgétaire américaine inquiète les pays émergents, et parmi eux la Chine, comme en témoigne un commentaire cinglant de l'agence d'information officielle Chine nouvelle.

    Comment


    • #3
      Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

      Hier, 18:18

      Les ?tats-Unis et le monde face au collapse : le compte ? rebours a commenc?

      Par La Voix de la Russie | La situation autour de la crise budg?taire am?ricaine est entr?e en phase de ? compte ? rebours ? parce que le budget des ?tats-Unis s??puisera pratiquement vers le 17 octobre. Si la Maison Blanche et l?opposition ne se mettent pas d?accord sur un nouveau rel?vement du plafond de la datte publique, le pays est menac? soit de cessation de paiements, soit du r?gime d?aust?rit?. Les deux sc?narios sont graves de cons?quences catastrophiques pour l??conomie mondiale, c?est pour cette raison que le monde place pendant la semaine qui reste tous ses espoirs dans le bon sens des autorit?s am?ricaines.

      L?agence Bloomberg qui fait autorit? sur les march?s financiers a pr?dit la semaine derni?re l?effondrement de l??conomie mondiale si les ?tats-Unis cessaient leurs paiements sur les engagements ext?rieurs. Les analystes comparent le d?faut de paiements ? la faillite de la Banque d?investissement Lehman Brothers qui avait d?clench? la crise de 2008. Mais la situation se pr?sente cette fois sous des couleurs encore plus sombres.

      Si les ?tats-Unis cessent les paiements, estime Bloomberg, il s?ensuivra une d?stabilisation des march?s financiers du Br?sil ? Zurich et l?effondrement du dollar. Les cours de l?or monteront en fl?che et tous les actifs seront ? court de finances. Le syst?me financier cessera d?exister sous sa forme actuelle, a dit dans l?interview ? La Voix de la Russie Marc Rubinstein, directeur de d?partement ? la soci?t? d?investissement ? MetrOpol ? :
      ? Ce sera la disparition du principal outil des r?glements sur les march?s financiers que sont les titres am?ricains et ce sera alors un v?ritable collapse des march?s financiers. Les bons du tr?sor am?ricains sont utilis?s en nantissement d?une quantit? prodigieuse de transactions sur le march? global et il va de soi qu?il n?y aura pas de transaction faute de nantissement. ?

      D?ailleurs, le r?publicain John Beiner, pr?sident de la Chambre des repr?sentants du Congr?s, a promis au d?but de la semaine ? ses coll?gues de tout faire pour emp?cher le d?faut sans pour autant pr?ciser comment il s?y prendrait. N?anmoins, Barack Obama et consorts, s?est entretenu jeudi avec les d?put?s r?publicains. Les d?put?s des deux partis d?claraient jusqu'ici qu?ils pourraient accepter un compromis partiel. M?me si le compromis en question n?a pas ?t? atteint, les n?gociations et l?intention de les poursuivre manifest?e par les fractions rivales, peut d?j? s?interpr?ter comme un fait positif. De sucro?t, le Congr?s am?ricain contr?l? par les d?mocrates, se propose de voter ce week-end le rel?vement d?un trillion de dollars du plafond de la dette publique. Harry Read, leader de la majorit? d?mocrate au S?nat, a pr?cis? que ce vote allait justement montrer dans quelle mesure les r?publicains ?taient dispos?s ? avancer dans le r?glement de la crise.

      Rappelons qu?avant jeudi, Obama refusait d?entrer en pol?mique avec les r?publicains aussi longtemps qu?ils n?adoptent au moins le budget provisoire et ne rel?vent le plafond de la dette. A leur tour, les r?publicains ne sont pr?ts que pour les concessions provisoires parce qu?ils rejettent enti?rement le programme social de leur pr?sident, surtout le r?forme de la sant? publique. La guerre que se livrent les fractions rivales bloque depuis 10 jours toutes les institutions am?ricaines et des milliers d?employ?s sont envoy?s en cong?s non pay?s.

      Les experts notent cependant que dans leur grande majorit?, les congressistes am?ricains sont des gens normaux et pleins de bon sens. Ils ont ? l?unanimit? trouv? une subtilit? juridique qui a permis de r?int?grer ces jours-ici les employ?s civils du minist?re de la d?fense et de la CIA. Il s?agit d?une nouvelle interpr?tation de la loi des finances.

      /.../

      Comment


      • #4
        Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

        Impasse budg?taire: la Chine pourrait larguer ses dollars US

        Publi? le 16 octobre 2013 ? 08h19 | Mis ? jour ? 08h19



        Bill SAVADOVE
        Agence France-Presse
        Shangai



        Le risque d'un d?faut de paiement des ?tats-Unis pourrait conduire la Chine ? acc?l?rer la diversification de ses immenses r?serves de devises, ? l'heure o? P?kin appelle ? ?d?sam?ricaniser? l'?conomie mondiale et souhaite internationaliser le yuan.


        Faute d'un accord budg?taire in extremis au Congr?s, le Tr?sor am?ricain ne sera plus autoris? ? emprunter ? partir de mercredi soir et les ?tats-Unis pourraient se trouver en d?faut de paiement d'ici la fin du mois pour la premi?re fois de leur histoire.

        Le choc de confiance diminuerait alors la valeur des actifs en dollars de la Chine -- en premier lieu ses ?normes r?serves de devises, les plus importantes du monde avec 3660 milliards de dollars fin septembre, constitu?es tr?s majoritairement de billets verts.

        ?Si vraiment un d?faut se concr?tise, le gouvernement chinois acc?l?rera avec d?termination la diversification de ses r?serves en devises, et se reportera sur des ?missions obligataires d'autres pays jug?s plus s?rs?, a soulign? Liao Qun, ?conomiste de Citic Bank International.

        ?La Chine pourrait ainsi r?duire le volume de bons du Tr?sor (am?ricains) en sa possession. Elle aurait ses raisons pour le faire, m?me si ce serait extr?mement difficile?, a-t-il indiqu? ? l'AFP.

        La Chine est le principal d?tenteur de dette am?ricaine, avec 1277 milliards de dollars en bons du Tr?sor, suivis de pr?s par le Japon avec 1140 milliards, selon les derniers chiffres du gouvernement am?ricain.

        P?kin devrait cependant se garder de se s?parer d'une trop grosse partie de ses actifs, ce qui risquerait d'amplifier le d?sarroi des march?s financiers... et de r?duire en cons?quence la valeur des bons du Tr?sor et dollars encore en sa possession.

        D'autant que P?kin n'a gu?re d'alternative: tr?s rares sont les autres types d'actifs dans le monde en volume suffisant pour offrir un d?bouch? aux gargantuesques liquidit?s chinoises, avertissent les experts.

        ? plus long terme, le Japon pourrait lui aussi entreprendre de r??quilibrer son portefeuille, m?me si la d?pendance de Tokyo vis-?-vis de Washington emp?chera toute ?volution brutale, a not? Yoshikiyo Shimamine, ?conomiste en chef de l'institut Dai-ichi ? Tokyo.

        ?Aucun instrument financier n'est aussi liquide que les bons du Tr?sor?, et il serait difficile pour une ?conomie majeure de s'en passer, a-t-il cependant temp?r?.

        /.../

        Comment


        • #5
          Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

          Crise budgétaire à Washington : la dernière chance

          Mise à jour il y a 35 minutes

          Radio-Canada avec Agence France-Presse, Bloomberg et Reuters





          Qu'est-ce qui ne va pas dans le système américain? Gérald Fillion en discute avec le professeur Pierre Martin de l'Université de Montréal.


          Les élus américains n'ont que quelques heures pour s'entendre afin de relever le plafond de la dette. Faute d'un accord entre démocrates et républicains, le Trésor ne sera plus autorisé à emprunter dès mercredi soir.

          Ainsi, les États-Unis, déjà touchés par la paralysie de l'État fédéral depuis le début du mois, pourraient se retrouver en défaut de paiement d'ici la fin du mois.

          Les négociateurs démocrates et républicains au Sénat américain sont « très proches », a déclaré mercredi un responsable démocrate.

          Mardi, l'agence de notation Fitch a mentionné qu'elle envisage d'abaisser la note de crédit AAA des États-Unis, la meilleure possible. Fitch a placé cette note sous surveillance avec de possibles conséquences négatives. En août 2011, alors que républicains et démocrates s'affrontaient sur le plafond de la dette et la réduction du déficit, Standard & Poor's avait abaissé la note de la dette à long terme de la première économique mondiale à AA.

          Pour l'instant, les marchés financiers tablent toujours sur une solution de dernière minute. Mercredi, les principaux indices asiatiques et européens ne montraient pas véritablement d'affolement. Les pertes étaient modérées en Europe et la Bourse de Tokyo a clôturé en légère hausse. La Bourse de New York a ouvert en territoire positif.

          Négocier jusqu'à la dernière minute

          « Les investisseurs restent persuadés qu'un accord sera trouvé avant la limite de demain », selon les analystes d'Alpari. « Une issue positive reste le scénario central » , ont ajouté les analystes de la banque BNP Paribas.

          Michael Hewson de CMC Markets UK explique que « vous pouvez être sûrs que si nous allons au-delà de la limite, ce qui semble de plus en plus probable, les investisseurs commenceront à se retirer s'il n'y a pas d'accord avant la fin de semaine ». Mais « beaucoup d'acteurs sur le marché s'attendent à un accord de dernière minute, comme fin 2012 lorsque les politiciens ont évité le mur budgétaire », a ajouté Siddiqi d'ETX Capital.

          /.../

          Après des heures d'attente, le Sénat américain a finalement adopté à 81 voix contre 18, mercredi, une loi devant mettre un terme à la crise budgétaire qui étreint l'appareil gouvernemental depuis le début du mois. La loi en question doit encore être entérinée par la Chambre des représentants. On s'attend à ce que la Chambre passe au vote dans la nuit. 

          Comment


          • #6
            Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale

            Etats-Unis: d?faut ?cart? in extremis, Obama pr?pare la prochaine bataille budg?taire

            Publi? le 17-10-2013 ? 06h25 - Mis ? jour ? 08h25

            Washington (AFP) - Barak Obama a sign? jeudi matin la loi vot?e in extremis par le Congr?s am?ricain qui ?carte le d?faut de paiement en relevant le plafond de la dette des Etats-Unis, concluant la plus grave crise politique du second mandat de Barack Obama.

            Le pr?sident am?ricain a sign? le texte apr?s que le Congr?s ait relev? mercredi soir le plafond de la dette du pays jusqu'au 7 f?vrier.

            Dans une intervention ? la Maison Blanche il avait d?clar? plus t?t que les ?lus auraient ? regagner la "confiance" des Am?ricains apr?s deux semaines d'affrontements politiques, et dit souhaiter cesser de gouverner "de crise en crise".

            Le S?nat am?ricain puis la Chambre des repr?sentants ont adopt? successivement dans la soir?e ? de larges majorit?s un texte de compromis d?voil? quelques heures plus t?t, apr?s d'intenses tractations et des semaines de p?rip?ties parlementaires.

            Selon les termes du compromis, le Tr?sor est autoris? ? emprunter jusqu'au 7 f?vrier, et l'Etat f?d?ral est financ? jusqu'au 15 janvier.

            L'ensemble des fonctionnaires f?d?raux au ch?mage technique depuis 16 jours d'impasse budg?taire ont ?t? rappel?s au travail d?s jeudi matin. Ils seront tous pay?s r?troactivement.

            La directrice du Bureau de la gestion et du budget Sylvia Mathews Burwell a annonc? dans un communiqu? s?par? la reprise normale des services, remerciant les fonctionnaires de l'Etat f?d?ral pour leur d?vouement au service de la population.

            Mais ce compromis reste provisoire, ne donnant que quelques mois aux deux camps pour r?concilier leurs positions budg?taires. Une commission bicam?rale doit ?tre convoqu?e et ?laborer d'ici le 13 d?cembre les contours d'un budget pour le reste de l'ann?e 2014, une invitation au compromis dont se sont montr?s jusqu'? pr?sent incapables les ?lus du Congr?s, divis? entre d?mocrates et r?publicains.

            Anticipant ce nouveau chantier, Barack Obama a r?p?t? qu'il ?tait "pr?t ? travailler avec tout le monde (...) sur n'importe quelle id?e qui fera cro?tre l'?conomie, cr?era des emplois, renforcera la classe moyenne et remettra en ordre le budget ? long terme".

            Christine Lagarde, directrice g?n?rale du Fonds mon?taire international, a soulign? mercredi le caract?re temporaire de l?accord, et d?clar? dans un communiqu? qu?il ?tait "essentiel de r?duire l?incertitude entourant la conduite de la politique budg?taire en relevant le plafond de la dette d?une mani?re plus durable".

            Le d?nouement marque un revers cinglant pour le camp r?publicain et son chef, le pr?sident de la Chambre John Boehner, qui a exig? pendant des semaines des concessions de l'ex?cutif, en particulier sur les d?penses sociales, avant tout vote budg?taire, avant de capituler mercredi.

            Parti r?publicain battu

            /.../

            Comment


            • #7
              Re: "Shutdown" : mise en garde de la Banque mondiale - accord temporaire

              Les fr?res Koch, milliardaires libertariens et financiers du chantage au "shutdown"

              LE MONDE | 17.10.2013 ? 15h16 ? Mis ? jour le 18.10.2013 ? 13h43 |
              Philippe Bernard



              "Ne laissez pas le gouvernement jouer au docteur !" Ce message d?non?ant la loi Obama sur l'assurance sant?, concluait une vid?o choc qui a fait le buzz sur Internet en septembre. Un Oncle Sam mena?ant, figurant l'intrusion de l'Etat, y surgissait entre les jambes d'une femme en plein examen gyn?cologique. Au m?me moment, un tweet alarmant ? "Obamacare est une catastrophe" ? se r?pandait sur les r?seaux sociaux, tandis que des ?lus en difficult? dans leur circonscription recevaient des avertissements li?s ? leurs positions sur l'assurance sant?.

              Les officines ("Freedom partners", "Generation opportunity", "Heritage") ? l'origine de ces campagnes ont un point commun : elles sont g?n?reusement dot?es par les fr?res Charles et David Koch ? 77 et 73 ans ?, qui ont mis leur richesse ? 36 milliards de dollars (26,4 milliards d'euros) chacun, soit la quatri?me fortune am?ricaine selon le magazine Forbes ? au service de leur obsession : d?stabiliser le "socialiste" Barack Obama. Depuis des mois, cette galaxie de fondations, cercles de r?flexion et autres entit?s "sans but lucratif", d?vou?e ? leurs id?es d'extr?me droite, a con?u, organis? et sc?naris? la crise budg?taire qui secoue l'Am?rique.

              Il s'agissait de porter un coup fatal ? la loi "Obamacare" honnie, en amenant les ?lus r?publicains ? profiter d'une concomitance exceptionnelle entre le d?but de l'ann?e budg?taire, l'entr?e en vigueur de la loi sur l'assurance-sant?, le 1er octobre, et la date butoir pour relever le plafond de la dette, le 17 octobre. Le chantage ?tait simple : pas de vote du budget, pas de d?plafonnement de la dette sans report aux calendes grecques de l'"Obamacare".

              Avant m?me que, mercredi 16 octobre, cette strat?gie ne s'effondre avec l'adoption par le Congr?s d'un compromis budg?taire, les fr?res Koch avaient saut? du train fou en marche qu'ils avaient eux-m?mes pr?cipit? dans le mur. Dans une lettre ouverte adress?e au S?nat jeudi 10 octobre, ils ont pris leurs distances avec le chantage au "shutdown", la fermeture du gouvernement f?d?ral. Une d?marche tr?s inhabituelle pour des industriels dont la discr?tion l?gendaire a toujours ?t? proportionnelle ? leur consid?rable influence.

              Ce repli tactique traduit l'inqui?tude d'hommes d'affaires devant une catastrophe financi?re annonc?e. Ces industriels-id?ologues du long terme se sont retir?s sans doute pour mieux repartir ? l'assaut. Apr?s tout, les graines qu'ils ont sem?es dans les ann?es 1980 n'ont germ? que trois d?cennies plus tard sous le nom de Tea Party.

              Services sociaux et imp?ts minimums, refus de toute intervention de l'Etat dans l'?conomie. A partir de ces "fondamentaux", David et Charles Koch ont, d?s 1980, ?chafaud? un hallucinant programme "libertarien" : suppression du FBI, de la CIA, de l'imp?t sur le revenu et des pensions publiques de retraite ; l?galisation de la prostitution et de la drogue.
              LA "PIEUVRE" KOCH

              /.../

              Comment

              Working...
              X