<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="570"><tbody><tr><td class="arial13" colspan="3" align="center" height="50">Il faut davantage de communication dans la gestion des crises en Afrique (ANALYSE) </td> </tr> <tr> <td colspan="3" align="center" bgcolor="#000000"></td> </tr> <tr> <td colspan="3" align="center"></td> </tr> <tr bgcolor="#c0d4fe"> <td class="arial12" align="center" width="188" height="20"> </td> <td class="arial12" align="center" width="224" height="20"> 2009-03-12 07:03:10 </td> <td class="arial12" align="center" width="188" height="20"> </td> </tr> </tbody></table>
DAR ES SALAAM, 11 mars (Xinhua) -- Ce monde est plus souvent pouss? dans les troubles par la mauvaise ou l'absence de communication du tout.
Ainsi les communications et les bonnes communications sont ce dont on aura besoin dans le dialogue et les discussions en cours sur la gestion de la crise financi?re actuelle et la baisse de l'?conomie.
Les gens auraient mieux garder en esprit sur quelles bandes radiophoniques et ? partir de combien de diff?rents points de vues ils communiquent.
Il a sembl? que la conf?rence des ministres africains des Finances et des gouverneurs des banques centrales, organis? par le FMI et le gouvernement tanzanien, qui vient de s'achever ? Dar es Salaam pourrait avoir un petit probl?me de communication avec le Sommet du G-20 devant se tenir ? Londres le mois prochain.
Les deux ont raison sur les m?mes ondes en parlant de politique mon?taire et financi?re. Mais ils parlent ? partir de deux points de vue polaris?s en ce qui concerne l'Afrique, avec l'un du c?t? de la demande et de la r?ception pendant que l'autre se trouve dans le camp de celui qui promet et fournit.
Le financement est le mot cl? et le slogan pour les deux conf?rences mais alors que la conf?rence de Dar es Salaam cherchait un financement efficace et accru pour aider la partie qui re?oit ? parer et att?nuer les repercussions des crises actuelles, la Conf?rence de Londres cherchera ? trouver de financement suppl?mentaires pour renforcer les plans de relance afin de sortir la partie qui donne de la crise.
La Conf?rence de Dar es Salaam aimerait communiquer au prochain sommet du G20 un message: les pays africains veulent que les pays donateurs remplissent leurs engagements en terme d'aide, sinon leurs acquis ?conomiques obtenus au cours de la d?cennie ?coul?e pourraient dispara?tre face aux r?percussions envahissantes des crises.
A Dar es Salaam, les d?cideurs financiers africains ont estim? que leur continent a la responsabilit? premi?re de gerer les cons?quences de la crise mais que la communaut? internationale doit aussi tenir ses promesses d'aide et acc?lerer le soutien.
Pour bien de pays africains, l'impact de la crise financi?re et de la baisse de l'?conomie n'est pas encore arriv? au point o? ils ressentent la v?ritable douleur.
Mais l'impact des crises arrive in?luctablement, a pr?venu le directeur g?n?ral du FMI, Dominique Strauss-Kahn, s'adressant aux participants ? la conf?rence de Dar es Salaam. "Elle arrive et son impact sera consid?rable", a-t-il dit.
Les dirigeants du G-20 ont, toutefois, ?t? occup?s ? trouver leurs propres solutions ? leurs difficult?s financi?res actuelles caus?es par la mauvaise communication sur les cr?dits en premier lieu.
L'ancien secr?taire g?n?ral des Nations unies Kofi Annan a propos? d'inclure le continent africain dans la solution mondiale ? la crise financi?re internationale et la baisse de l'?conomie.
Cette proposition r?unit les deux conf?rences ? un point commun de discours, ? savoir: pas si mais plut?t comment l'Afrique peut faire partie de cette solution?
M. Annan est all? plus loin en sugg?rant que l'Afrique puisse faire partie de la solution en ?tant inclue dans le plan de relance mondial et en ?tant pleinement repr?sent?e dans l'architecture ?conomique mondiale en ?volution.
Le pr?sident tanzanien Jakaya Kikwete, dont le pays co- organisait la conf?rence de Dar es Salaam, a affirm? que l'Afrique est la derni?re fronti?re sur cette plan?te pour un d?veloppement humain suppl?mentaire et l'humanit? devrait prendre la responsabilit? vis-?-vis des ressources africaines qui ont contribu? au d?veloppement des pays europ?ens et d'Am?rique du Nord, qui soutiennent le d?veloppement de nouvelles entit?s ?conomiques ailleurs dans le monde aussi.
Le patron du FMI s'est fait un peu plus clair en affirmant que ce n'est pas seulement un devoir moral mais aussi une obligation historique, eu ?gard au pass? colonial du continent, pour le monde d?velopp? de soutenir maintenant le d?veloppement de l'Afrique.
L'institution mon?taire internationale a par cons?quent appel? les pays donateurs et les partenaires traditionnels et additionnels, ? honorer leurs engagements vis-?-vis de l'Afrique en mettant l'accent sur le fait que tenir les promesses d'aide pourra aider ? ?viter la disparition des acquis ?conomiques du continent.
M. Kahn a expliqu? que quoique les pays africains soient en trop forte position par rapport ? il y a plusieurs ann?es, de nombreuses ?conomies africaines ont encore besoin des financements conditionn?s du FMI pour amortir et sortir des crises.
"Au moment o? la communaut? internationale trouve des centaines de milliards pour la r?solution de la crise, je ne peux pas accepter que nous ne serons pas capables de trouver des centaines de millions de dollars pour les pays les moins avanc?s," a d?clar? le patron du FMI qui a rappel? aux pays donateurs qu'ils s'?taient engag?s au sommet de Gleneagles d'augmenter leur aide ? l'Afrique ? 50 milliards de dollars am?ricains d'ici l'ann?e prochaine et ? 75 milliards de dollars d'ici 2015.
L'appel pour l'augmentation des niveaux d'aide a ?t? lanc? de fa?on ?loquente par l'?conomiste am?ricain Jeffrey Sachs et le ministre sud-africain des Finances Trevor Manuel.
Jeffrey Sachs a soulign? le fait que le d?ficit budg?taire am?ricain devrait probablement atteindre 1,75 trillions de dollars mais qu'il n'y avait pas d'augmentation de m?me mesure dans les promesses d'aide ?trang?re.
Avec une pointe de sarcasme mais non sans un certain dej?-vu, Tresor Manuel a indiqu? que l'Afrique devait probablement acqu?rir des armes nucl?aires afin de retenir l'attention de la communaut? internationale.
La conf?rence de Dar es Salaam des ministres africains des Finances et des gouverneurs des banques centrales s'est achev?e en recommandant vivement ? la communaut? internationale de prendre des mesures urgentes n?cessaires pour que l'Afrique affronte la crise financi?re actuelle et la baisse de l'?conomie.
"C'est la pire crise ?conomique des temps contemporains, qui affecte les vies et les espoirs des populations ? travers le monde, " ont indiqu? le pr?sident tanzanien Jakaya Kikwete, le directeur g?n?ral du FMI, Dominique Strauss-Kahn, et le pr?sident du Panel du progr?s de l'Afrique, Kofi Annan, dans une d?claration conjointe.
"Pendant que les leaders des pays du G-20 se pr?parent ? se rencontrer en avril, nous croyons qu'il est d'une importance vitale que les besoins de l'Afrique soient abord?s."
Leur d?claration conjointe a appel? la communaut? internationale ? tenir ses promesses d'augmentation des flots d'aide vers l'Afrique et invit? les pays africains ? renforcer leurs politiques ?conomiques, et demand? au FMI d'accro?tre son soutien ? l'Afrique avec plus de financement, une plus grande flexibilit?, un meilleur dialogue sur les programmes et un renforcement suppl?mentaire de la voix de l'Afrique au sein de l'institution elle-m?me.
Alors que certains participants ? la conf?rence de Dar es Salaam doutaient qu'elle ne soit que des propos vides, Annan a d?clar? que les conf?rences peuvent ?tre des pr?ludes aux actions.
http://www.french.xinhuanet.com/fren...ent_835149.htm
DAR ES SALAAM, 11 mars (Xinhua) -- Ce monde est plus souvent pouss? dans les troubles par la mauvaise ou l'absence de communication du tout.
Ainsi les communications et les bonnes communications sont ce dont on aura besoin dans le dialogue et les discussions en cours sur la gestion de la crise financi?re actuelle et la baisse de l'?conomie.
Les gens auraient mieux garder en esprit sur quelles bandes radiophoniques et ? partir de combien de diff?rents points de vues ils communiquent.
Il a sembl? que la conf?rence des ministres africains des Finances et des gouverneurs des banques centrales, organis? par le FMI et le gouvernement tanzanien, qui vient de s'achever ? Dar es Salaam pourrait avoir un petit probl?me de communication avec le Sommet du G-20 devant se tenir ? Londres le mois prochain.
Les deux ont raison sur les m?mes ondes en parlant de politique mon?taire et financi?re. Mais ils parlent ? partir de deux points de vue polaris?s en ce qui concerne l'Afrique, avec l'un du c?t? de la demande et de la r?ception pendant que l'autre se trouve dans le camp de celui qui promet et fournit.
Le financement est le mot cl? et le slogan pour les deux conf?rences mais alors que la conf?rence de Dar es Salaam cherchait un financement efficace et accru pour aider la partie qui re?oit ? parer et att?nuer les repercussions des crises actuelles, la Conf?rence de Londres cherchera ? trouver de financement suppl?mentaires pour renforcer les plans de relance afin de sortir la partie qui donne de la crise.
La Conf?rence de Dar es Salaam aimerait communiquer au prochain sommet du G20 un message: les pays africains veulent que les pays donateurs remplissent leurs engagements en terme d'aide, sinon leurs acquis ?conomiques obtenus au cours de la d?cennie ?coul?e pourraient dispara?tre face aux r?percussions envahissantes des crises.
A Dar es Salaam, les d?cideurs financiers africains ont estim? que leur continent a la responsabilit? premi?re de gerer les cons?quences de la crise mais que la communaut? internationale doit aussi tenir ses promesses d'aide et acc?lerer le soutien.
Pour bien de pays africains, l'impact de la crise financi?re et de la baisse de l'?conomie n'est pas encore arriv? au point o? ils ressentent la v?ritable douleur.
Mais l'impact des crises arrive in?luctablement, a pr?venu le directeur g?n?ral du FMI, Dominique Strauss-Kahn, s'adressant aux participants ? la conf?rence de Dar es Salaam. "Elle arrive et son impact sera consid?rable", a-t-il dit.
Les dirigeants du G-20 ont, toutefois, ?t? occup?s ? trouver leurs propres solutions ? leurs difficult?s financi?res actuelles caus?es par la mauvaise communication sur les cr?dits en premier lieu.
L'ancien secr?taire g?n?ral des Nations unies Kofi Annan a propos? d'inclure le continent africain dans la solution mondiale ? la crise financi?re internationale et la baisse de l'?conomie.
Cette proposition r?unit les deux conf?rences ? un point commun de discours, ? savoir: pas si mais plut?t comment l'Afrique peut faire partie de cette solution?
M. Annan est all? plus loin en sugg?rant que l'Afrique puisse faire partie de la solution en ?tant inclue dans le plan de relance mondial et en ?tant pleinement repr?sent?e dans l'architecture ?conomique mondiale en ?volution.
Le pr?sident tanzanien Jakaya Kikwete, dont le pays co- organisait la conf?rence de Dar es Salaam, a affirm? que l'Afrique est la derni?re fronti?re sur cette plan?te pour un d?veloppement humain suppl?mentaire et l'humanit? devrait prendre la responsabilit? vis-?-vis des ressources africaines qui ont contribu? au d?veloppement des pays europ?ens et d'Am?rique du Nord, qui soutiennent le d?veloppement de nouvelles entit?s ?conomiques ailleurs dans le monde aussi.
Le patron du FMI s'est fait un peu plus clair en affirmant que ce n'est pas seulement un devoir moral mais aussi une obligation historique, eu ?gard au pass? colonial du continent, pour le monde d?velopp? de soutenir maintenant le d?veloppement de l'Afrique.
L'institution mon?taire internationale a par cons?quent appel? les pays donateurs et les partenaires traditionnels et additionnels, ? honorer leurs engagements vis-?-vis de l'Afrique en mettant l'accent sur le fait que tenir les promesses d'aide pourra aider ? ?viter la disparition des acquis ?conomiques du continent.
M. Kahn a expliqu? que quoique les pays africains soient en trop forte position par rapport ? il y a plusieurs ann?es, de nombreuses ?conomies africaines ont encore besoin des financements conditionn?s du FMI pour amortir et sortir des crises.
"Au moment o? la communaut? internationale trouve des centaines de milliards pour la r?solution de la crise, je ne peux pas accepter que nous ne serons pas capables de trouver des centaines de millions de dollars pour les pays les moins avanc?s," a d?clar? le patron du FMI qui a rappel? aux pays donateurs qu'ils s'?taient engag?s au sommet de Gleneagles d'augmenter leur aide ? l'Afrique ? 50 milliards de dollars am?ricains d'ici l'ann?e prochaine et ? 75 milliards de dollars d'ici 2015.
L'appel pour l'augmentation des niveaux d'aide a ?t? lanc? de fa?on ?loquente par l'?conomiste am?ricain Jeffrey Sachs et le ministre sud-africain des Finances Trevor Manuel.
Jeffrey Sachs a soulign? le fait que le d?ficit budg?taire am?ricain devrait probablement atteindre 1,75 trillions de dollars mais qu'il n'y avait pas d'augmentation de m?me mesure dans les promesses d'aide ?trang?re.
Avec une pointe de sarcasme mais non sans un certain dej?-vu, Tresor Manuel a indiqu? que l'Afrique devait probablement acqu?rir des armes nucl?aires afin de retenir l'attention de la communaut? internationale.
La conf?rence de Dar es Salaam des ministres africains des Finances et des gouverneurs des banques centrales s'est achev?e en recommandant vivement ? la communaut? internationale de prendre des mesures urgentes n?cessaires pour que l'Afrique affronte la crise financi?re actuelle et la baisse de l'?conomie.
"C'est la pire crise ?conomique des temps contemporains, qui affecte les vies et les espoirs des populations ? travers le monde, " ont indiqu? le pr?sident tanzanien Jakaya Kikwete, le directeur g?n?ral du FMI, Dominique Strauss-Kahn, et le pr?sident du Panel du progr?s de l'Afrique, Kofi Annan, dans une d?claration conjointe.
"Pendant que les leaders des pays du G-20 se pr?parent ? se rencontrer en avril, nous croyons qu'il est d'une importance vitale que les besoins de l'Afrique soient abord?s."
Leur d?claration conjointe a appel? la communaut? internationale ? tenir ses promesses d'augmentation des flots d'aide vers l'Afrique et invit? les pays africains ? renforcer leurs politiques ?conomiques, et demand? au FMI d'accro?tre son soutien ? l'Afrique avec plus de financement, une plus grande flexibilit?, un meilleur dialogue sur les programmes et un renforcement suppl?mentaire de la voix de l'Afrique au sein de l'institution elle-m?me.
Alors que certains participants ? la conf?rence de Dar es Salaam doutaient qu'elle ne soit que des propos vides, Annan a d?clar? que les conf?rences peuvent ?tre des pr?ludes aux actions.
http://www.french.xinhuanet.com/fren...ent_835149.htm
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