Les Bourses plongent !
AFP . les affaires.com . 20-06-2013 (modifi? le 20-06-2013 ? 17:10)
Un resserrement du cr?dit en Chine combin? ? la volont? de la Fed d?adoucir sa politique de soutien ? l??conomie am?ricain a donn? un cocktail que les investisseurs ont du mal ? avaler. Une v?ritable secousse a frapp? les march?s boursiers nord-am?ricains qui reculent de 2,5 %.
? Toronto, l?indice S&P500 a l?ch? 300 point (12,44%) pour clore sous la barre des 12 000 points, ? 11 968 points
Dow Jones Industrial Average a abandonn? 2,33% ou 352,11 points ? 14 760,08 points.
Il faut remonter au 7 novembre 2012, au lendemain de la r??lection de Barack Obama, pour retrouver une chute de plus grande ampleur en pourcentage (-2,36%) et au 9 novembre 2011 en points, quand le Dow Jones avait chut? de 389,24 points ou 3,2%.
Le Nasdaq, ? dominante technologique, a c?d? 2,28% ou 78,57 points, ? 3.364,63 points et l'indice Standard & Poor's 500 2,50% ou 40,74 points ? 1 588,19 points.
"L'effet post-Bernanke se poursuit, c'est un carnage", a comment? Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital.
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AFP . les affaires.com . 20-06-2013 (modifi? le 20-06-2013 ? 17:10)
Un resserrement du cr?dit en Chine combin? ? la volont? de la Fed d?adoucir sa politique de soutien ? l??conomie am?ricain a donn? un cocktail que les investisseurs ont du mal ? avaler. Une v?ritable secousse a frapp? les march?s boursiers nord-am?ricains qui reculent de 2,5 %.
? Toronto, l?indice S&P500 a l?ch? 300 point (12,44%) pour clore sous la barre des 12 000 points, ? 11 968 points
Dow Jones Industrial Average a abandonn? 2,33% ou 352,11 points ? 14 760,08 points.
Il faut remonter au 7 novembre 2012, au lendemain de la r??lection de Barack Obama, pour retrouver une chute de plus grande ampleur en pourcentage (-2,36%) et au 9 novembre 2011 en points, quand le Dow Jones avait chut? de 389,24 points ou 3,2%.
Le Nasdaq, ? dominante technologique, a c?d? 2,28% ou 78,57 points, ? 3.364,63 points et l'indice Standard & Poor's 500 2,50% ou 40,74 points ? 1 588,19 points.
"L'effet post-Bernanke se poursuit, c'est un carnage", a comment? Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital.
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