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Polyn?sie fran?aise - Suspicion d'Ebola hier ? Papeete lev?e

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  • Polyn?sie fran?aise - Suspicion d'Ebola hier ? Papeete lev?e

    Suspicion d'Ebola hier ? Papeete

    Mardi 24 Mars 2015 ? 09:27 |
    SOCI?T?
    ...
    Un militaire polyn?sien d'une trentaine d'ann?es ayant s?journ? en Afrique est d?c?d? d'une h?morragie interne ? son domicile du quartier du commerce. Les agents de la soci?t? Min Chiu ont, dans un premier temps, refus? de le toucher, suspectant Ebola. Un cercueil scell? a ?t? pr?vu pour y d?poser le corps.

    La suspicion d'Ebola a finalement ?t? lev?e. L'homme avait s?journ? en Centrafrique, un pays non touch? par la maladie, et il avait pass? trois semaines en m?tropole avant son retour au fenua. Il ne pouvait donc ?tre atteint de cette maladie, le d?lai d'incubation d'Ebola ?tant tr?s court.

    "Safety and security don't just happen, they are the result of collective consensus and public investment. We owe our children, the most vulnerable citizens in our society, a life free of violence and fear."
    -Nelson Mandela

  • #2
    Pas de cas d'Ebola : la direction de la Sant? confirme

    Mardi 24 Mars 2015 ? 14:53 |
    SOCI?T?
    ...
    Comme nous vous l'annoncions ce mardi matin, le d?c?s d'un militaire polyn?sien d'une trentaine d'ann?es hier dans la soir?e, n'est PAS d? ? Ebola. L’information a ?t? confirm?e par un communiqu? de la direction de la Sant?.
    ...
    Le communiqu? de la direction de la Sant? :


    Direction de la sant? - Communiqu? de presse du 24_03_2015.pdf (287.59 Ko)

    http://www.tntv.pf/Pas-de-cas-d-Ebol...rme_a5209.html
    "Safety and security don't just happen, they are the result of collective consensus and public investment. We owe our children, the most vulnerable citizens in our society, a life free of violence and fear."
    -Nelson Mandela

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    • #3
      D?c?s quartier du commerce : une cause infectieuse mais pas ebola

      Par H?l?ne HartePubli? le 24/03/2015 | 15:22
      ...
      Un homme de 31 ans a ?t? d?couvert d?c?d? a domicile par sa famille hier ? 12 heures quartier du commerce. Il s?agit d?un militaire revenu a Tahiti le 7 mars 2015, en permission, apr?s un s?jour de 2 mois en R?publique Centre Africaine.

      Le m?decin lib?ral, appel? au domicile par le centre 15 (SANIU), a realis? le certificat de d?c?s vers l2 heures 30. Compte tenu de la notion de s?jour en Afrique, en concertation avec le SAMU, il n?a pas ?t? d?livr? de certificat de non contagiosit? et un obstacle m?dico-l?gal a l?inhumation a ?t? fait, avec dernande d?autopsie. Le Bureau de veille sanitaire de la Direction de la sant?, contact? a 13 heures 50 par le Centre R?gulateur 15, a demand? que le corps ne soit pas manipul? ni emmen?. L?investigation r?alis?e avec le concours du Service de sant? des arm?es et de la Direction de la d?fense et de la protection civile confirme avec certitude l?absence de s?jour de la personne dans les pays actuellement en ?pid?mie d?Ebola (Guin?e, Sierra Leone, Liberia). Cette confirrmation a ?t? obtenue vers l7 heures , apr?s renseignements pris aupr?s des instances militaires en rn?tropole. Ainsi, en r?f?rence aux d?fnitions admises a ce jour par les autorit?s sanitaires nationales et internationales, ce d?ces ne peut pas ?tre consid?r? comme suspect d?infection a virus EBOLA. Cependant, une cause infectieuse du d?ces semble probable d?apres le tableau clinique,peut-?tre d?origine import?e...

      Source : communiqu? de la Direction de la Sant?
      Tahiti - Polyn?sie - Actualit?

      "Safety and security don't just happen, they are the result of collective consensus and public investment. We owe our children, the most vulnerable citizens in our society, a life free of violence and fear."
      -Nelson Mandela

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      • #4
        D?c?s d'un militaire : ? Ce n'est pas un cas suspect d'Ebola ?
        ...
        Pour le docteur Mallet ? l'hypoth?se num?ro 1 ? est que le paludisme soit en cause. ? C'est la pathologie la plus commune en Afrique. On a eu l'exp?rience d?j? d'un militaire polyn?sien qui ?tait revenu avec un paludisme (lire ci-contre) ?, rappelle le docteur Mallet. ? Le paludisme peut tuer s'il n'est pas soign? ? temps. ? Il ajoute : ? Ce patient pr?sentait des signes de maladie les jours pr?c?dents son d?c?s. Ces signes ?voquent une infection, avec un microbe ou un virus. Il y a un risque de maladie infectieuse qui peut ?tre transmissible. ?

        Les autorit?s sanitaires ont donc pris des pr?cautions en listant toutes les personnes qui ont ?t? en contact avec le jeune militaire depuis son retour ? Tahiti. Mais d?autres hypoth?ses de maladie ne sont pas exclues comme la leptospirose ou d'autres fi?vres que le militaire aurait pu ramener d'Afrique. Le corps, qui a ?t? emmen? au service de la morgue du CHPF, doit ?tre autopsi? ce mercredi matin afin de d?terminer avec pr?cision les causes du d?c?s de ce militaire.
        ...
        Le paludisme, caus? par des parasites transmis par des moustiques, est un fl?au mondial qui touche pr?s de 200 millions de personnes chaque ann?e et tue environ un demi-million d'individus, principalement des enfants en Afrique, selon les estimations de l'Organisation mondiale de la sant? (OMS).

        Le paludisme est principalement transmis d?homme ? homme par le biais d?une piq?re d?un moustique, l?anoph?le femelle. Ce type de moustique n'existe pas en Polyn?sie. Il n'y a donc aucun risque de transmission du paludisme.
        ...
        Les causes du d?c?s du militaire sont encore inconnues. Mais le docteur Henri-Pierre Mallet, responsable du bureau de veille sanitaire, estime que ? l'hypoth?se num?ro 1 est le paludisme ?. Si c'?tait le cas, ce ne serait pas le premier cas d'un militaire polyn?sien mort de cette maladie. Le 5 novembre dernier, le soldat tahitien, Moana Heiarii, 26 ans, originaire de Huahine, ?tait d?c?d? ? Paris d'une forme grave de paludisme. Le caporal-chef Moana Heiari avait ?t? rapatri? quelques heures plus t?t de Bangui (Centrafrique). ? Tous les militaires suivent un traitement antipaludique obligatoire et quotidien lorsqu?ils se trouvent dans une zone concern?e par la maladie ?, expliquait alors le Comsup. ? N?anmoins, la forme contract?e par le jeune homme ?tant rare et particuli?rement active, les traitements actuels n?ont pas permis de le sauver. ?
        ...

        PAPEETE, le 24 mars 2015. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de la mort d'un militaire de 31 ans de retour d’Afrique, lundi à Papeete. « Ce n'est pas un cas suspect d'Ebola », insiste le docteur Henri-Pierre Mallet, responsable du bureau de veille sanitaire. Selon lui, «...
        "Safety and security don't just happen, they are the result of collective consensus and public investment. We owe our children, the most vulnerable citizens in our society, a life free of violence and fear."
        -Nelson Mandela

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